Le contact du bébé avec les parents sont primordiales .. mais rare que cela peut sauver une vie de cette manière … Longue vie a ce petit bambin .. espérant qu’il ne gardera aucunes séquelles
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Un bébé réanimé après deux heures de câlins
![]() C’est un vrai petit miracle qui s’est produit à l’hôpital de Sydney en Australie. Une femme australienne a ramené son bébé à la vie après deux heures de câlins.
Le petit Jamie Ogg ne montrait aucun signe de vie à sa naissance à seulement 27 semaines de grossesse. Sa sœur jumelle, Emily, avait survécu et se portait bien, mais les parents, Kate et David, étaient dévastés par la perte de leur fils.
Kate a alors décidé de le prendre, de le déballer des couvertures et de le placer sur sa poitrine délicatement afin de lui faire ses adieux. Après deux heures de câlins et de paroles de ses parents, le petit s’est mis à respirer et il a ouvert les yeux. Les médecins en ont été déconcertés, rapporte le Telegraph.
Le couple préconise le contact peau à peau pour les bébés, car il croit que cela a aidé à sauver leur fils. Aujourd’hui, le petit Jamie a cinq mois et ne démontre aucune trace de son difficile début de vie.
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Archives du 3 septembre 2010
Salsa Dancing Dog
La danse est longue pour cette chienne qui ne bouge que sur ses deux pattes arrières,
mais elle semble apprécier les demandes de son maître .. en espérant qu’il le lui rend bien …
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Salsa Dancing Dog
Étudiante forcée de se dévêtir dehors
Je n’arrive pas a croire que des professeurs ont exigé que cette adolescente a du se changer a l’extérieure de l’école. Il y vont trop fort !!!!! C’est un manque totale d’éthique a la moralité .. Surtout qu’elle avait un vêtement réglementaire qu’elle aurait mit en arrivant dans l’école ..
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Étudiante forcée de se dévêtir dehors
![]() La rentrée scolaire a été vécue sous le signe de l’humiliation pour une adolescente montréalaise forcée de se dévêtir dans le stationnement de son école secondaire. La jeune étudiante, dont la tenue vestimentaire a été jugée inadéquate par la direction, s’est confiée ce matin à Jean-Luc Mongrain dans le cadre de son émission.
Les faits reprochés par Julie, âgée de 16 ans, se sont produits à l’école secondaire Paul-Gérin-Lajoie-d’Outremont, institution montréalaise qu’elle fréquente depuis la première année du secondaire. Jeudi dernier, la jeune femme s’est présentée à l’école vêtue de shorts plus courts que ceux acceptés par la direction. Elle s’était habillée de cette façon en raison de la grande chaleur des derniers jours dans les autobus. Consciente que son morceau de vêtement était interdit dans l’école, elle avait dans son sac des bermudas adéquats.
Selon Julie, la directrice de l’établissement scolaire, qui n’impose aucun uniforme à ses élèves, a refusé qu’elle accède à sa classe après l’avoir sommée de se dévêtir.
Cette dernière lui aurait alors précisé qu’elle avait en sa possession une paire de shorts plus longue et qu’elle avait l’intention de se diriger aux toilettes pour changer sa tenue. En vain. Selon la jeune femme, on l’a obligée à se changer dans le stationnement, malgré la présence de nombreux témoins. Elle s’est vue forcée de se déshabiller entre deux véhicules. En raison de sa grandeur, Julie maintient que plusieurs personnes ont pu la voir se déshabiller.
L’étudiante déplore l’humiliation que lui a infligée la directrice, qualifiant l’attitude de cette dernière «d’abus de pouvoir».
La direction de l’école Paul-Gérin-Lajoie-d’Outremont n’a toujours pas réagi à l’entrevue de Julie malgré la demande de TVA Nouvelles.
(TVA Nouvelles)
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Un père invité nous dit de mettre nos enfants en danger
Quand j’étais petite maman nous laissais mon petit frère et moi a surveiller le commerce le jour .. on avait qu’à appeler en haut (par téléphone) pour avertir qu’il avait un client et vers 10 ans on a appris a servir les clients même celui qui nous faisaient peur quand il était saoul .. Au primaire, en allant diner, maman nous donnais un porte document avec de l’argent du commerce pour aller déposer a la caisse populaire toute seule ou avec mon petit frère
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Un père invité nous dit de mettre nos enfants en danger
Ce n’est pas la première fois que le collègue François Cardinal est notre invité (vous l’avez lu ici et ici, notamment). Mais nous avons une très bonne raison de l’inviter à nouveau: il publie un livre sur les enfants qui, assurément, va faire beaucoup jaser (un extrait plus bas) Je pensais évidemment vous en parler, et puis je me suis dit qu’il serait beaucoup plus sympathique de le laisser présenter sa thèse lui-même.
Mettons nos enfants en danger
François Cardinal
Nous avons peur, comme parents. Nous avons même très très peur…
Et pourtant, jamais le monde n’a été aussi sûr. Jamais les statistiques liées à la criminalité n’ont été aussi basses. Jamais nos enfants n’ont été autant en sécurité.
Et jamais, cela est assez manifeste, ils n’ont été aussi protégés… Il s’agirait même, selon certains, de la génération la plus supervisée dans toute l’histoire de l’humanité.
Rappelez-vous quand vous étiez jeunes : votre mère vous laissait partir le matin sans trop savoir où vous alliez. Seule condition : que vous soyez revenu pour le dîner.
Aujourd’hui : impensable!
Ma femme se rappelle avoir fait des courses au dépanneur pour sa mère… dès l’âge de 5 ans! Le comédien Vincent Graton me racontait la semaine dernière qu’à l’âge de 8 ans, il partait de la maison seul avec son lunch, empruntait le bus et le métro et passait la journée entière à l’Expo 67….
Aujourd’hui, on a de la difficulté à laisser notre enfant faire le tour du pâté de maison avant 10 ans!
On est passés en une génération de la «prévention» à la «précaution». C’est une des thèses, d’ailleurs, que je défends dans mon livre Perdus sans la nature : Pourquoi les enfants ne jouent plus dehors et comment y remédier, qui sort aujourd’hui en librairie.
On ne laisse tout simplement plus nos enfants découvrir le monde extérieur par leurs propres moyens. Pire, on ne les laisse plus découvrir le monde extérieur, point.
À trop vouloir éliminer le risque dans leur vie, on en est venu à accepter qu’ils passent le plus clair de leur temps entre quatre murs, plus souvent qu’autrement branchés à une console, une télé ou un ordi. Le sous-sol est tellement plus sécuritaire que le monde extérieur…
Or que nous disent les études sur le sujet, de plus en plus nombreuses? Que le déclin marqué du jeu à l’extérieur, non structuré et peu surveillé participe à l’explosion des problèmes de santé diagnostiqués chez les enfants : obésité, hyperactivité, déficits de l’attention, troubles du comportement, désordres liés au stress, etc.
Autrement dit, en voulant à tout prix protéger nos enfants des menaces de l’extérieur, on a créé des problèmes à l’intérieur. À l’intérieur de leur tête et de leur frêle petit corps, s’entend…
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Test révolutionnaire pour détecter la tuberculose
Ce serait vraiment une belle découverte de pouvoir diagnostiqué le tuberculose en quelques heures au lieu d’une semaine …
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Test révolutionnaire pour détecter la tuberculose
![]() Des scientifiques ont annoncé une avancée majeure dans le diagnostic de la tuberculose: un nouveau test qui peut déterminer en mois de deux heures, de façon très précise, si une personne est porteuse de la maladie et si la souche est résistante au principal médicament qui permet de la traiter.
Le test pourrait révolutionner le traitement de la tuberculose en remplaçant le procédé vieux de 125 ans utilisé présentement, qui est long et qui ne parvient pas à détecter la moitié des cas, affirment les experts. Un meilleur test sera un outil puissant pour limiter la propagation de la tuberculose dans les pays pauvres, où la plupart des personnes atteintes propagent la maladie avant qu’elle soit diagnostiquée et traitée, et où de nombreux patients ne retournent pas chez le médecin pour connaître le résultat de leur test.
Aux États-Unis, le nouveau test pourrait être d’une grande utilité dans les cliniques des quartiers pauvres, où la possibilité de diagnostiquer une souche de la maladie résistante aux médicaments lors d’une première visite permettrait de la traiter immédiatement.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) rencontrera les experts dans les prochains jours pour revoir les résultats de la recherche et pour planifier les étapes subséquentes, selon un communiqué de l’un des experts en tuberculose de l’OMS, le Dr Mario Raviglione.
Le communiqué ajoute que les résultats obtenus par les chercheurs ont le potentiel de révolutionner le traitement de la tuberculose et que l’OMS les traitera en tant que priorité absolue.
Les travaux de recherche ont été en partie financés par la fondation Bill & Melinda Gates et par le gouvernement américain. Les résultats ont été publiés mercredi sur le site du New England Journal of Medicine.
La tuberculose tue environ 1,8 million de personnes par année dans le monde et est de plus en plus souvent causée par une bactérie résistante à un ou plusieurs médicaments. Le meilleur test présentement disponible, qui consiste à cultiver la bactérie en laboratoire à partir d’un échantillon de mucus, prend une semaine, voire plus; l’approche la plus courante consiste donc à analyser un échantillon de la bactérie sous un microscope. De nombreux cas ne parviennent pas à être détectés par cette méthode, qui ne donne en outre aucune indication sur la résistance aux médicaments et qui ne permet pas d’établir un diagnostic avant que le patient ne quitte la clinique.
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Le corps humain
C’est vrai qu’on se détruit nous-même, on sait que telle chose n’est pas bon pour nous et pourtant nous insistons .. et quand c’est bon pour nous on remet a demain .. Quelles contradictions ..
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Le corps humain
Je ne cessais de songer à quel point le corps humain est merveilleux et comment, par ignorance, nous travaillons à le détruire.
Harvey Milstein
Faire le bien
Je suis persuader que si nous faisons des bonnes actions sans attendre au retour, un jour il nous sera rendu autant de bien.. Je suis persuader que tout ce paie un jour les bonnes et mauvaises actions …
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Faire le bien
![]() Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu’il vit une Mercedes en
panne sur le côté de la route. Malgré la faible lumière du jour, il aperçut
la conductrice, une vieille dame qui avait l’air complètement affolée..
Il s’arrêta devant la Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers
la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage,
il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu’elle attendait,
personne ne s’était arrêté .
Est- ce que ce jeune homme allait lui faire du mal?
Il pouvait voir qu’elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture.
Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule . Bryan perçut sa peur.
Je vais vous aider Madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud…. Mon nom est Bryan Anderson.
Il constata qu’elle avait une crevaison; mais en raison de son âge avancé,
elle ne pouvait rien faire toute seule..
Bryan s’accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail.. Elle vit qu’en remplaçant le pneu, il s’était sali et blessé à une main.
Pendant qu’ il resserrait les écrous, elle abaissa sa vitre et commença à lui adresser la parole.
Elle lui expliqua qu’elle était de St Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide. Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n’avait pas d’importance tellement elle avait eu peur, s’étant imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s’il ne s’était pas arrêté.
Bryan lui répondit qu’il n’avait pas à être payé. Ceci n’était pas un travail pour lui. Il n’avait fait qu’ aider quelqu’un dans le besoin. Dieu seul savait combien de fois des gens l’avaient aidé dans le passé. Il menait son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l’ esprit d’agir autrement.
Il lui dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu’elle verrait quelqu’un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l’assistance nécessaire; et il conclut, ‘ Souvenez-vous de moi’
Il attendit qu’elle démarrât son véhicule pour s’en aller. C’était une belle journée froide, la vie n’était pas facile pour lui en ce moment , mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison .
A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant.. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de continuer sa route..
C’était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence .La serveuse l’accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses cheveux mouillés.
Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu’elle était debout toute la journée. La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d’environ huit mois mais que ni l’effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur.. La vieille se demanda comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers une étrangère.
Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle finit son repas, elle paya avec un billet de 100$ . La serveuse alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour. Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver.
Elle remarqua alors une note sur la serviette de table.
Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit :
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Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 $. Hé bien ! Même s’ il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir , la serveuse décida de le faire un autre jour… Elle rentra chez elle, et en se mettant au lit , elle pensa à l’argent et à ce que la vieille lui avait écrit.
Comment la dame aurait-elle pu savoir qu’ elle et son mari en avaient besoin ?
Avec un bébé le mois suivant, cela s’annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota doucement à son oreille :
« Tout ira bien. Je t ‘aime, Bryan Anderson. »
Auteur inconnu