De l’alcool dans les yeux, le nouveau jeu dangereux


Ça pas de bon sens ce qu’ils peuvent inventer pour avoir des sensations .. Il risquent de perdre beaucoup avec leur conneries .. ben non ils le font pareil..
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De l’alcool dans les yeux, le nouveau jeu dangereux
 
 
De l'alcool dans les yeux, le nouveau jeu dangereux
Photos.com
Cyberpresse
 
 
Boire au verre, à la bouteille, avec une paille… et maintenant avec les yeux? Suivant une pratique de plus en plus populaire en France et en Angleterre, des jeunes se versent de l’alcool directement dans les yeux en pensant s’enivrer le plus rapidement possible.
 
Or, non seulement l’«eyeballing» ne permet pas d’atteindre le but recherché -l’ivresse- il pourrait au contraire causer de graves lésions oculaires et ce, dès la première tentative.
 
Les cas les plus graves risquent d’avoir une vue floue en permanence. La presse britannique a aussi rapporté le cas d’une étudiante de 22 ans dont l’oeil gauche sécrète des larmes en continu, avec une douleur permanente.
 

Toutes les couleurs de l’île Maurice


Un voyage dans un monde féerique, soleil, plage, beauté naturelle a perte de vue
Nuage
 
Toutes les couleurs de l’île Maurice
 
L’île Maurice, située au sud-ouest de l’océan Indien, a été découverte officiellement par les Portugais en 1505.
 
Le bien-être est au rendez-vous
 
bien-être
 
L’île peut se vanter d’abriter les plus beaux spas et centres de bien-être du monde. La plupart des hôtels de l’île ont un spa au sein de l’établissement et proposent des cures de bien-être. © OT Ile Maurice – Bamba
 
Jardin botanique de Pamplemousses
 
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Les nénuphars géants Victoria Amazonica et de nombreuses espèces de palmiers sont à admirer dans le jardin botanique de Pamplemousses. © OT ILE MAURICE – BAMBA
 
Un petit bout de paradis
 
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La plage du Morne à l’île Maurice, entre sable fin et mer azurée… © Véronique Louis
 
Au coeur du lagon
lagon
 
 
D’une richesse infinie, le fond marin mauricien est propice à l’exploration des fonds, une activité qui peut être pratiquée en scaphandrier ou en submersible. © James Caratini
 
Lever de soleil à Tamarin
 
lever de soleil à tamarin
 
La Montagne du Rempert se mire, à l’aube, dans le Barachois de Tamarin. © Alain Dalais
 
Habitations sur pilotis
 
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Patios extérieurs originaux dans les habitations de Tamarin. © Jean-Pierre Marro
Tortue géante
 
tortue géante

Avis aux amoureux des animaux, de nombreux lieux sur l’île regorgent d’une faune exceptionnelle. Ici une tortue du parc des Mascareignes de la Rivière aux anguilles. © Céline Mugarevo
 
La plage Flic en Flac
 
flic en flac
 
Flic en Flac, située à l’ouest, fait partie des plus belles plages de l’île Maurice. © Didier Tais
 
Les chutes de Rochester
 
les chutes de rochester
 
Rochester Falls est une chute d’eau de la région de Souillac au Sud de l’ile Maurice. Elle est célèbre pour la forme rectangulaire de ses rochers. © Didier Tais
 
 
Cascade de Chamarel
 
cascade de chamarel
 
La plaine de Chamarel, située au sud-ouest de l’île, abrite une magnifique cascade d’une hauteur de 100 mètres où l’on peut s’y baigner. © Claude Gortchakoff
 
Maurice, île durable
 
ile durable
 
Depuis juin 2008, le gouvernement mauricien a mis en place un programme intitulé Maurice Île durable (MID), avec pour objectif la protection de l’environnement et la préservation des ressources naturelles locales. © OT Ile Maurice – Bamba
 

Des cafards pour traiter les bactéries résistantes


C’est sûr, c’est sûr que trouver des cafards dans la maison, c’est un très mauvais signe de salubrité .. néanmoins, il semble que grâces a ses conditions quelques peu insalubre auxquels ils sont exposés cela pourrait laisser entrevoir que ces cafards vont finir par donner leur secret, contre les bactéries
Nuage

 
Des cafards pour traiter les bactéries résistantes
 
Des cafards pour traiter les bactéries résistantes
 
Un cafard
 
Photo: Archives Bloomberg News
Agence France-Presse
 
 
Les cafards, animaux considérés comme sales par excellence, pourraient contribuer à de nouveaux traitements contre les bactéries résistantes, selon des chercheurs britanniques qui ont découvert des substances aux propriétés antibiotiques inattendues chez ces insectes.
 
Une équipe de l’Université de Nottingham a identifié jusqu’à neuf molécules différentes dans les cerveaux et les tissus nerveux de cafards et de sauterelles. Des substances toxiques pour les bactéries et qui pourraient déboucher sur des traitements pour certaines infections fréquemment résistantes aux antibiotiques communs.
 
Selon ces chercheurs, ces tissus sont ainsi capables de tuer plus de 90% de staphylocoques dorés résistants à la méticilline (SARM) et d’Eschirichia coli (E. coli), sans endommager les cellules humaines. Ils sont actuellement en train d’étudier les propriétés spécifiques des substances découvertes dans leur laboratoire.
 
Pour Simon Lee, de l’Ecole de médecine et de science vétérinaire de l’université britannique, cette découverte en apparence surprenante était en réalité prévisible.

«Les insectes vivent souvent dans de très mauvaises conditions sanitaires et d’hygiène, dans des environnements où ils sont exposés à un grand nombre de bactéries différentes. Il est donc logique qu’ils aient développé des moyens de se protéger contre les micro-organismes», estime-t-il.
 
«Nous espérons que ces molécules pourront aboutir à des traitements contre les infections par l’E. Coli et le SARM qui deviennent de plus en plus résistants aux médicaments actuels», explique M. Lee.
 
«En outre, ces nouveaux antibiotiques pourraient constituer une alternative aux traitements déjà disponibles, qui peuvent être efficaces mais ont des effets secondaires indésirables importants», ajoute le chercheur.
 

 

Plus d’araignées tissent leurs toiles à Montréal


 Je crois que ce n’est pas juste a Montréal qu’on a l’impression qu’il y a plus d’araignées .. quelques soient la raisons ce n’est quand même pas si dramatique a mon avis .. car ce sont des bons insectivores ..
Nuage

 
Plus d’araignées tissent leurs toiles à Montréal
 
Météo - Plus d'araignées tissent leurs toiles à Montréal
 
Il ne suffit que de jeter un coup d’œil par la fenêtre pour remarquer que les araignées sont particulièrement nombreuses à Montréal cette année, une situation que constatent plusieurs exterminateurs de la métropole.
 
«Oui, il y en a davantage que l’année dernière. Je dirais même qu’il y en a environ 50% de plus», a-t-on indiqué chez l’entreprise A-extermination.
 
Plusieurs causes expliqueraient ce phénomène, les conditions météorologiques se retrouvant en tête de liste.
 
En effet, le beau temps qu’a connu Montréal cet été aurait permis aux araignées de s’installer adéquatement, sans que la pluie et le vent viennent détruire leurs toiles. La chaleur et l’humidité seraient également favorables à l’apparition de plusieurs insectes, mets de choix pour les araignées.
 
Il n’y aurait cependant pas que les humeurs de Dame Nature qui permettraient aux insectes de s’installer en ville, mais également certaines mesures mises en place par le ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs.
 
«Il y a davantage d’insectes en général à Montréal depuis 2003, à cause du Code de gestion des pesticides qui impose certaines restrictions sur l’utilisation et la vente de ceux-ci», a expliqué Alexandre Prud’homme, porte-parole de l’Association québécoise de la gestion parasitaire.
 
Ce code stipule entre autres qu’il est interdit d’appliquer les pesticides les plus nocifs sur les terrains publics, parapublics et municipaux, ainsi que, depuis 2006, sur les terrains commerciaux et privés.
 
L’interdiction de vendre des fertilisants pour usage domestique dans lesquels on retrouve un insecticide, en vigueur depuis 2004, aurait également un impact sur l’augmentation des insectes.
 
Il semblerait d’ailleurs qu’il y ait une recrudescence d’araignées depuis quelques années déjà.
 
«Il y en a beaucoup cette année. Cependant, il y a trois ans, c’était encore pire. C’était horrifiant. Les gens qui stationnaient leurs voitures le soir devaient enlever des toiles d’araignées le matin», a dit Debbie Barker, propriétaire d’Extermination Debbie Expert.
 
Même si plusieurs facteurs peuvent expliquer l’augmentation des populations d’aranéides en ville, tous ne sont pas convaincus d’un tel phénomène.
 
«Ça me surprendrait. J’aimerais beaucoup voir des chiffres pour appuyer une telle affirmation. Une fois par année, j’entends le même commentaire», répond Pierre Paquin, arachnologue, spécialiste des organismes cavernicoles et auteur du guide d’identification des araignées du Québec.
 
Selon cet expert, il n’y aurait pas plus d’araignées qu’avant à Montréal. Ce serait en fait la période de l’année actuelle, soit la fin de l’été, qui donnerait l’impression d’en voir davantage. En effet, plusieurs espèces arriveraient à maturité au terme de la saison estivale. M. Paquin soutient toutefois que la chaleur et l’humidité n’auraient aucun impact sur leur population, rétorquant que
 
«c’est ce que les gens donnent comme raison lorsqu’ils n’ont rien à dire».
 
Selon les espèces, les araignées peuvent se reproduire à grande échelle, pouvant pondre jusqu’à 300 oeufs dans les cas extrêmes, ce qui peut également laisser croire qu’un secteur connaît une forte augmentation.
 
«Même les espèces qui ne sont pas de très grandes colonisatrices, lorsqu’elles trouvent des conditions favorables, soit ne pas être dérangées, elles s’installent et forment de petites colonies», précise M. Paquin.
 
Au Québec, on compte 678 espèces d’araignées, vivant principalement dans les forêts. Il en existe trois en importance à Montréal, soit la Tegenaria domestica, la pholcus phalangioides et la Cheiracanthium mildei.
 
(Agence QMI)
 

 

Foudroyé cinq fois en neuf ans et toujours vivant


C’est pas un records que personne aimeraient battre a moins d’être masochiste sur les bords.. mais survivre a plusieurs foudres c’est un exploit .. Son corps est sûrement un bon conducteur d’électricité
Nuage

 

 
Foudroyé cinq fois en neuf ans et toujours vivant
 
La foudre dans un ciel d'orage
 

AFP/Archives
 
Un agriculteur cubain a survécu à cinq impacts de foudre en neuf ans, a rapporté dimanche le site digital Cubadebate.
 
Jorge Marquez, du village de La Julia, dans la province de Las Tunas (est), a raconté avoir été foudroyé une première fois le 5 juillet 1982 au volant de son tracteur:
 
"Cela m’a perforé les tympans, m’a brûlé la peau du dos et m’a arraché les plombages des molaires", a-t-il dit.
 
Puis, en 1987, par deux fois la foudre l’a rattrapé, avant un nouvel impact l’année suivante, suivie d’un cinquième en 1991, a assuré Jorge Marquez, un "ancien" du village, dont la maison a elle été touchée 15 fois par la foudre en deux ans.
 
"Je crois que suis aimanté. Généralement, les personnes sur qui tombe la foudre en meurent et moi, on dirait que mon corps accepte cette puissance divine, même si ses effets font très mal", a-t-il commenté.
 
Transporté inanimé à l’hôpital les deux première fois, Jorge Marquez ne s’est plus évanoui les suivantes, bien que, a-t-il dit, il a eu "très mal aux articulations et aux voies respiratoires".
 
"Les deux dernières fois, c’était plus faible, pas parce qu’elle (la foudre) était tombée plus loin, mais plutôt parce qu’on dirait que mon corps s’y est habitué", a-t-il dit.
 
Jorge Marquez dit aussi avoir lu récemment qu’un garde-forestier américain avait été frappé sept fois par la foudre.
 
"Si c’est un record, je n’ai aucune envie de le battre", a-t-il plaisanté
 

L’éléphant a peur des fourmis, ce qui sauve l’acacia


Il n’y a pas juste Jean Coutu ou on peut avoir un ami … mais dans la Savane d’ou certaines plantes aiment bien être copain, copain avec les fourmis c’est l’échange de service rendu contre une protection contre la gloutonnerie des éléphants
Nuage
 
L’éléphant a peur des fourmis, ce qui sauve l’acacia
 
Par Claire Peltier,
 
 
Acacia drepanolobium offre des épines en forme de globe aux fourmis du genre Crematogastern, qui en font leur gîte. © Pharaoh han / Licence Creative Commons
 

Qui a dit qu’il ne fallait pas avoir peur d’un plus petit que soi ? Certains acacias de la savane africaine sont sauvés de la dévastation grâce à la peur que les éléphants éprouvent devant les fourmis qui colonisent l’arbre.
 
Dans la savane africaine, les arbres sont rares et peuvent être la cible de feux ou d’animaux herbivores, menaçant l’équilibre, pour le moins précaire, entre forêt et savane. Sans une certaine protection, les arbres pourraient disparaître complètement. Devant les incendies, l’acacia est réellement impuissant mais face aux herbivores, l’arbre n’a pas dit son dernier mot.
 
En effet, la vulnérabilité des plantes, qui ne peuvent a priori ni fuir ni riposter face à des attaques ennemies, n’est que poudre aux yeux. Ainsi, elles ont mis au point des stratégies efficaces aussi inventives que variées. Parmi les stratégies utilisées, la sécrétion de molécules répulsives ou… l’appel à un ami. C’est par exemple le cas d’une espèce de tabac qui alerte une punaise, le prédateur de la chenille venue pour dévorer la plante.
 
En Afrique, beaucoup d’espèces d’acacias, bien que protégées par de longues épines pointues, sont dévorées par les éléphants dont la peau épaisse rend l’animal insensible. Pourtant, une espèce particulière, Acacia drepanolobium, ne semble pas intéresser les pachydermes. Se pourrait-il que les éléphants n’aiment tout simplement pas son goût ?
 
D’après les écologistes Todd Palmer de l’université de Floride à Gainesville et Jacob Goheen de l’université du Wyoming à Laramie, c’est une toute autre histoire. Ces acacias sont colonisés par des fourmis du genre Crematogaster dont la morsure est un vrai supplice. Elles vivent dans des épines particulières de l’arbre qui prennent la forme d’un globe creux et se nourrissent de la sève sécrétée par les feuilles. Cette symbiose est connue depuis longtemps, mais l’effet de protection vient seulement d’être prouvé dans le journal Current biology.
 
Un fort impact sur la flore de la savane
 
Les écologistes ont utilisé 6 éléphants orphelins du centre de réhabilitation du Kenya pour réaliser une sorte de test de consommateur, cosnistant à leur proposer différentes sortes de nourriture : des branches d’arbres d’A. drepanolobium dont les épines globulaires ont été ouvertes et vidées des insectes ; des branches soumises au même régime mais replongées dans les fourmis récoltées ; des branches de l’arbre voisin Acacia mellifera plongées ou non dans les fourmis. Les résultats sont clairs : les éléphants aiment les deux espèces d’acacias, mais uniquement lorsqu’elles sont dépourvues d’insectes.

L’expérience a été menée dans la nature en éliminant à plus ou moins long terme les fourmis par enfumage de quelques arbres d’A. drepanolobium. Un an plus tard, l’observation des dégâts provoqués par les pachydermes montre que les arbres les moins recolonisés par les fourmis sont les plus abîmés, alors que ceux qui possédaient un nombre important d’envahisseuses n’ont pas été touchés.
 
Vue du ciel grâce aux images satellites, cette symbiose qui ne semble avoir un effet qu’à petite échelle montre un fort impact sur l’équilibre de la savane. En effet, avec l’augmentation de la population des éléphants entre 2003 et 2008, les zones peuplées des espèces d’arbres privées de fourmis ont significativement diminué entre ces mêmes dates, alors que les zones peuplées d’A. drepanolobium sont restées relativement stables.
 

 

Une tortue cyclope


Sur grand écran on voit bien que cette petite tortue .. a qu’un seul oeil,
mais cela  ne l’empêche pas d’être bien curieuse a la voir regarder autour
d’elle
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Une tortue cyclope