Un grano à la Cage aux sports

Ce billet me fait penser a mes cours de philosophie sur la consommation ..  une opinion d’un journaliste qui après avoir testé le produit donne de très bons commentaires .. Pis de toute façon, nous sommes en période cruciale pour changer nos habitudes alimentaires mais malheureusement, les restaurants au repas du type fast food font tout pour aiguiser nos papilles gustatives a rester a manger de mal en mal Nuage   Un grano à la Cage aux sports     Marc Allard Le Soleil     (Québec) Avez-vous vu la dernière pub de la Cage aux Sports? Celle du gars qui est devenu végétarien après avoir rencontré une fille, mais qui ne sort plus avec elle parce qu’il aimait encore plus les hamburgers?   La première fois que je l’ai vue, j’ai ri. Même ma blonde, qui est une ex-végétarienne, a souri. En même temps, sans doute par fierté grano, je me suis demandé pourquoi la Cage avait besoin de se moquer des végétariens pour vendre ses burgers «V.I.P.». J’avais ma petite idée. Mais dimanche soir, en revenant de Portneuf, j’ai voulu goûter à ce fameux hamburger pour les gens très importants. Alors j’ai invité ma petite famille à la Cage aux Sports près de l’autoroute Duplessis.   J’ai commandé un burger prime rib, garni de rondelles d’oignon «à la bière», de salade de chou et d’une liasse de laitue iceberg si épaisse que j’ai dû en enlever la moitié pour prendre une bouchée, le tout avec des frites et une chope de Coke. Ma copine a pris le burger classique – bacon, mayo et fromage – avec des frites et de l’eau. La petite est encore trop jeune pour profiter du menu pour enfants à 2 $. Elle a tété. Je vous mentirais en disant que j’aurais eu plus de plaisir à manger une salade de luzerne que l’énorme hamburger qu’on m’a servi. Comme la plupart des humains, j’ai un faible pour le sel, le gras et le sucre. C’est après avoir englouti toutes ces calories vides que j’ai moins aimé l’expérience. Vous savez, cette impression d’être bourré et sans énergie. La vp aux approvisionnements de la Cage aux Sports, Jeanne Lebrun, m’a expliqué au téléphone que ses galettes de boeuf sont plus grosses et viennent d’une partie plus tendre du boeuf (la côte) que celles de McDonald’s ou de Burger King. Elle m’a aussi dit que pour gagner du temps et diminuer les risques de maladie du hamburger, elles sont précuites dans une usine en Alberta et fabriquées selon une «recette» secrète avec des «épices».   Concurrence oblige, Mme Lebrun ne pouvait pas me révéler ce qui avait été ajouté aux boulettes… Quant aux frites de la Cage, minces et banales comme dans tant d’autres chaînes de restos, elles sont fournies par McCain, le géant de la pomme de terre transformée. Pour moi, c’est du fast food. De luxe, si vous voulez, mais du fast food quand même. Et c’est à ça que sert la pub en question : à nous rassurer. À dire aux Québécois que les végétariens et les autres granos sont une bande de casse-pieds qui veulent nous empêcher de manger de la viande et des patates. Dans la pub, le average guy qui a laissé sa blonde – appelons-le Hector – essaie aussi de dire aux gars que de baser son alimentation sur autre chose – des légumes et des céréales, par exemple -, c’est un truc de filles. Et surtout pas de vrais mâles qui regardent RDS en grignotant des ailes de poulet. Dans un sens, c’est une pub farouchement conservatrice. Hector dit qu’il ne connaissait pas le quinoa, le soja, les graines de lin et la luzerne avant de rencontrer son ex. Il devrait la remercier. C’est de loin meilleur pour sa santé et sa sil-houette qu’une assiette de burger V.I.P.   En tout cas, si Hector décide de reprendre avec sa blonde, dites-lui qu’il a juste à faire comme un nombre croissant d’anciens bons mangeurs de chair animale préoccupés par le sort de la planète : manger moins de viande et cuisiner plus de bouffe végétarienne.    Les anglos ont trouvé un nom pour cette catégorie d’omnivores : les flexitarians. Je ne sais pas s’ils peuvent aller à la Cage aux Sports…   http://www.cyberpresse.ca

La solitude du banc

Les bancs qu’ils soient en bois, en ciment, en métal ou en plastique donne une impression de calme, de solitude qu’importe le décor qui l’accompagne Nuage   La solitude du banc   Photographe : © Louis-Thibaud Chambon                                     http://www.linternaute.com

Où chercher les fossiles martiens?

Me semble que cela ne doit pas être évident d’étudier a ce point la planète Mars. Pour le moment ce n’est que des suppositions, peut-être qu’un jour, les chercheurs et archéologue pourrons arpenter cette planète et vérifier leurs hypothèses Nuage   Où chercher les fossiles martiens?     Photo: NASA     Des formations rocheuses susceptibles d’abriter des preuves fossilisées d’une vie passée sur Mars ont été décelées par des astronomes américains.   L’équipe, menée par le Pr Adrian Brown du SETI (Institut de recherche d’une intelligence extraterrestre), estime que les roches anciennes de carbonate retrouvées dans la région appelée Nili Fossae sont tout indiquées pour la recherche de fossiles.   Selon le Pr Brown, cette zone ressemble étrangement à une région terrestre située en Australie et reconnue pour conserver les plus anciennes formes de vie sur Terre.     Photo: NASA   Le carbonate apparaît dans les teintes de vert dans cette photo d’environ 15 km de surface martienne.   En fait, le chercheur pense que le même processus hydrothermal rencontré sur Terre aurait permis de conserver des traces anciennes d’une vie sur Mars à cet endroit.   Les roches qui s’y trouvent, ajoute le scientifique, sont vieilles de 4 milliards d’années, ce qui correspond aux trois quarts de l’évolution de la planète voisine de la Terre.   En 2008, les instruments de l’orbiteur Mars Reconnaissance ont découvert pour la première fois des accumulations de carbonate dans des couches de roches martiennes.   Le carbonate se forme lorsque l’eau et le dioxyde de carbone se mêlent au calcium, au fer ou au magnésium. Sur Terre, le carbonate préserve les éléments organiques, donc la vie.   Le détail de leurs travaux est publié dans le journal Earth and Planetary Science Letters.   http://www.radio-canada.ca

Un ours pénètre dans une maison pour y manger des fruits

Plus de peur que de mal .. mais curieux que l’ours a amener avec lui un souvenir de sa visite touristique d’une maison Nuage   Un ours pénètre dans une maison pour y manger des fruits     Photo d’archives AP Agence France-Presse Laconia, New Hampshire     Un ours s’est introduit mardi dans une maison de Laconia, une localité du nord-est des États-Unis, se dirigeant vers la cuisine où il a mangé deux pêches et une grappe de raisins avant de se désaltérer dans le bocal à poissons rouges.   Mary Beth Parkinson, la propriétaire des lieux, explique que le plantigrade a probablement profité d’une porte ouverte pour se glisser dans la cuisine. Mme Parkinson, en actionnant un peu plus tard la porte du garage pour rentrer chez elle, a dû faire peur à l’ours qui s’est enfui sans toucher aux occupants du bocal, mais en emportant… un ours en peluche qui traînait près de la porte.   Selon Mme Parkinson, ses deux fils de six et neuf ans se sont assurés que les portes étaient bien fermées avant d’aller se coucher.   http://www.cyberpresse.ca

La dépression affecte la perception des couleurs

Broyés du noir ne serait pas juste au sens figuré mais bien réel. Quand une personne est en dépression c’est tout ce corps qui suit .. Un autre point qui prouve que la dépression n’est pas des simulations qu’une personne fait mais belle et bien une maladie Nuage   La dépression affecte la perception des couleurs     Les états dépressifs font effectivement voir la vie en gris.   Étonnante découverte à l’Université Albert-Ludwigs en Allemagne, la dépression fait effectivement voir la vie de façon plus grisâtre.   Selon l’équipe du Dr Emanuel Bubl, la dépression affecte la manière dont les gens perçoivent les couleurs en les rendant moins contrastées et plus grisâtres.   Pour en arriver à ces résultats, les chercheurs ont réuni deux groupes de 40 personnes. Le premier groupe comprenait des personnes dépressives, mais elles n’étaient pas toutes sous médication. Dans le deuxième groupe, on ne retrouvait aucune dépression.   En utilisant un appareil ressemblant à un électrocardiogramme, mais qui mesure la réaction de la rétine à différents contrastes visuels, on a constaté que les personnes qui souffraient de dépression réagissaient moins aux changements de contrastes entre le noir et le blanc.   En fait, plus une personne était dépressive, moins elle voyait les changements. Les chercheurs pouvaient même dire si une personne était dépressive seulement avec les résultats de ce test tellement la différence était marquée entre les deux groupes.   Par contre, on ignore pour le moment si les résultats seraient les mêmes pour d’autres troubles mentaux, conclut le Biological Psychiatry.   http://sante.canoe.com

Le bonheur entre ses mains

Si on veut changer les choses … il faut commencer par agir Nuage   Le bonheur entre ses mains        L’homme n’est pas l’œuvre des circonstances. Les circonstances sont l’œuvre de l’homme. »   Benjamin

La fleur

Ce sont des petites choses qui font que la journée s’embellit. Nous avons tellement de ces petites choses a tout moment mais parce que nous devenons habitué, cela devient une routine .. donc un acquis alors que pour certains c’est un moment d’affection, d’amour et de tendresse a partager. Nuage   La fleur      Pendant un certain temps, quelqu’un m’a donné, chaque dimanche, une rose que je portais à la boutonnière de mon complet.  Comme je recevais toujours une fleur le dimanche, je ne m’y arrêtais pas vraiment.  C’est un geste que j’appréciais, mais qui faisait partie de la routine.  Or, un dimanche, ce que je considérais comme ordinaire devint très spécial.   En quittant la messe, une jeune garçon s’approcha et s’adressa directement à moi:     "Monsieur, qu’allez-vous faire avec votre fleur?"     Au début, je ne saisissais pas ce qu’il voulait dire, puis je compris.   Je dis: "Tu veux dire ceci?" en indiquant la rose fixées à mon manteau.   Il répondit: "Oui, monsieur, j’aimerais l’avoir si vous avez l’intention de la jeter."    À ce moment, je souris et lui dis qu’il pouvait l’avoir; je lui demandais simplement ce qu’il comptait faire.  Le petit bonhomme, âgé d’à peine 10 ans, me regarda et :   "Monsieur, je vais l’offrir à ma grand-mère.  Ma mère et mon père ont divorcé l’an dernier et je vivais avec ma mère.  Lorsqu’elle s’est remariée, elle a voulu que j’aille vivre avec mon père. C’est ce que j’ai fait pendant un moment, mais il a fini par dire que ne pouvais pas rester et il m’a envoyé chez ma grand-mère.  Elle est très bonne pour moi.  Elle cuisine pour moi et prend soin de moi.  Elle est tellement bonne pour moi que je veux lui donner cette belle fleur simplement parce qu’elle m’aime."   Quand le petit garçon termina son histoire; je pouvais à peine parler.  Mes yeux se remplirent de larmes et je savais que j’avais été touché au plus profond de mon âme.  Je détachais la fleur et, la tenant dans ma main, je regardais le garçon et lui dit:   "Fiston, c’est la chose la plus gentille qu’il m’a été donné t’entendre, mais tu ne peux pas avoir cette fleur parce que ce n’est pas suffisant.  Si tu vas devant la chaire, tu trouveras un gros bouquet de fleurs.  Diverses familles les achètent pour l’église chaque semaine.  Prends ces fleurs et offre-les à ta grand-mère parce qu’elle mérite ce qu’il y a de mieux."   Comme si je n’étais pas suffisamment ému, il ajouta une dernière remarque que j’apprécierai toujours:    "Quelle merveilleuse journée!  J’ai demandé une fleur et j’ai obtenu un magnifique bouquet."   Le pasteur John R. Ramsey