10 remèdes de grands-mères pour soigner vos maux


Nos grands-mère avaient plus d’un tour dans leur cuisine pour soignée leur enfants .. Elles n’avaient pas la pharmacie ..mais des trucs qui se transmettaient de générations en générations .. Certains trucs nous les connaissons, d’autres pas .. alors c’est un voyage dans le temps .. qui peut-être soulagera certains petits maux
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10 remèdes de grands-mères pour soigner vos maux
 
1. L’acné
 
1. L’acné (iStock)
 

Il y a deux façons de s’attaquer au problème : de l’intérieur ou de l’extérieur.
De l’intérieur : les croustilles, le chocolat, les boissons gazeuses et le sucre en général sont à proscrire. Il semblerait qu’une saine alimentation améliorerait l’aspect de la peau des personnes acnéiques. – Mamie Lorraine, 77 ans
 
De l’extérieur : les possibilités sont multiples. Si vous avez une plante d’aloès, vous pouvez extraire le gel d’une de ses feuilles et l’appliquer sur vos boutons à l’aide d’une ouate le matin et le soir. Vous pouvez aussi couper une tomate en tranches et l’appliquer sur votre visage. L’acidité de la tomate et les nutriments qu’elle contient devraient aider votre peau. – Matante Marie, 81 ans
 
2. La constipation
 
2. La constipation (iStock)
 
Certains classiques ne se démodent pas. Ainsi, les pruneaux ont toujours été populaires pour favoriser la régularité intestinale. On faisait tremper des pruneaux dans l’eau et on devait en manger trois chaque matin accompagnés de céréales au son. L’huile de castor était aussi très populaire mais, heureusement pour nous, elle n’est plus disponible en pharmacie! – Mamie Lorraine, 77 ans
 
Une autre solution consiste à faire une infusion de pissenlit. Il suffit de prendre un plant complet de taille moyenne (fleur, feuilles et racines) et de l’ébouillanter dans environ un litre d’eau. Il faut laisser infuser une dizaine de minutes et en boire deux à trois tasses par jour. – Grand-mère Isabeau, 97 ans
 
3. La diarrhée
 
3. La diarrhée (iStock)
 
Un truc très efficace consiste à faire bouillir une cuillère à soupe de riz dans deux tasses d’eau, de filtrer et de boire l’eau qui en résulte. – Matante Loulou, 88 ans
 
Une cure aux pommes pourrait aussi rétablir vos intestins hyperactifs. Il s’agit d’éplucher deux livres de pommes et de les râper. Ensuite, vous ne mangez que ces pommes pendant une journée complète. – Grand-maman Margot, 72 ans
 
4. La grippe
 
4. La grippe (iStock)
 
Dès l’apparition des premiers symptômes, prenez un bain chaud et frictionnez-vous le corps avec de l’eau vinaigrée. Enfilez ensuite un pyjama chaud et glissez-vous sous vos couvertures pour une bonne nuit de sommeil. – Matante Marie, 81 ans
 
Il semble que l’ail et l’oignon soient également de mise. Il est conseillé de hacher finement un gros oignon et de le laisser macérer dans deux tasses d’eau. Il vous faudra ensuite boire l’eau, à moins que vous ne préfériez vous régaler d’une tasse de lait chaud dans laquelle vous aurez fait bouillir deux gousses d’ail écrasées. – Grand-maman Margot, 72 ans
 
5. Les migraines et les maux de tête
 
5. Les migraines et les maux de tête (iStock)
 
Coupez une pomme de terre crue en tranches d’environ un centimètre et disposez-les sur votre front, d’une tempe à l’autre. Des tranches de citron feraient tout aussi bien l’affaire. Utilisez un bandeau pour les faire tenir et gardez-les aussi longtemps que possible. – Matante Loulou, 88 ans
 
Si vous avez mal à la tête, plongez les mains dans l’eau très chaude ou les pieds dans l’eau glacée! Ces deux techniques visent à rétablir une circulation sanguine défaillante qui pourrait être la cause de votre mal. – Grand-mère Isabeau, 97 ans
 
6. Les otites
 
6. Les otites (iStock)
 
Ici, les grands-mères sont unanimes! Il faut chauffer de l’huile d’olive et en verser quelques gouttes dans l’oreille du malade. On place ensuite une ouate dans l’oreille pour éviter les dégâts.

7. La congestion nasale
 
7. La congestion nasale (iStock)
 
C’est le temps d’essayer le célèbre cataplasme de moutarde, aussi appelé « mouche de moutarde »! Mélangez de la moutarde sèche à de l’eau de manière à former une pâte. Appliquez ensuite cette pâte sur un morceau de papier brun ou une pièce de tissu et disposez en alternance pendant 15 minutes sur la poitrine du malade et pendant 15 minutes entre ses omoplates. Cette mixture peut brûler la peau, il ne faut pas la laisser trop longtemps. Mamie Lorraine, 77 ans
 
8. Les coupures
 
8. Les coupures (iStock)
 
Dans un cas de coupure sévère, il faut trouver une grande quantité de toiles d’araignées et les entortiller autour de la blessure. – Matante Loulou, 88 ans
 
9. Les piqûres d’insectes
 
9. Les piqûres d’insectes (iStock)
 
Une fois encore, un oignon pourrait vous aider. Mettez du jus d’oignon frais sur la piqûre et appliquez ensuite une tranche d’oignon pendant cinq minutes. Vous pouvez aussi utiliser une feuille de plantain que vous apposez sur la piqûre. – Matante Loulou, 88 ans
10. La mauvaise haleine
 
10. La mauvaise haleine (iStock)
 
Si ce problème est persistant, il peut cacher un problème plus grave mais, en attendant, vous pouvez croquer un grain de café ou un clou de girofle. Vous pourriez aussi mâcher du persil ou boire une infusion avec du jus de citron. – Grand-mère Isabeau, 97 ans
 

 

Le corps humain vu de l’intérieur


Quand on regarde une personne on est loin de se douter qu’en dedans c’est presque qu’une oeuvre d’art par la chimie intérieure du corps humain
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Le corps humain vu de l’intérieur
 
Calculs de la vessie
 

calculs rénaux
© Spike Walker
 
Des cellules nourricières pour l’ovule
 

ovule humain

 
© Yorgos Nikas
 
Zoom sur un ganglion spinal
 
ganglion
 
© Kate Nobes & Mark Shipman
 
23 paires de chromosomes
 
chromosomes
 
© Dr T.J. McMaster
 
Des hormones stimulantes par milliers
 
récepteur cerveau
 
© MRC Toxicology Unit
 
Brûlure cutanée
 
morceau de peau
 

© Anne Weston, LRI, CRUK
 
Le fameux nerf qui coince
 
nerf sciatique
 
© Prof. Peter Brophy
 
Culture de neurones 
 
neurones
 
© Ludovic Collin
 
Anémie falciforme
 
anémie
 
© EM Unit, UCI, Medical School, Royal Free campus
 
Cellule cancéreuse 
 
cancer poumon
 
© Anne Weston, LRI, CRUK
 
Os compact du fémur
 
os compact
 
© Ivor Mason
 
Nerfs sensitifs
 
nerfs
 
 © Spike Walker
 
Cellule de soutien
 
fibroblastes
 
© Dr David Becker et K. Whitley
 
Un bon coup d’adrénaline !
 
adrénaline
 
© Spike Walker
 
 Vitamine C
 
vitamine c
 
 © Spike Walker
 
Cristaux d’aspirine
 
 
aspirine
 
 © Spike Walker
 

 

Des études plus longues mettent à l’abri de la démence


Apprendre toujours apprendre, lire, s’occuper l’esprit, est en sommes une façon d’aider notre cerveau a rester en santé pour que plus tard la démence ne viendra pas tout effacer
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Des études plus longues mettent à l’abri de la démence
 
 
Les personnes qui ont étudié plus longtemps sont mieux armées contre la démence, selon une étude publiée dans l’édition en ligne de la revue Brain, le 26 juillet.
 
Ces résultats confirment une série d’études, menées ces dix dernières années, qui montrent qu’une scolarité plus poussée réduit le risque de souffrir de démence, définie comme une «perte des fonctions intellectuelles», dont la mémoire, le sens de l’orientation, la capacité à calculer, le langage, l’attention et la réflexion.
 
Carol Brayne, professeur d’épidémiologie de l’université de Cambridge, qui a dirigé les travaux, a découvert que c’est dans la réaction à la démence que se révèle l’intérêt d’avoir fait des études longues.

«Les personnes ayant différents niveaux d’études ont des pathologies cérébrales similaires, mais ceux qui ont fait plus d’études sont mieux capables de faire face aux effets de la démence», notent les chercheurs.
 
Selon un communiqué de l’université de Cambridge datant du 24 juillet, «chaque année d’études supplémentaire» réduit le risque de démence de 11%.
 
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime à plus de 29 millions le nombre de personnes souffrant de démence dans le monde, et prévoit que
 
«l’Afrique, l’Asie et l’Amérique Latine, ensemble, pourraient réunir plus de 80 millions de personnes souffrant de démence d’ici 2025».
 
Hannah Keage, coauteur de l’étude et chercheuse à Cambridge, explique:
 
«Les études au début de la vie semblent permettre à certaines personnes de faire face à de nombreux changements dans leur cerveau avant de montrer des symptômes de démence.»
 
Carol Brayne renchérit:
 
«Les études sont connues pour être bonnes pour la santé et l’équité de la population. Cette étude apporte un argument de poids en faveur de l’investissement dans des éléments au début de la vie, qui devraient avoir un impact sur la société et l’ensemble de la vie ensuite.»
 
Dans le même sens, Lon White, chercheur et neuroépidemiologiste au centre médical Kuakini à Hawaï, explique qu’«un faible accomplissement dans les études (qui reflètent l’expérience dans l’enfance) et du stress pendant la vie adulte semblent être des facteurs de risque légitimes pour un début tardif de démence», interrogé par Relaxnews, le 25 juillet.
 
Et d’ajouter: «Tout le monde voit le phénomène, et personne ne le comprend vraiment.»
 
L’OMS prédit que «le vieillissement de la population mondiale aura inévitablement pour résultat une hausse conséquente du nombre de cas de démence. Le risque de développer cette pathologie augmente de façon importante avec l’âge, chez les personnes de plus de 60 ans. Les possibilités de prévention et de traitement sont limitées.»
 
«C’est particulièrement intéressant, car la majeure partie des études se déroulent dans l’enfance, alors que la démence est à l’autre bout de la vie», note Lon White, qui ajoute que «la prévalence de démence double tous les 5 à 7 ans après l’âge de 60-65 ans, et affecte environ 50% de la population autour de 90 ans».
 
«Mon hypothèse est que la majeure partie du phénomène est liée à une plus grande éducation dans l’enfance qui stimule le cerveau pour qu’il développe un ‘logiciel’ de sauvegarde en excédent qui puisse faire face à tous les défis possibles… Mais nous espérons tous que quelle que soit la façon dont fonctionne cette stimulation, elle soit toujours opérante dans la vie adulte, et permette de continuer à construire nos réserves cognitives (‘logiciels’), peut-être avec un effet allié sur le nombre de neurones et les connexions sur lesquels nous nous reposons à la fin de la vie», expose Lon White, qui précise: «Mais ce n’est guère plus qu’une hypothèse et un espoir».
 
Lon White n’a pas participé à l’étude dirigée par Carol Brayne, mais a également publié un article dans la revue Brain le 17 juillet sur les facteurs de stress au cours de la vie adulte et l’accomplissement dans les études, en tant que facteurs de risques favorisant le développement d’une démence.
 
Etude «Education, the brain and dementia: neuroprotection or compensation» disponible sur: brain.oxfordjournals.org
 
Etude «Educational attainment and mid-life stress as risk factors for dementia in late life» disponible sur: brain.oxfordjournals.org
 

Les moutisques préfèrent les hommes grands et femmes en surpoids


Bon c’est fin ça .. voilà que les moustiques s’en mêlent en préférant certaines personnes que d’autres, c’est ça être sélectif .. Hum .. pendant les sorties pleins air, je mettrais mon bébé qui est le plus grand de la famille au front. Pas sur qu’il appréciera …
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Les moutisques préfèrent les hommes grands et femmes en surpoids
 
 
 
 
La taille du corps aurait un impact sur l’attractivité exercée sur les moustiques.
 
Une nouvelle étude révèle que les hommes grands et les femmes en surpoids sont plus susceptibles d’être piqués par des moustiques.
 
C’est la première fois que des chercheurs démontrent un lien entre la taille du corps et l’attractivité pour ces insectes.
 
Selon l’étude rapportée par le Telegraph, après avoir étudié 300 personnes, on constate que les hommes grands et les femmes en surpoids se font plus piquer que les autres.
 
«Les moustiques aiment voler à environ deux mètres de hauteur, nous pensons donc que les hommes grands sont les premiers hôtes qu’ils rencontrent», explique la Dre Jenny Mordue.
 
Pour les femmes plus rondes, le phénomène s’expliquerait par le fait qu’elles produisent plus de chaleur et d’humidité, mais surtout plus de substances chimiques qui composent l’odeur d’une personne. C’est ce qui les rendrait plus attrayantes pour les moustiques.
 

La maladie de Lyme progresse au Québec


Quand une petite bestiole assoiffée de sang est infectée par un organisme encore plus petite qu’elle, cela peut s’avérer désastreux pour les grandes bêtes que nous sommes !!!
Dire que l’hiver nous épargnait nombre d’insectes mais qui avec le temps trouve le moyen de s’acclimater …
Nuage
 
La maladie de Lyme progresse au Québec
 
 
MONTRÉAL – Inexistante au Québec avant 2004, la maladie de Lyme a progressé depuis les cinq dernières années avec 14 cas répertoriés.
 
La maladie de Lyme se transmet par les morsures de tiques à pattes noires et est causée par la bactérie Borrelia burgdorferi.
 
Elle peut causer des éruptions cutanées, mais aussi atteindre le système nerveux en causant une paralysie de certains muscles dans les cas les plus graves.
 
Sept personnes ont contracté la maladie de Lyme au Québec depuis deux ans; tous en Montérégie. Toutes les personnes atteintes antérieurement avaient été piquées lors de voyages à l’extérieur de la province, aux États-Unis principalement.
 
On explique cette recrudescence par le fait que les tiques sont maintenant bien installées dans la province.
 
« Ce qu’on pense, c’est que maintenant, elles ont trouvé un environnement où elles peuvent survivre à l’année longue. Elles commencent à s’installer, alors qu’avant elles étaient transportées par les animaux et mourraient à l’hiver », précise François Milord, médecin-conseil à l’Institut national de la santé du Québec.
 
Pour l’instant, les recherches permettent de dire que les tiques sont présentes dans la plupart des régions du Québec en été, mais ne sont implantées qu’en Montérégie toute l’année.
 
Il faut cependant souligner que même si quelqu’un se fait mordre, il n’est pas certain que la maladie de Lyme soit contractée.
 
« On évalue que 10 % des tiques sont porteuses de la bactérie », ajoute M. Milord.
 
Si la maladie est détectée assez tôt, il est facile de la traiter par antibiotiques. Par contre, si le troisième stade est atteint, il peut être plus difficile d’en guérir, avec des risques de développer une maladie chronique.
 
On répertorie trois cas jusqu’à présent en 2010.
 

Soyez vous-même


Ouain, histoire qui tourne en rond pour finir qu’il est mieux qu’en réalité nous soyons nous-même .. c’est ce qui nous rend unique dans le fond .. copier une autre personne nous ne faisons qu’être un mouton alors qu’être nous-même, nous distingue du groupe

Nuage

Soyez vous-même 

 

Depuis ma tendre enfance, je n’ai jamais voulu être moi.  Je voulais être comme Billy Widdleton, et Billy Widdledon ne m’aimait pas.  Je marchais comme lui; je parlais comme lui; et je m’inscrivis à la même école secondaire que lui.

Ce qui fit que Billy Widdleton changeaIl commença à se tenir avec Herby Vandeman; il marchait comme Herby Vandeman; il parlait comme Herby Vandeman.  À cause de lui, je ne savais plus où j’en étais!  Je commençai à marcher et à parler comme Billy Widdledon, qui marchait et parlait comme Herby Vandeman

Et puis, tout à coup, je compris que Herby Vandeman marchait et parlait comme Joey HaverlinEt Joey Haverlin marchait et parlait comme Corky Sabinson

Me voilà à marcher et à parler comme Billy Widdleton, imitant Herby Vandeman, qui copiait Joey Haverlin, qui lui-même essayait de marcher et de parler comme Corky Sabinson. 

Et comme qui pensez-vous que Corky Sabinson tentait toujours de marcher et de parler? 

Je vous le donne en mille, Dopey Wellington – cette petite peste qui marchait et parlait comme moi.

Auteur inconnu