Dans la nuit de Samedi a Dimanche, cette fin de semaine, nous reculerons nos horloges pour revenir a l’heure normale.. Ce qui sera sans doute plus difficile pour certains, vue qu’il fera probablement noir .. Les journées en terme d’éclairage naturel seront plus courte, d’ou l’importance de profiter au maximum de cette lumière …
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5 conseils pour bien s’adapter au changement d’heure
![]() – Retour à l’heure normale de l’Est, le dimanche le 1er novembre : on recule les horloges d’une heure. Lorsque les horloges indiqueront 1 h du matin, dans la nuit de samedi à dimanche, il sera en fait minuit. Il se peut que votre corps en perde un peu la tête… Pour y remédier, voici 5 conseils tirés du Globe and Mail.
• 1. Exposez-vous à la lumière du matin. C’est le meilleur moyen d’informer votre corps que sa nuit est terminée. Par exemple, faites une petite marche en allant au travail en descendant du métro ou de l’autobus avant votre destination finale, histoire d’exposer votre corps à la lumière matinale.
• 2. Programmez vos repas. Prenez un bon petit-déjeuner au lever, aussi tôt que possible après votre réveil. C’est un autre bon moyen de signifier au corps que le long jeûne nocturne est terminé. À l’inverse, évitez de charger votre estomac tard en soirée, ce qui risque de lancer un message confus à votre organisme.
• 3. Attention à la caféine. Si vous avez besoin de plus de 2 tasses de café par jour, il y a fort à parier que vous manquez de sommeil. Évitez le café en après-midi et bannissez-le complètement en soirée. Prise au mauvais moment, la caféine envoie au corps des signaux contradictoires quant au cycle veille/sommeil.
• 4. Évitez d’appuyer sur le rappel d’alarme (snooze). Levez-vous à la première sonnerie émise par votre cadran plutôt que d’appuyer sur le bouton de rappel d’alarme. Le son du réveil fait augmenter le rythme cardiaque et élève la tension artérielle. Vous ne vous sentirez pas davantage reposé après que la sonnerie ait retenti 2 ou 3 autres fois. Vous serez seulement plus frustré et les signaux envoyés à votre corps sèmeront la confusion dans votre organisme. Il serait préférable d’aller au lit un peu plus tôt le soir.
• 5. Écoutez votre horloge intérieure. Tâchez d’apprendre à aller au lit lorsque vous êtes fatigué et à vous lever lorsque vous vous sentez reposé. Cela vous libérera de la dictature des horloges. Votre corps a besoin de dormir lorsque vous êtes fatigué, pas lorsque l’horloge le lui dicte. De même, il devrait ressentir le besoin de se lever dès qu’il est reposé, pas lorsque le réveil sonne. En fait, si vous ne vous réveillez pas naturellement avant que le réveil sonne, c’est probablement que vous manquez de sommeil.
Pierre Lefrançois – PasseportSanté.net
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Archives Mensuelles: octobre 2009
Un ours polaire prend sa retraite dans un parc écossais
C’est un bien drôle de destin qu’une ourse a connu durant des années .. venu du Canada pour s’installer dans un milieu artificiel de l’autre côté de l’océan … a pu enfin vivre dans un environnement rappelant un peu sa jeunesse ….
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Un ours polaire prend sa retraite dans un parc écossais
![]() Mercedes dans son enclos au zoo d’Edimbourg
Écosse, Grande-Bretagne – Un ours polaire qui a passé 25 ans dans une grotte de béton au zoo d’Édimbourg vient d’être transféré dans un luxueux parc naturel des Highlands pour y couler ses vieux jours.
Mercedes, 28 ans, est le seul ours polaire de Grande-Bretagne. Son histoire commence au Canada où l’ourse s’est approchée trop près des habitations car elle avait faim. Jugée dangereuse pour les humains, elle est condamnée à mort mais finalement sauvée. Elle a ensuite été transportée dans le zoo de la ville d’Édimbourg en Écosse, où elle est rapidement devenue une vedette.
C’est dans ce zoo que Mercedes a passé 25 années de sa vie, vivant dans un enclos constitué d’une fosse en béton. Mais aujourd’hui, l’ourse se voit offrir une retraite de rêve : elle vient en effet d’être transférée au Highland Wildlife Park. Le zoo transfère petit à petit ses animaux venus de climats plus froids vers le parc. L’enclos de Mercedes, d’une superficie de plus de 16.000 m², possède un lac naturel et sa végétation reproduit celle de la toundra.
D’après Douglas Richardson, responsable de l’équipe animalière du parc,
l’ourse n’a jamais été aussi heureuse : "On dirait qu’elle a passé sa vie ici. Elle est très très calme. L’espace qu’elle a aujourd’hui améliore nettement sa qualité de vie."
Elle passe ses journées à se rouler dans l’herbe ou à se baigner.
![]() ![]() A 28 ans, l’ourse prend un retraite bien méritée au coeur du Highland Wildlife Park
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Avoir peur d’avoir peur
Peur d’avoir peur doit être assez terrible a vivre … mais heureusement, ce n’est pas incurable, sauf qu’il faut chercher de l’aide et les amener a affronter leur peur
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Avoir peur d’avoir peur
![]() Photo: Photothèque La Presse
Isabelle Burgun Agence Science Presse Êtes-vous de ceux qui tremblent à l’idée d’avoir peur? Vous êtes sûrement phobophobe… une personne qui a peur d’avoir peur!
Si à l’Halloween, les ruelles sombres, les chats noirs, les chauves-souris et les déguisements sordides vous donnent des sueurs froides, il s’agit là peut-être tout simplement d’une phobie ou d’un trouble panique non diagnostiqué.
Cette névrose d’angoisse se dote généralement de complications, dont la plus courante est l’agoraphobie, la peur des endroits publics. Elle peut contaminer la vie quotidienne empêchant la personne qui en est atteinte de poursuivre des études ou une profession en l’isolant peu à peu. «C’est généralement à ce moment que les gens consultent. Les troubles de l’anxiété, c’est la raison la plus fréquente des consultations psychologiques», affirme la spécialiste.
L’organisme Phobie-Zéro estime que près de 5 % de la population en souffrirait, et de 20 à 30 % des jeunes adultes. Sans compter ceux qui développent de l’anxiété généralisée ou diverses phobies qui viennent tout aussi efficacement leur gâcher la vie.
Un enchaînement de réactions
Chair de poule, claquement des dents, accélération cardiaque, la peur résulte d’un conditionnement physiologique. En présence d’un danger – ou ce qu’on interprète comme tel -, les sens communiquent un signal à notre système nerveux autonome. Il prépare alors le corps en libérant deux hormones, l’adrénaline et le cortisol. Produites par les glandes surrénales, ces hormones permettent d’adopter une parfaite stratégie de survie : la fuite ou l’attaque. On observe aussi une augmentation des battements cardiaques, de la ventilation, de la sudation, de l’irrigation sanguine vers les muscles et un arrêt de la digestion.
Ce mécanisme naturel de défense engendre un état d’alarme, mais aussi parfois des engourdissements, une vision embrouillée, de la dépersonnalisation. Des troubles qui inquiéteront les personnes angoissées.
Cette psychologue, qui pratique l’approche cognitive comportementale, commence d’ailleurs par expliquer à ses patients comment fonctionne le corps quand surgit la peur. Savoir ce qui se produit quand on a peur s’avère la première étape pour confronter ses peurs.
La peur est un signal d’alarme essentiel à notre survie.
La peur, une alliée possible. Pour ce thérapeute en relation d’aide, cette peur est à la fois universelle et éminemment personnelle. Il s’avère nécessaire de l’accepter et de la confronter pour vivre une vie pleine et entière.
Vaincre sa peur
Avoir peur n’est pas manquer de courage.
Une famille trop protectrice, une hypersensibilité, des expériences personnelles, différents facteurs contribuent à nourrir la peur des gens. Tout comme la grande exposition aux informations, de la télévision à l’Internet.
Elle pense d’ailleurs que notre société a remplacé les dangers physiques comme celui de l’ours, par ceux qui touchent à notre intégrité psychique et mentale, par exemple la peur de l’échec ou du jugement.
Pourtant lorsqu’on vit au quotidien avec la peur et que l’on n’arrive pas à la surmonter, il ne faut pas hésiter à aller chercher de l’aide. Car il n’est pas rare que ceux qui vivent des troubles de panique se retrouvent à l’urgence.
Éliminer les sources de stress peut aider à prévenir les angoisses, mais aussi, pour certains, la pratique du sport (particulièrement le yoga), du chant et des arts plastiques peut être bénéfique. Sans compter l’humour : rire de ses peurs s’avère souvent un formidable antidote.
Prendre le mal à la racine
Après avoir informé ses patients des réactions physiologiques présentes en cas de peur, elle plonge littéralement ceux qui ont peur d’avoir peur à la source de leur angoisse.
C’est l’approche cognitive comportementale.
Ce processus, très progressif avec de nombreux doutes et rechutes, conduit presque tous les patients vers la libération de leurs angoisses.
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Les enfants suivent notre exemple
On dit souvent tel père, tel fils, ou telle mère, telle fille… car les enfants ont tendance a imiter ce
qu’ils voient ou entendent ..Les mêmes réflexions, les mêmes comportements semblent se perpétuer .. Mieux vaut donc montrer, enseigner nos bons côtés
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Les enfants suivent notre exemple
![]() Ils ne sont que le reflet de ce que nous sommes.
Ils imitent, reproduisent ce qu’ils vivent jusqu’à devenir
ce que leurs parents leurs ont montré…
C’est autant vrai pour les meilleures qualités que les plus grands défauts.
Nous pouvons, bien entendu être des exemples positifs pour nos enfants !
Auteur inconnu
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Un bout de craie
La description du père me fait penser à mon père .. mais ma mère était bien loin de le craindre .. c’était peut-être plus le contraire .. enfin. Papa partait la semaine .. pour revenir le week end .. et nous étions dans nos petits souliers, quand ils nous regardais avec ces yeux a sourcils en accent circonflexe … ouffffffffffffffff!!! C’est plus tard que j’ai compris que papa nous aimais beaucoup, mais qu’il ne savait pas comment le démontré. Il n’était pas le père austère que nous avions cru.
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Un bout de craie
![]() Chez nous, il était naturel de craindre mon père.
Même notre mère avait peur de lui. Enfants, ma soeur et
moi croyions que toutes les familles étaient comme ça. Chaque famille avait un alcoolique imprévisible impossible à satisfaire, et une maman pieuse qui était là pour protéger ses enfants. Nous croyions que Dieu avait tout organisé ainsi. Nous étions de bons enfants; maman nous disait toujours que
nous l’étions, même si papa ne le voyait pas. C’était en partie parce que nous n’osions rien faire. Nous étions des enfants tranquilles et timides qui parlaient rarement et jamais quand papa était à la maison. Les gens croyaient que Dieu avait donné à maman les filles les plus gentilles ! Elle était toujours si fière de nous ! Puis vint le jour où nous avons trouvé quelque chose de nouveau
et d’amusant à faire. Nous savions que personne ne se fâcherait. Nous ne prenions jamais le
risque de faire ça. La porte de notre maison était en bois. Nous avons découvert que nous pouvions y faire des dessins avec de la craie qui s’effaçaient facilement. Nous allions avoir beaucoup de plaisir. Nous avons commencé à dessiner et à faire des tas de jolis dessins
partout sur la porte. Nous nous amusions ferme. Nous étions surprise de constater à quel point nous avions du talent. Ces dessins étaient bons ! C’est alors que nous avons décidé de terminer notre chef-d’oeuvre. Nous étions fières de notre travail. Nous savions que maman l’aimerait. Elle voudrait que toutes ses amies viennent le voir, et peut-être qu’elles
voudraient qu’on
dessine leur porte aussi. Nous avions trouvé quelque chose en quoi nous excellions ! Les éloges que nous attendions ne sont pas venus. Au lieu de voir la beauté
de notre oeuvre, tout ce que maman pouvait voir était le temps et l’effort qu’il faudrait pour la nettoyer. Elle était furieuse. Nous ne comprenions pas, mais nous connaissions bien la colère et nous étions dans le pétrin ! Nous avons déguerpi pour trouver un endroit où nous cacher. Dans notre cour
boisée, il n’était pas difficile pour deux petits enfants de trouver un lieu sûr. Ensemble, nous nous sommes blotties derrière un arbre et n’avons plus bougé. Bientôt, nous avons entendu les voix effrayées de maman et de nos voisins qui nous appelaient. Nous n’avons quand même pas bougé. Ils avaient peur que nous soyons en fugue ou que nous nous soyons noyées dans l’étang derrière.
Nous avions peur qu’ils nous trouvent. Le soleil s’est couché et l’obscurité est tombée. Les gens autour
de nous sont devenus plus anxieux, et nous, plus effrayées. Le temps filait, et plus nous nous cachions là longtemps, plus il devenait difficile d’en sortir. Maman était maintenant convaincue que quelque chose d’affreux nous était arrivé, et elle a décidé de téléphoner à la police. Nous savions que quelque chose se passait, parce que nous pouvions entendre toutes les voix discuter en groupe. Puis les recherches ont repris, cette fois-ci avec de fortes voix masculines dominant sur les autres. Nous avions peur avant, mais maintenant, nous étions terrorisées ! Comme nous nous agrippions l’une à l’autre dans le noir, nous avons
conscience d’une autre voix, une que nous avons reconnue instantanément avec horreur: notre père. Mais il y avait quelque chose d’étrangement différent dans sa voix.
Nous y entendions quelque chose que nous n’avions jamais perçu auparavant.
La peur, la détresse, le désespoir.
Nous ne pouvions pas y mettre un nom alors, mais c’était bien cela.
Puis vinrent les pleurs et les prières entremêlés.
Était-ce notre papa à genoux, suppliant Dieu ?
Notre papa, des larmes coulant sur son visage, promettant à Dieu de lui donner sa vie s’il lui ramenait ses filles saines et sauves ? Rien dans nos vies nous avait préparées à ce genre de
choc. Aucune de nous ne se souvient d’avoir pris la décision de sortir. Nous étions attirées vers lui comme à un aimant, nos craintes se dissipant dans la forêt. Nous ne savons toujours pas si nous avons vraiment marché, ou si Dieu, d’une manière ou d’une autre, nous a fait bouger jusque dans ses bras. Ce dont nous nous souvenons, ce sont ces bras forts et aimants nous tenant et pleurant, nous tenant comme si nous étions précieuses. Les choses ont été différentes après cela. Nous avions un
nouveau papa. C’était comme si l’ancien avait été enterré dans la forêt ce jour-là. Dieu l’avait pris et l’avait remplacé par un autre, un qui nous aimait et était sans cesse reconnaissant de nous avoir. Maman nous a toujours dit que Dieu était un Dieu de miracles.
Je crois qu’elle avait raison. Il a changé toute notre famille avec un bout de craie !
Auteur inconnu
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La vie tourmentée d’un cadavre
Ceux qui sont ont tendances au cauchemars sont peut-être mieux d’éviter mon billet .. il faut dire que fin octobre et Novembre sont des mois propices au thème de la mort. Alors pourquoi pas creuser un peu plus sur le sujet et savoir les phases qu’un corps entreprend au moment de rendre son dernier souffle de vie
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La vie tourmentée d’un cadavre
![]() Photothèque
Delphine Vandycke Agence Science Presse En 1977, le controversé docteur Gunther von Hagens inventait la plastination : en remplaçant l’eau des tissus humains par du silicone, il réussissait à figer dans le temps le corps de personnes décédées. Mais un cadavre a généralement un tout autre destin que celui de finir dans un musée… Âmes sensibles, s’abstenir de lire la suite…
D’abord, lorsque la mort survient, il y a arrêt des fonctions cardio-respiratoires : le coeur arrête de battre, la circulation sanguine s’interrompt. Peu à peu, le corps refroidit. En l’espace d’environ 24 heures, sa température s’équilibre avec celle du milieu ambiant.Pendant ce temps, le sang descend sous l’effet de la gravité, s’agglutinant dans les parties plus basses du corps. La lividité cadavérique-une coloration bleue ou pourpre de la peau-commence à apparaître à ces endroits. Une douzaine d’heures après la mort, le phénomène atteint son intensité maximale. À partir de cet instant, même si on déplace le corps, le sang ne bouge plus: les lividités sont fixées.
Les muscles du cadavre, quant à eux, durcissent de plus en plus, à mesure que le calcium s’y amasse. Cette rigidité touche d’abord la nuque, les paupières et la mâchoire, puis s’étend graduellement, habituellement en 12 heures, à l’ensemble de l’organisme. Elle dure près de deux jours et disparaît progressivement pendant qu’on peut voir se dessiner sur l’abdomen, au niveau de l’intestin, une première tache verte de putréfaction…
Décomposition 101
La décomposition des tissus humains comprend deux processus distincts: l’autolyse et la putréfaction. L’autolyse (ou autodigestion) débute environ 4 minutes après le décès: les cellules, privées d’oxygène et d’apport nutritif, meurent, détruites par leurs propres enzymes.
La putréfaction se manifeste quand cette réaction biochimique d’autodestruction cellulaire a bien progressé. Les bactéries et autres micro-organismes s’attaquent aux tissus, où ils trouvent maintenant quantité de fluides riches en nutriments. La tache verte sur l’abdomen prend de l’ampleur, s’étend au thorax. Les gaz produits par les bactéries s’accumulent. Des sortes d’ampoules se forment sur la peau qui commence à se décoller. Le visage se boursoufle, les yeux bouffissent, la langue ressort. L’abdomen gonfle aussi. À un stade avancé, quelques semaines plus tard, la peau, les cheveux et les ongles se détachent. Le corps noircit. Des liquides ainsi que des gaz sont expulsés par la bouche et le nez. Les principaux organes éclatent. Le tout dégage une forte puanteur…
Cadavres exquis
Les bactéries ne sont pas seules à se partager le «repas». Rapidement, dans la première heure suivant la mort de l’individu, les mouches détectent une odeur qui les attire. Elles pondent leurs oeufs dans les orifices naturels (narines, bouche, oreilles), les yeux ou les blessures. Quelques jours plus tard, leurs larves vont éclore et se nourrir des tissus humains. Une mouche du genre Calliphora (la mouche bleue de la viande) peut à elle seule pondre 2000 oeufs!
Mais il n’y a pas que les mouches bleues. Diverses bestioles se relaient au fil des jours, des mois et des années pour coloniser le cadavre. En 1894, le vétérinaire français Jean-Pierre Mégnin parle de huit «escouades» d’insectes qui se succèdent dans une chronologie précise selon l’état de décomposition du corps et les odeurs qui en émanent. Ses travaux jettent en Europe les bases de l’entomologie judiciaire, une discipline scientifique consistant à étudier la faune présente sur un cadavre afin de déterminer la date approximative d’un décès dans les affaires criminelles.
Mais la science comporte encore des zones grises et des experts en entomologie ont récemment observé que la succession d’insectes peut varier. Une chose est sûre, ceux-ci jouent un rôle important dans l’inéluctable dépérissement de la chair humaine. Et les larves de mouches sont redoutables…
Six pieds sous terre
De nombreux facteurs influencent la vitesse de décomposition d’un cadavre. La chaleur et l’humidité ambiantes accélèrent le processus. Au contraire, le froid ralentit l’autolyse et empêche les bactéries de proliférer.
Par ailleurs, un corps inhumé à une certaine profondeur sera moins facile d’accès pour la faune environnante, surtout s’il repose dans un cercueil étanche. Quant à l’embaumement, qui consiste essentiellement à drainer le sang et à injecter un liquide chimique, il permet de conserver un peu plus longtemps le corps, de lui donner un sursis, le temps pour les proches du défunt de faire leurs adieux.
Finalement, dans tous les cas, au bout d’un an, il ne reste généralement plus que le squelette et les dents. Et après une cinquantaine d’années, même s’ils peuvent durer quelques siècles, les os sont fragilisés et cassants. La crémation, qui réduit les restes humains en débris d’os, n’est qu’une façon plus rapide d’arriver à une même fin. C’est l’inévitable destin d’un cadavre. À moins d’opter pour la cryogénisation… Ou de s’en remettre au Dr von Hagens…
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Ne prenez pas le mort aux dents!
-Les parties les plus résistantes du corps : les os et les dents.
-Les cheveux et les ongles ne continuent pas de pousser après la mort, bien que le «rétrécissement» de la chair, déshydratée, puisse donner cette impression.
-Les derniers organes internes à se détériorer : l’utérus et la prostate. Ils peuvent rester intacts quelques mois.
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La ferme des morts
Au Tennessee, il existe une «body farm», une sorte de laboratoire à ciel ouvert foisonnant de… cadavres. Ceux-ci sont placés dans différents contextes : étendus sur le gazon, submergés, etc. Le but : mieux comprendre ce qu’il advient du corps après la mort, et, ultimement, aider à élucider certains crimes. Cette «ferme» très spéciale – la première du genre – a été fondée en 1971 par l’anthropologue légiste William M. Bass.
Pour en savoir plus
Death online
Beyond The Grave, Arpad A.Vass
Escouades d’insectes
Cryogénisation
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Les pierres mouvantes de la Vallée de la Mort
C’est vraiment bizarre ce phénomène, des roches que personnes n’a vue bougé, sans savoir pourquoi glisse sur le sol, laissant un long sillage derrière eux .. tantôt en ligne droite, tantôt suivant une courbe .. l’explication .. même les savants ne sont pas surs des réponses …
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Les pierres mouvantes de la Vallée de la Mort
Californie, Etats-Unis –Les "sailing stones" ou pierres mouvantes sont un phénomène que l’on peut observer dans la Vallée de la Mort, sur le Racetrack Playa. A cet endroit les pierres se déplacent seules, sans intervention humaine ou animale et laissent derrière elles des sillons creusés dans la terre. Le phénomène est étudié depuis la moitié du XXe siècle mais personne n’a encore jamais vu les pierres bouger. Les scientifiques en sont toujours à émettre des suppositions quant au déplacement de ces pierres. Leur hypothèses sont : les pierres seraient déplacées soit poussées par les vents (qui peuvent atteindre 145 km/h) soit par la glace (la couche de glace sur le lac peut atteindre 6,5 centimètres).
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Sauvetage d’un coyote après huit heures passées dans un moteur de voiture
Des photos assez surprenant de l’animal pris au piège au devant de la voiture.. Normalement quand on frappe un animal surtout de cette taille, me semble qu’on arrête histoire de voir s’il y a du dégât et voir si la victime est toujours en vie .. malgré tout, il a pu s’en sortir et n’a rien perdu de sa ruse, de son instinct
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Sauvetage d’un coyote après huit heures passées dans un moteur de voiture
![]() Etats-Unis – Un coyote percuté par un automobiliste a survécu coincé pendant huit heures dans le moteur du véhicule. Il a ainsi voyagé plus de 1.000 kilomètres. Par chance, l’animal n’avait que quelques égratignures.
L’animal a été heurté par une voiture alors qu’il traversait la route. Les deux passagers pensant que la collision avait été fatale pour celui-ci ont donc continué leur route. C’est en arrivant dans le Nevada, après avoir voyagé plus de huit heures, que le conducteur s’est décidé à inspecter les dégâts causés par l’accident.
"Tout de suite j’ai remarqué la fourrure et j’ai dit à ma sœur ‘Ne regarde pas ce n’est pas joli’." raconte Daniel East, l’automobiliste.
C’est alors qu’il a découvert le coyote encore vivant coincé entre le pare-choc et le radiateur de la Honda. L’animal a, non sans mal, été extirpé de l’avant du véhicule.
Le coyote, baptisé "Tricky" par Daniel et sa sœur, a été conduit dans un centre de soins. Il porte d’ailleurs bien son nom (Tricky signifie "difficile" mais aussi "malin"), car il s’est échappé du centre trois jours après l’accident.
L’animal s’est coincé à l’avant du véhicule
![]() Le pare-chocs : vue de face
![]() Le sauvetage de l’animal
![]() Il a fallu démonter une partie du véhicule
![]() Le coyote s’en sort avec des égratignures
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Dois-je donner des vitamines à mon enfant?
Avec l’hiver qui est a nos portes, on lance la publicités des vitamines pour les enfants… Beaucoup pour donner plus de résistance vont être tenter d’en donner.. Es-ce une bonne chose ? Mes enfants n’ont jamais eu de vitamines mais une alimentation variée .. sauf a l’allaitement qui est nécessaire ..
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Dois-je donner des vitamines à mon enfant?
![]() Photo fournie par www.coupdepouce.com©
Notre enfant en a-t-il besoin?
Seule exception, et elle est de taille: les bébés allaités doivent impérativement prendre un supplément de vitamine D tous les jours. Sinon, ils risquent de souffrir de rachitisme, une maladie qui nuit au développement osseux et peut causer des convulsions, des malformations des membres et des fractures.
Cette maladie ne sévit pas que dans les pays sous-développés: ici même, au Canada, plusieurs cas de rachitisme par carence en vitamine D ont été déclarés au cours des deux dernières années.
Attention : l’exposition au soleil ne suffit pas pour que bébé absorbe la vitamine D dont il a besoin. Un supplément par voie orale (ex.: D-Vi-Sol, PediaVit D) est nécessaire jusqu’à ce que l’enfant ait un régime alimentaire varié. On demande conseil à notre médecin pour savoir quelle dose administrer.
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Un cadavre oublié sur le toit d’un poste de police
Quand nous voulons des réponses sur un crime, ou quelque chose de suspect, ca ne va jamais assez vite .. et certains se plaignent du temps de réponse du système judiciaire a trouver des preuves en Amérique, mais imaginé dans des pays comme l’Inde c’est épouvantable faire attendre la famille pour enterrer un proche, parce qu’ils refusent les examens adéquats pour une mort suspecte
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Un cadavre oublié sur le toit d’un poste de police
![]() Photothèque La Presse
Agence France-Presse New Delhi Le cadavre d’un homme a été découvert sur le toit d’un commissariat de police dans le nord de l’Inde, après y avoir été déposé il y a plus de deux ans au cours d’une enquête, a rapporté mercredi le quotidien Mail Today.
Le corps de Chukkan Nishad, un homme de 22 ans disparu en juillet 2007, devait être soumis à un test ADN mais avait été placé dans un sac mortuaire sur le toit du bâtiment.
Selon le quotidien, qui cite le père du défunt et des autorités locales, la famille ne cessait de réclamer le corps au poste de police mais s’entendait toujours répondre que l’enquête était en cours.
Selon le Mail Today, le corps avait été placé là après le refus des autorités locales de débloquer des fonds pour un test ADN sur le jeune homme, dont la mort reste un mystère.
Selon M. Ram, la police est maintenant en train de remplir les formalités pour rendre ce qu’il reste du corps à la famille, essentiellement des os.
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