L’un des frères est mort de soif et de faim


Ce drame viens de remettre en question l’un des grands problèmes de notre société .. Un manque de ressources au près des aidant naturels pour leur proches qui ont une déficience sévères ou pour tout autre raison … Il devrait exister une sorte de réseaux pour s’assurer a tous les jours que les choses se passent bien pour éviter ce genre de drame atroce qu’a du subir un trisomique 21
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L’un des frères est mort de soif et de faim
 
Saint-Jude - L'un des frères est mort de soif et de faim
 
On en sait un peu plus sur les circonstances entourant la mort de ces deux frères, découverts hier soir, à Saint-Jude, en Montérégie.
 
Jean-Guy Roy, qui s’occupait de son frère trisomique, est mort de cause naturelle il y a quelques jours. Comme ce dernier n’était pas en mesure de se nourrir et de s’abreuver, il est mort de faim et de soif alors que s’abattait une canicule sur une bonne partie de la province.
 
Les corps ont reposé dans la résidence de la rue Saint-Roch jusqu’à ce qu’ils soient retrouvés en soirée, dimanche, par un membre de la famille qui s’inquiétait de ne pas avoir de nouvelles.
 
Le président de la Société québécoise de la trisomie 21, Sylvain Fortin, n’était malheureusement surpris d’apprendre une telle nouvelle.
 
«Je suis extrêmement attristé par l’événement de Saint-Jude, mais, en même temps, pas très surpris. J’appréhendais qu’une telle situation puisse survenir depuis l’été 2002, alors que j’ai fait le tour du Québec à vélo dans le cadre d’une campagne nationale de sensibilisation à la trisomie 21. À cette occasion, j’ai pu entendre les préoccupations des parents à savoir ce qu’il allait arriver à leur enfant lorsqu’ils ne seraient plus là», a-t-il expliqué M. Fortin en entrevue sur les ondes de LCN.
 

 

Les bactéries s’entraident pour résister aux antibiotiques


En gros .. les super bactéries vont aider les bactéries plus faibles a survivre et ce même s’ils meurent pour donner plus de vigueur génétiquement .. Ils sont pas mal futés ces bactéries, de quoi a faire tirer les cheveux des savants
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Les bactéries s’entraident pour résister aux antibiotiques
 
 
antibiogramme
 
La résistance des bactéries aux antibiotiques n’est pas nouvelle, mais on vient de découvrir que les bactéries résistantes peuvent, dans un geste altruiste, aider leurs compagnes sensibles à survivre.

La résistance des bactéries aux antibiotiques est un problème majeur de santé publique, encore soulevé dernièrement après la découverte de bactéries NDM-1 d’origine asiatique et qualifiées de « super résistantes ». Certaines pathologies infectieuses risquent de ne plus pouvoir être traitées efficacement et de conduire à un nombre important de décès. Les connaissances sur le mécanisme d’apparition des résistances sont essentielles pour lutter contre ce problème mondial.
Le mécanisme de résistance ne semblait a priori pas être complexe. Des mutations dans les génomes bactériens peuvent apparaître spontanément, certaines silencieuses, d’autres létales pour le microorganisme, ou, et c’est là que le bât blesse, leur conférant un avantage. Il peut s’agir de la mutation d’un gène qui assure alors un moyen de survivre à un antibiotique. Si au sein d’une population bactérienne, une seule bactérie acquiert la résistance, il était supposé que celle-ci se multipliait au détriment de ses compagnes, tuées par la molécule car privées du gène salvateur.

De nouvelles recherches, aujourd’hui publiées dans le journal Nature, démontrent l’existence d’un autre mécanisme. Le groupe de chercheurs du Howard Hughes Medical Institute et de l’université de Boston ont décrypté le mécanisme de résistance aux antibiotiques chez Escherichia coli, une bactérie intestinale parfois responsable de pathologies.

Les bactéries ont été placées dans un bioréacteur en présence d’une concentration non létale de norfloxacine (un antibiotique), afin de favoriser l’apparition de résistances. Régulièrement, les scientifiques ont prélevé des échantillons de bactéries pour mesurer la concentration minimale inhibitrice (CMI), c’est-à-dire la concentration en antibiotique permettant d’inhiber totalement la croissance bactérienne.
 
Un pour tous…

Curieusement, beaucoup des échantillons prélevés possédaient une CMI inférieure à la CMI de la population globale, indiquant que la majorité des bactéries étaient moins résistantes que la moyenne. Cependant, quelques échantillons (très peu) montraient une CMI fortement supérieure à la moyenne. Ainsi, parmi la population bactérienne, environ 1% des bactéries tiraient la résistance vers le haut.
En analysant les protéines sécrétées par les quelques bactéries très résistantes, les chercheurs ont découvert que la tryptophanase était particulièrement abondante. Cette enzyme découpe le tryptophane (un acide aminé) en morceaux plus petits, dont un, l’indole, est exprimé en cas de stress des bactéries. L’indole possède une double fonction de résistance. La première permet d’évacuer la molécule antibiotique de la bactérie grâce à l’activation de la machinerie de pompe cellulaire. La deuxième action consiste en l’activation d’une voie métabolique empêchant la synthèse de radicaux libres, qui peut être favorisée par l’antibiotique.
Encore plus étonnant, les bactéries très résistantes synthétisent l’indole en très grande quantité pour subvenir aux besoins des bactéries sensibles. Mais cette production a un coût qui ralentit la propre croissance des super bactéries. Cet acte, que l’on pourrait qualifier d’altruiste s’il s’agissait d’un acte humain, est contraire à la logique darwinienne. En effet, la théorie de l’évolution veut que les organismes les plus adaptés résistent et que les autres meurent. Mais la théorie de la sélection de parentèle formulée par W.D. Hamilton en 1964 explique que la sélection naturelle pousse des organismes aux liens génétiques suffisamment proches à se sacrifier pour assurer la survie globale de l’espèce.
Cette voie de résistance par l’indole, une molécule répandue chez les bactéries, est donc potentiellement utilisée par d’autres espèces bactériennes pathogènes. Une nouvelle cible existe maintenant pour pour développer de nouveaux antibiotiques, qui sont de plus en plus attendus par le corps médical. Rappelons encore une fois que la surconsommation d’antibiotiques est à l’origine des phénomènes de résistance, et que plus que jamais, les antibiotiques, c’est pas automatique !

 

Adieu, haleine d’ail!


Qu’est qui a de pire que de sentir l’haleine d’une personne qui a mangé de l’ail .. mais c’est tellement bon quand on relève un aliment avec de l’ail ..
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Adieu, haleine d’ail!
 
 
Deux gousses d'ail
 
Photo: iStockphoto
 
 
Oubliez le rince-bouche, la gomme et les bonbons pour combattre une haleine d’ail. Des chercheurs américains ont démontré qu’un simple verre de lait en mangeant de l’ail ou après le repas permet de réduire considérablement la mauvaise haleine.
 
En fait, le gras et l’eau contenus dans le lait neutralisent le sulfure d’allyle de méthyle. C’est précisément cette molécule malodorante que le système digestif n’arrive pas à métaboliser et qui est ensuite relâchée par les poumons et la transpiration.
 
Les auteurs affirment que, pour obtenir de meilleurs résultats, il faut boire du lait gras pendant le repas.
 
L’eau, les champignons et le basilic aident aussi à réduire la senteur, mais dans une moindre mesure.
 
Le détail de ces travaux est publié dans le Journal of Food Science.
 
L’ail est reconnu en raison de ses vertus pour la santé. Écraser l’ail entraîne la formation d’allicine, son extrait actif (Allium sativum), qui est reconnue comme :
 
un antibiotique naturel
un agent anticoagulant
un antibactérien
un hypotenseur,
c’est-à-dire une substance capable de faire diminuer la pression artérielle
 
En 2007, une étude montrait toutefois que l’ail cru ou ses extraits ne réduisaient pas le mauvais cholestérol dans le sang.
 
Le saviez-vous?

L’ail est originaire d’Asie centrale. Il est utilisé depuis 5000 ans.
 

La patience


Je crois que les limites de la patience va en parallèles de l’époque que nous vivons .. tellement habitué que tout se règle vite. A la télévision les gros problème se règlent généralement entre 30 et 60 minutes .. Notre vie est facilité par la technologie que nous avons perdu l’habitude avec les années d’attendre
Je n’ose pas imaginé dans les années avenir ce que sera les limites de la patience ..
Nuage
 
La patience
 
 
Autrefois, quand on manquait la diligence, on patientait une semaine. Aujourd’hui, on enrage quand on rate l’ascenseur.
 
B. McCormick

Un travail Important


La vie nous rappelle souvent a l’ordre des choses que nous devrions mettre en priorité … Sachons voir les signes … car il arrive que certains événements, certaines personnes se glissent dans notre quotidien pour que nous puissions reprendre contact avec les points important que nous devrions nous sentir interpellé .. Le travail est important mais sachons bien dosé et trouver un équilibre entre le travail, les obligations et la vie et le contact humain

Nuage 

 
Un travail Important
 
 
 Ce jour-là, les dernières personnes qui montèrent à bord du vol Seattle-Dallas furent une femme et ses trois enfants. 
 
 "Oh! Je vous en prie! Ne vous assoyez pas à côté de moi", pensai-je.  "J’ai tant de travail à faire". 
 
Toutefois, quelques minutes plus tard, une fillette de 11 ans et son frère de 9 ans vinrent s’asseoir à côté de moi tandis que la mère et le petit frère de 4 ans s’installèrent derrière moi.
 
Presque aussitôt, les deux plus vieux se mirent à se chamailler pendant que le plus jeune donnait des coups de pied dans le dossier de mon siège.  À tout bout de champ, le garçon de 9 ans demandait à sa soeur:
 
"On est où, maintenant?". 
 
"Tais-toi donc", lui lançait-elle à tout coup. 
 
Et voilà que nous étions repartis pour une autre séance de pleurnicheries et de jérémiades.
 
Les enfants ne savent pas ce que c’est le travail", songeais-je, très contrarié par leur présence. 
 
Puis, une voix monta en moi, aussi clairement qu’une mélodie, qui disait Aime-les.
 
"Ces enfants sont des braillards et j’ai un travail important à finir", me rétorquai-je à moi-même. 
 
Mais la voix poursuivit:
 
Aime-les comme s’ils étaient tes propres enfants.
 
Comme j’avais déjà entendu 100 fois la question "On est où, maintenant?", je pris le magazine de la compagnie d’aviation malgré l’important travail que j’avais à faire.
 
J’expliquais aux enfants le trajet de notre vol, le divisais en portions de un quart d’heure et leur prédis à quelle heure environ nous serions à Dallas.
 
Bientôt, les enfants me racontèrent le voyage qu’ils venaient de faire à Seattle pour aller voir leur père hospitalisé.  Pendant notre discussion, ils me posèrent des questions sur les avions, sur la navigation, sur la science et sur les opinions des grandes personnes à propos de la vie.  Le temps fila et mon "important travail" resta au fond de mon sac.
 
Juste avant d’atterrir, je leur demanda comment leur père allait maintenant.  Ils se turent un moment, puis le plus vieux des garçons me répondit tout simplement:
 
"Il est mort"
 
"Oh, je suis navré."
 
"Oui, moi aussi.  Mais c’est mon petit frère qui m’inquiète le plus.  Il le prend très mal".
 
Je me rendis compte soudain que les choses dont nous avions parlé, eux et moi, représentaient le travail le plus important auquel nous devons faire face: vivre, aimer et grandir malgré la souffrance.
 
Lorsque vint le moment de nous dire au revoir à l’aéroport de Dallas, le garçon de 9 ans me serra la main et me remercia de lui avoir enseigné les "bases de l’aviation".  Moi, je le remerciais de m’avoir enseigné quelque chose de bien plus important.
 
Dan S. Bagley