Impossible


                      

Comment de fois qu’à force d’essayer nous avons réussi
quelque chose qui nous semblait hors porter pour nous.
Si certaines personnes auraient écouter leur proches dire
c’est impossible, tu perds de ton temps .. bien des inventions
auraient été abandonné …
Nuage
 
Impossible
 
Bien des choses paraissent impossibles
tant qu’on ne les a pas tentées

         

 

 

Conte “Terre, dis nous qu’est la musique ?


 Ce conte me fait penser au film August Rush, que tout autour de lui était de la musique. Et la terre nous offre un concert a tout les instants, il suffit que de tendre l’oreille pour écouter
Nuage
 
Conte “Terre, dis nous qu’est la musique ?
 
 
Comme tout le monde le sait, les enfants connaissent le langage de la Terre. Nous, les petits génies, lui avons posé cette question :
 
« Terre, dis-nous ce qu’est la musique ? »
 
Voici ce qu’elle nous a répondu :
 
« La Musique est ma soeur. Elle est née tout comme moi pendant le Big Bang, lors du grand concert des étoiles. Depuis, et à chaque instant, elle est présente dans chaque événement…..
dans le tremblement de la Terre,
à travers les grondements des volcans,
dans les éclairs du Ciel,
dans le battement du coeur de chaque créature vivante,
dans le chant des oiseaux,
dans le souffle du vent……
 
Mais voilà, pour l’entendre, j’ai un grand secret…. Je vais vous le dévoiler….
 
A toutes les oreilles de l’univers, écoutez ce message :
 
Dans la nature, le bruit n’existe pas, il n’y a que de la musique….pour ceux qui en comprennent les vibrations… »
 
La Terre, pour finir, nous a dit :
 
« Ouvrez vos oreilles et votre coeur à toutes les musiques et à tous les sons…et en grandissant, n’oubliez jamais ce secret.
 
Et vous les petits, protégez moi que je puisse, quand vous aurez des enfants, répondre à leurs questions. »
 
R. Delaigue

Vrai ou faux ? Le chocolat est un vrai antidépresseur


Même si le chocolat de bonne qualité a de très belles propriétés pour le corps en plus d’être bon au goût, il n’est pas considéré comme un antidépresseur … mais pris a sans exagération, il apporte quand même des points appréciable sur nous
Nuage
 
Vrai ou faux ? Le chocolat est un vrai antidépresseur
 
 
Un petit coup de blues ? Allez un petit cran de chocolat et ça repart. Certains affirment qu’il contient des substances antidépressives. Alors excuse de gourmand ou réel remède contre la dépression ?
 
Qui ne s’est jamais englouti une tablette de chocolat en entier après une sale journée où il aurait fait bon de rester couché ? Bizarrement, après cette crise de gourmandise et un ventre en vrac, le moral est déjà plus au beau fixe. Les mauvais souvenirs sont derrière vous et vous éprouvez même du plaisir et une réelle sensation de bien-être. Le chocolat est un met auquel les gourmands et les scientifiques prêtent de nombreuses vertus : soigner la dépression en fait-elle partie ?
  
 
Des substances qui donnent la pêche

Le chocolat a souvent été diabolisé pour son implication dans la prise de poids et l’obésité. Pourtant, comme le vin rouge, sa consommation raisonnable est excellente pour la santé. Les scientifiques ont démontré que le chocolat noir favorise la circulation grâce à l’épicatéchine qu’elle contient, une substance anti-oxydante qui prévient les maladies coronariennes. 
 
Le chocolat est riche en glucides, une source importante d’énergie dont le corps a besoin pour mener à bien ses fonctions. Le magnésium permet de calmer les angoisses et autres formes de stress. Quant au tryptophane, molécule précurseur de la sérotonine, il va agir également sur le stress en le diminuant et va ainsi influer sur le moral. Enfin la caféine va stimuler les systèmes nerveux et circulatoire et va ainsi diminuer la somnolence et accroître l’attention.
 
En somme, il est plutôt conseillé de manger du chocolat lors de longues soirées de travail ou pendant les révisions d’examens pour les plus jeunes.
 
Chocolat : une drogue euphorisante ?

Le chocolat aurait les mêmes effets que le cannabis. Cette affirmation vient directement d’une étude américaine menée par Daniel Piomelli et Emmanuelle diTomaso de l’université de San Diego. Les deux chercheurs affirment que le chocolat contient des substances telles que l’anandamide. Cette molécule se fixe sur des récepteurs appelés THC, tétrahydrocannabinol, la molécule présente dans le cannabis. Ils se situent dans le système nerveux central. En se fixant sur ces récepteurs, l’anandamide déclenche une cascade de réactions dont une conduit à un effet euphorisant et une sensation de plaisir. 
 
Le chocolat contiendrait des substances proches du cannabis
 
Les deux scientifiques avancent que le chocolat contiendrait d’autres molécules empêchant la destruction naturelle de l’anandamide et prolongerait ainsi ses effets. Voilà pourquoi certains ont tendance à penser que le chocolat est un formidable antidépresseur. Mais il n’en est rien. Cette étude ne fait pas l’unanimité parmi les chercheurs et d’autres recherches sont menées
 
Une source de plaisir avérée

A l’heure actuelle, la majorité des scientifiques estiment que le chocolat n’est pas un antidépresseur à proprement parlé. Les substances chimiques source de bien être sont faiblement concentrées dans le chocolat, leur effet sur l’humeur et le moral est donc juste ponctuel. Un antidépresseur doit avoir une action sur le long terme et agir en permanence.
 
Certes l’existence de phénylethylamine, molécule proche des amphétamines, peut agir sur l’humeur mais elle n’est pas assez dosée. En fait le sucre, le goût agréable ainsi que la vue alléchante du chocolat suffiraient à faire saliver notre cerveau d’avance. Les stimuli visuels et gustatifs provoquent la sécrétion d’endorphines, l’hormone du plaisir, d’où cette sensation que l’on éprouve à chaque cran de chocolat avalé.
 
Le chocolat est un antidépresseur : FAUX
 

La schizophrénie d’un hôpital universitaire


Nous sommes vers la fin de 2009, dans une grande ville du Québec, c’est a dire a Montréal. Ce n’est pas une histoire, rien de fictif omis les noms .. Doit-on imputer la faute aux médecins, infirmières et tout le personnels soignants ? Nous avons certes la chance d’avoir un système de santé qui nous facture pas les soins a l’hôpital, mais notre système de santé est a ce point malade et cela n’est pas juste a Montréal, un peu partout dans la province, le personnel est débordés, la façon dont est géré ce système n’est pas adéquat et il serait vraiment temps que des solutions durables puissent enfin être mis sur pied
Nuage
 
La schizophrénie d’un hôpital universitaire
 
La schizophrénie d'un hôpital universitaire
 
 
 
En attendant la fin de la construction du CHUM, reportée à 2018, médecins et patients circulent, selon le type de soins nécessaires, entre Notre-Dame (notre photo), Saint-Luc et l’Hôtel-Dieu.

 Photo: François Roy, La Presse
 Michèle Ouimet
La Presse
 
Dimanche matin, 8h. Entrée de l’hôpital Saint-Luc. Une brise légère balaie la poussière de la rue Saint-Denis. Le ciel est lourd, les nuages gris.
 
Dans le minuscule carré d’asphalte qui sert de cour aux patients, une femme fume, enfoncée dans son fauteuil roulant, deux solutés branchés dans ses bras amaigris. La quarantaine usée, le teint gris, les cheveux décolorés, elle regarde les voitures filer sur le boulevard René-Lévesque d’un air absent.
 
La ville est calme, les rues presque désertes. J’attends la Dre X. La journée s’annonce calme.
 
***

La Dre X fouille dans son sac. Elle cherche un trousseau de clés parmi les cinq qu’elle possède. Deux pour Saint-Luc, deux pour Notre-Dame, un cinquième pour l’Hôtel-Dieu.
 
Même si les urgences sont calmes, le corridor est transformé en dortoir de fortune : des lits se succèdent, cordés serré. Certains patients, plus chanceux, ont droit à une chambre microscopique.
 
Comme M. Leblanc. Un vieux, 90 ans. Il vivait seul dans un HLM lorsqu’il est tombé en bas de son lit. Il est resté sur le plancher de sa chambre pendant une quinzaine d’heures, sans personne pour le secourir. C’est son fils qui l’a découvert, inconscient, baignant dans ses selles.
 
L’ambulance l’a amené à l’urgence de Saint-Luc. Un cas lourd : dépressif, confus, maladie d’Alzheimer, coeur défaillant.
 
Quelques heures après son admission, M. Leblanc a fait un arrêt cardiaque. L’équipe médicale l’a réanimé. Une intervention lourde. Pourtant, son dossier précise en toutes lettres qu’il refuse ce type de soins. Sauf que le dossier est à l’Hôtel-Dieu et que les médecins ne l’avaient pas entre les mains lorsque le coeur de M. Leblanc a cessé de battre.
 
M. Leblanc est étendu dans son lit, pâle, fragile. Il se remet douloureusement de son arrêt cardiaque. Un rescapé. Sauvé malgré lui. La Dre X se penche vers lui.
 
– Comment ça va?
 
– Pas pire.
 
– Vous savez où vous êtes?
 
M. Leblanc hésite, ferme les yeux, fronce les sourcils. Il fouille dans sa mémoire trouée.
 
– Je sais pas, dit-il en secouant la tête.
 
M. Leblanc ferme les yeux. Son fils attend, bouleversé. La Dre X l’emmène dans un petit local pour lui parler, loin de l’agitation fiévreuse des urgences.
 
– Mon père ne veut pas qu’on s’acharne. Il refuse d’être branché sur une machine pour vivre.
 
– S’il refait un arrêt cardiaque, est-ce qu’on intervient ? demande la Dre X.
 
Le fils secoue la tête, les yeux pleins d’eau.
 
– C’est dur… Est-ce qu’il pourra retourner chez lui ?
 
– Je ne crois pas. Il faut l’hospitaliser. Deux jours ou deux semaines, difficile à dire… Avez-vous d’autres questions ?
 
– Je ne sais pas quoi vous demander.
 
M. Leblanc doit dormir aux urgences en attendant qu’une chambre se libère à l’étage. Quelques heures ou quelques jours.
 
***
 
Mme Pouliot se promène : son coeur est soigné à l’Hôtel-Dieu, sa hanche à Notre-Dame, sa cirrhose à Saint-Luc. Elle a 72 ans : corpulente, cheveux teints en noir plaqués sur le crâne, voix rauque.
 
Elle a perdu le cardiologue qui l’avait soignée à Notre-Dame en 2001. Il est parti, comme les 300 médecins qui ont quitté le CHUM depuis 13 ans, c’est-à-dire depuis que l’idée de fusionner les hôpitaux agonise dans les cartons du ministère de la Santé.
 
La Dre X a les trois dossiers de Mme Pouliot entre les mains, sauf que chaque hôpital a son système de classement : Notre-Dame utilise l’ordre chronologique, l’Hôtel-Dieu sépare le dossier en deux – une moitié pour les consultations en clinique externe, l’autre pour les interventions réalisées pendant l’hospitalisation. Saint-Luc est à cheval entre les deux.
 
«Le CHUM, c’est le parlement à l’italienne, dit la Dre X. Depuis 1996, on a eu quatre directeurs généraux, six ministres de la Santé, quatre premiers ministres, deux maires et trois recteurs de l’Université de Montréal.»
 
***
 
M. Tremblay attend la visite du médecin, étendu sur un lit en face de l’îlot où travaillent les infirmières des urgences. Il est arrivé la veille. Essoufflements, douleurs au bras, fatigue subite. Soixante-trois ans. «Je file pesant», dit-il.
 
La Dre X tire un rideau avant de l’examiner.
 
– Avez-vous déjà fait une dépression ?
 
– C’est quoi, une dépression ?
 
Dans le passé, M. Tremblay a été soigné à l’Hôtel-Dieu.
 
«Si je fais venir son dossier de l’Hôtel-Dieu, ça va prendre 24 heures, explique la Dre X. Dans l’ordinateur, on a les données de base, mais pas le dossier au grand complet avec les notes des médecins.»
 
La Dre X s’installe devant un ordinateur. Elle hésite quelques secondes avant de taper son mot de passe. Elle en a une dizaine. Des mots à six, huit ou 12 lettres, avec ou sans majuscules, avec ou sans chiffres, qu’elle doit changer aux deux ou trois mois.
 
«Le système informatique du CHUM, c’est comme le registre des armes à feu à Ottawa, ironise la Dre X : beaucoup d’argent et peu d’efficacité.»
 
La Dre X passe une semaine dans chaque hôpital : Saint-Luc, Hôtel-Dieu, Notre-Dame. Puis elle recommence. Encore et encore. En attendant que le CHUM soit construit. En 2018. Si tout va bien.
 
La plupart des médecins font la navette entre les trois hôpitaux.
 
«Avant, je travaillais dans un seul hôpital. J’entrais à 7 h et j’en sortais à 18 h, raconte la Dre X. Je pouvais consolider mon équipe. Aujourd’hui, les médecins passent d’un hôpital à l’autre. Les infirmières, elles, ne bougent pas. Je vois moins mes patients et l’esprit d’équipe s’effrite.»
 
Chaque hôpital est spécialisé.
 
«Notre-Dame s’occupe du cerveau (neurologie), l’Hôtel-Dieu, du coeur (cardiologie) et Saint-Luc, du cul (gastroentérologie, urologie, gynécologie), poursuit la Dre X. C’est comme si je décidais de me bâtir une grosse cabane. En attendant que la construction soit finie, je vivrais dans trois maisons. Je mettrais les toilettes dans la première, la cuisine dans la deuxième et les chambres à coucher dans la troisième. Et je passerais mon temps à me promener de l’une à l’autre. C’est ça, le CHUM, un enfant trisomique à trois têtes.»
 
Les patients aussi se promènent. Souvent. Trop souvent.
 
Comme M. Tremblay. Le diagnostic n’est pas clair. Son coeur fonctionne, mais la tête… La Dre X connaît de bons psychiatres. Sauf qu’ils travaillent à l’Hôtel-Dieu.
 
***
 
Sixième étage. Mme Beaudoin est étendue dans son lit, pâle, les traits tirés, les cheveux en bataille. Il fait chaud, la fenêtre est ouverte et laisse entrer les bruits assourdissants du boulevard René-Lévesque : coups de klaxon, freins stridents des autobus, sirènes lancinantes des ambulances. Le centre-ville bourdonne dans la chambre.
 
Le mari de Mme Beaudoin ferme la fenêtre pour étouffer les bruits. La chaleur devient insupportable. Pendant que la Dre X parle à Mme Beaudoin, un préposé nettoie le lit voisin. Enlève le matelas, remet le matelas, ouvre la porte, ferme la porte, passe la vadrouille, nettoie le lit à grands coups de chiffon.
 
C’est au milieu de cette cacophonie que Mme Beaudoin parle de ses bobos les plus intimes à la Dre X : cancer de l’estomac soigné à Saint-Luc, troubles neurologiques suivis à Notre-Dame, faiblesses cardiaques graves surveillées à l’Hôtel-Dieu. Son dossier, épais comme un bottin de téléphone, est à Notre-Dame.
 
Mme Beaudoin a 75 ans. Elle est très malade. Fatiguée, usée, épuisée par les traitements de chimiothérapie. Peu importe, elle et son mari doivent se promener d’un hôpital à l’autre.
 
– C’est difficile? lui demande la Dre X.
 
– Oui, parce que je suis malade.
 
* Tous les noms ont été changés.
 

Le lézard sosie de Spider-Man


Des similitudes avec un personnage fictif et un animal réel dans la couleur, très belle effet sur ce lézard… qui je trouve beaucoup plus beau que spiderman 
Nuage
 
Le lézard sosie de Spider-Man
 
Spiderman
 
 
Ce lézard a quelques traits communs avec le super-héros Spider-Man. Arborant de superbes couleurs, il peut marcher dressé sur ses membres inférieurs et escalader des surfaces verticales.
 
L’Agama mwanzae
 
L'Agama mwanzae
 
Ce lézard ressemble à Spider-Man
 
 
Un Agama mwanzae se repose

Des éoliennes arrêtées peuvent sauver des chauves-souris


Le fait d’arrêter les éoliennes quand le vent est moins fort permet d’éviter la mort des chauves-souris, alors la logique parle d’elle-même
Nuage
 
Des éoliennes arrêtées peuvent sauver des chauves-souris
 
Des éoliennes arrêtées peuvent sauver des chauves-souris
 

Photo: La Presse
Agence France-Presse
Montréal
 
 
Ne pas faire fonctionner les éoliennes en cas de vent faible permet de réduire de 60% la mortalité des chauves-souris, sans pour autant avoir une grande incidence sur la production d’énergie, a expliqué vendredi à l’AFP un chercheur de l’université canadienne de Calgary.
 
Le professeur Robert Barclay, biologiste à l’université de Calgary, et une équipe de scientifiques avaient averti l’an dernier, qu’une hécatombe causée par la multiplication d’éoliennes pourrait, à terme, menacer les chauves-souris d’extinction, ce qui aurait un impact notable sur l’écosystème car ces animaux se nourrissent d’insectes nuisibles aux récoltes.
 
 «Depuis plusieurs années, à travers l’Amérique du Nord, et ailleurs, nous avions constaté qu’un grand nombre de chauves-souris mouraient à proximité des champs d’éoliennes», a dit à l’AFP le professeur Robert Barclay.
 
La cause principale de ces décès est le brusque changement de pression engendré par la rotation des pales, avait conclu en 2008 l’équipe canadienne.
 
«Nous avons donc essayé de trouver un moyen d’y remédier», a ajouté M. Barclay, dont les conclusions sont publiées dans l’édition de septembre de la revue scientifique américaine «The journal of wildlife management».
En coopération avec TransAlta, entreprise spécialisée dans cette énergie renouvelable, les scientifiques ont étudié le comportement des petits animaux dans un champ de 39 éoliennes situé à environ 200 km au sud de Calgary.
 
Leur période d’étude s’est étalée du 15 juillet au 30 septembre en 2006 et 2007, c’est-à-dire pendant la période de migration de ces mammifères vers le sud.
 
Ils ont constaté que lorsque la vitesse du vent est faible, les chauves-souris manifestent une activité accrue, mais sont également plus susceptibles de mourir autour des éoliennes.
 
«C’est logique: ce sont des animaux assez petits qui ne volent pas bien lorsqu’il y a beaucoup de vent», a dit le professeur Barclay.
 
Or, les éoliennes produisent «la plus grande part de leur énergie lorsque le vent est fort, c’est-à-dire lorsque les chauves-souris ne volent pas», a remarqué le biologiste.
 
En conséquence, les chercheurs ont porté la vitesse de vent déclenchant le démarrage des pales de 4 m/s (14,4 km/h) à 5,5 m/s (19,8 km/h).
 
«Nous avons comparé ces turbines expérimentales à celles fonctionnant normalement: la mortalité avait chuté de 60%», a expliqué M. Barclay.
 
Ces résultats sont d’autant plus encourageants que la nouvelle vitesse de référence n’engendre «qu’une chute relativement modeste de la production d’énergie», affirme-t-il.
 
Dans neuf cas sur dix, les chauves-souris retrouvées mortes près d’éoliennes montraient des signes d’hémorragie interne provoquée par un traumatisme résultant apparemment d’une chute soudaine de la pression de l’air, avaient conclu dans leur étude précédente les chercheurs de Calgary.
 
Bien qu’ils soient pourvus d’une sorte de radar leur permettant de détecter les objets alentours, tels les pales, ces animaux ne peuvent pas anticiper les variations de pression.
 
Chez les chauves-souris, comme chez les autres mammifères, les poumons sont comme des ballons souples dotés de parois fines reliées à des capillaires.
 

Un hamburger qui donne faim


Ils se sont donné le mot pour parler un peu partout de ce que nous mangeons depuis quelques temps, il semble qu’on en parle plus que d’habitude ou du moins les effets néfastes sont plus ciblés .. comme le gras saturé le coquin, nous joue des tours .. sur l’effet de satiété
Nuage
 
Un hamburger qui donne faim
 
Hamburger
 
Texas, Etats-Unis – Des chercheurs viennent de démontrer que les graisses saturées présentes dans la junk-food poussaient les consommateurs à manger toujours plus.
 
Les graisses saturées présentes dans les hamburgers sont responsables de mauvaises informations envoyées au cerveau. Elles trompent la sensation de satiété, indiquant que nous avons toujours faim. Résultat : nous avons faim et mangeons toujours plus. Le docteur Deborah Clegg de l’université du Texas indique que
 
"le corps est normalement conçu pour nous dire si nous avons assez mangé ou pas. Mais cela n’arrive pas toujours quand nous mangeons quelque chose que nous trouvons bon. Les réactions chimiques du cerveau peuvent changer chez une personne en très peu de temps."

Le docteur Clegg explique que les expérience menées ont permis de déterminer qu’un type de graisse appelé acide palmitique est particulièrement doué pour tromper le cerveau. Cette substance présente dans le beurre, la viande bovine, le fromage ou encore le lait court-circuite le système de la faim.
La génétique joue également un rôle très important pour l’appétit. Près de deux tiers des Britanniques seraient porteurs du gène "malbouffe" qui les poussent à s’alimenter principalement de produits gras et sucrés.

 

Il y a finalement de l’eau à la surface de la Lune !


Avant tout laissé croire qu’il n’y avait de l’eau que sur Terre dans notre système solaire .. mais avec les années, les technologies beaucoup plus sophistiqués, voilà que les données changent. Même si dans les satellites comme la lune, les planètes comme Mars, l’eau est en petite quantité et varient dépendant la position du soleil .. l’eau est présente !!
Nuage
 
Il y a finalement de l’eau à la surface de la Lune !
 
La Terre et la Lune
 
La Terre et la Lune
Crédit : CICLOPS
 
Une équipe franco-américaine(1), à laquelle appartient Olivier Groussin, astronome au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (LAM : INSU-CNRS, Université de Provence, Observatoire Astronomique de Marseille Provence), a mis en évidence pour la première fois de façon non-ambigüe la présence d’eau à la surface de la Lune. L’eau est présente sur quasiment toute la surface de la Lune, en faible quantité. Cette découverte majeure bouleverse les scénario de formation de la Lune et ouvre de nouvelles perspectives scientifiques et techniques pour l’exploration du système solaire. Ce résultat est publié dans la revue Science du 25/09/2009.
 
La Lune, satellite naturel de la Terre, a très probablement eu une naissance violente lors d’un impact géant entre la Terre et un corps de la taille de Mars. Suivant ce scénario, la chaleur dégagée par l’impact aurait évaporé la quasi-totalité des matériaux volatils de la Lune, dont l’eau. Les échantillons lunaires ramenés par les missions Apollo (NASA) dans les années 60 et 70 ont semblé confirmer cette hypothèse puisque leur étude n’a pas montré la présence d’eau. La Lune est donc considérée comme sèche, sans eau, contrairement à la Terre.
 
La quête de l’eau sur la Lune ne s’est toutefois jamais arrêtée depuis les années 60. Dans les années 90, grâce à la sonde Clémentine (NASA/SDIO), les scientifiques pensaient avoir découvert de la glace d’eau au fond de certains cratères, situés dans les régions polaires et jamais exposés au Soleil ; cette découverte n’a cependant jamais été confirmée. En 2008, une équipe scientifique américaine de l’Université de Brown (Rhode Island) a ré-analysé les échantillons des missions Apollo et, grâce à des instruments d’analyse plus performants, a finalement détecté de l’eau dans certaines roches lunaires, en quantité infime (quelques centaines de particules par million). Mais toujours aucune trace d’eau en surface!
 
En juin 2009, la sonde spatiale EPOXI(2) de la NASA est passée à « seulement » 600 kilomètres de la Lune. Grâce à son spectromètre infrarouge proche, la sonde a pu observer la surface lunaire dans le domaine des longueurs d’onde infrarouge, en particulier autour de 3 microns où l’on peut détecter des bandes d’absorption caractéristiques de la molécule d’eau. Ces observations ont permis de mettre en évidence pour la première fois de l’eau à la surface de la Lune, de façon non-ambigüe. Une telle découverte est impossible à réaliser depuis la Terre puisque l’atmosphère terrestre, elle-même remplie d’eau, est opaque autour de 3 microns.
 
« Grâce aux observations de la sonde spatiale NASA/EPOXI, nous avons pu démontrer que l’eau est présente en faible quantité sur presque toute la surface de la Lune, à toutes les latitudes supérieures à 10 degrés » déclare Olivier Groussin, astronome au Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (INSU-CNRS, OAMP) et collaborateur scientifique à la mission NASA/EPOXI.
 
La quantité moyenne d’eau à la surface de la Lune serait inférieure à 0,5% de la masse des matériaux de surface. Les scientifiques ont aussi découvert qu’au cours d’une journée « lunaire », plus le Soleil est haut dans le ciel, moins il y a d’eau à la surface de la Lune. Il y a donc des variations au cours des journées lunaires, avec moins d’eau en surface lorsqu’il est midi que le matin ou le soir, lorsque le Soleil est bas sur l’horizon. De même, il y moins d’eau à la surface de la Lune près de l’équateur, que près des pôles aux latitudes élevées.
 

 
Illustration du vent solaire transportant les ions hydrogène H+. Un des scénarios possible pour expliquer l’hydratation de la surface de la Lune est que, durant la journée, quand la Lune est exposée au vent solaire, les ions hydrogène libèrent l’oxygène contenu dans les minéraux lunaires pour former des molécules OH et H2O (eau). A haute température (zones rouges/jaunes), plus de molécules OH et H2O sont libérées que retenues en surface. En revanche, lorsque la température diminue (zones vertes/bleues), les molécules OH et H2O s’accumulent en surface.
 
 
Cette découverte d’eau à la surface de la Lune est confirmée par deux autres instruments ayant effectué des observations similaires de la Lune mais à des instants différents: l’instrument M3 de la mission Indienne Chandrayaan 1 et l’instrument VIMS(3)de la mission Huygens-Cassini (ESA/NASA).
 
La découverte d’eau à la surface de la Lune ouvre de nouvelles perspectives scientifiques et techniques pour l’exploration du système solaire. Scientifiquement, cela nous oblige à revoir les modèles de formation et d’évolution thermique et chimique de la Lune, en incorporant la présence d’eau. Plus généralement, l’eau semble être présente dans tout le système solaire, depuis les régions glacées au-delà de Neptune jusqu’au plus près du Soleil, avec certains astéroïdes et maintenant la Lune.
 
« Nous trouvons de l’eau dans tout le système solaire, même là où nous ne l’attendions pas il y a encore quelques années ! », déclare Olivier Groussin. Techniquement, cette découverte est aussi primordiale puisque l’eau est une ressource vitale pour l’homme.
 
La présence de molécules d’eau à la surface de la Lune, même en faible quantité, renforce donc son rôle potentiel de base de départ pour les futurs vols habités, vers Mars notamment
 

Connaissez-vous la teneur en sel des aliments que vous consommez?


Je suis étonnée de voir les quantités de sel dans les aliments industrialisés, déjà qu’on sale dans nos mets cuisiné à la maison .. je pense que s’ils diminuaient progressivement ca serait bien mieux et de toute façon, il semble que même moins saler les gens ne s’en aperçoivent pas ; alors il n’y a pas de raison de continuer a être aussi salé dans leur préparation ..
Nuage
 
Connaissez-vous la teneur en sel des aliments que vous consommez?
 
 
Qui ne mange pas, à l’occasion, une pointe de pizza à l’heure du lunch? Or, ce seul mets peut contenir jusqu’à 1,7 g de sodium, soit 118 % de l’apport quotidien recommandé (AQR), fixé à 1,5 g. Et la journée n’est pas finie!
 
En fait, la majorité des Canadiens absorbent trop de sodium : plus de 3,5 g par jour en moyenne, c’est-à-dire deux fois l’AQR.
 
Le hic? Cet excès de sodium provient à 75 % du sel qu’ajoute l’industrie agroalimentaire aux produits vendus dans les épiceries et dans les restaurants. Le sel est partout et c’est à notre insu qu’il s’invite dans nos assiettes.
 
Ces aliments trop salés pourraient contenir moins de sel. C’est ce qu’indique le rapport 2009 du Centre pour la science dans l’intérêt public (CSIP), un groupe canado-américain indépendant qui milite en faveur d’une alimentation plus saine et moins transformée.
 
Ce rapport1 a été rendu public quelques jours avant la tenue d’une réunion des membres du Groupe de travail sur le sodium, les 28 et 29 septembre à Ottawa, qui vise à doter le Canada d’une stratégie nationale pour réduire la consommation de sel au pays. Le CSPI fait partie du groupe de travail.
 

D’où provient le sodium que nous absorbons1?
Aliments transformés (provenant de l’épicerie ou du restaurant) 75 %
De la salière 11 %
(5 % en cuisinant et 6 % à table)
Aliments naturellement salés 12 %

 
 
Le sodium : « pire que les gras trans »
 
Dans les pays industrialisés, la consommation excessive de sodium serait responsable de 30 % des cas d’hypertension.
 
Citant une étude américaine, le CSPI estime qu’en réduisant de moitié le sodium ajouté aux aliments transformés, on éviterait chaque année 16 000 décès par infarctus ou accident vasculaire cérébral (AVC).
 
En conséquence, le CSPI juge que pareille mesure
 

« permettrait de sauver encore plus de vies que la réduction des gras trans dans l’alimentation, et procurerait des bienfaits à davantage de gens que le nombre de ceux qui sont visés par les campagnes antitabac ».

 
Une loi pour l’industrie agroalimentaire?
 
Depuis quelques années, le gouvernement canadien incite les industriels à mettre moins de sel dans leurs produits alimentaires. Certains fabricants ont fait des progrès, mais en règle générale, les mesures incitatives n’ont pas comblé les attentes exprimées.
 
De ce fait, le CSPI estime qu’il est temps que le gouvernement fasse adopter une loi qui forcerait l’industrie agroalimentaire à revoir et corriger ses recettes.
C’est aussi l’opinion de l’Association médicale canadienne (AMC) 2, qui participe également au Groupe de travail sur le sodium.
 
L’AMC cite d’ailleurs la Finlande, où une loi adoptée au début des années 1970 a permis de réduire de 40 % la consommation de sodium au sein de la population. Cette mesure s’est traduite par une diminution de la pression artérielle des Finlandais de 10 mm Hg en moyenne, ce qui a eu pour effet de faire chuter de 70 % le taux de mortalité attribuable aux crises cardiaques et aux AVC.
 
Des écarts importants
 
Le rapport du CSPI montre que pour une même catégorie d’aliments transformés, on observe des grands écarts dans les quantités de sodium ajouté. Par exemple, on retrouve 40 mg de sodium dans une portion de 70 g de frites au restaurant Chalet Suisse, comparativement à 555 mg chez Harvey’s.
 

« L’argument selon lequel on ne peut changer la recette au risque de la rater ne tient pas », affirme le CSPI.

 
Pas plus que celui qui veut que ces aliments respectent le goût des consommateurs.
 

« Les consommateurs s’adaptent rapidement lorsqu’on réduit graduellement les quantités de sodium, soutient l’organisme. Une étude a montré qu’une réduction de 25 % du sodium dans le pain, sur une période de 6 semaines, n’avait pas été perçue par les participants. 

 

Teneur en sodium de certains produits1

 

À l’épicerie
 
(mg/portion)
 
Frites McCain Xtra Crispy (surgelées)

Pâte de tomate Antico Organic 

Croustilles Lay’s Classiques

Cocktail de légume Mott’s Garden original

Pain blanc Pom

Pain de blé entier Weston

Barre tendre Kellog’s Spécial K

Macaroni au fromage Stouffer’s (surgelé)

Riz à grain long Uncle Ben’s Classique

Soupe de poulet et nouilles Saint-Hubert

450 mg/85 g

710 mg/125 ml

330 mg/50 g

650 mg/250 ml

295 mg/50 g

270 mg/50 g

165 mg/40 g

1 065 mg/250 ml

500 mg/50 g

1 120 mg/250 ml

 
Au restaurant
 
(mg/portion)
 
Frites
Harvey’s

Burger King

A&W :

McDonald’s:

Hamburgers
A&W Mama Burger

Harvey’s Burger Angus

McDonald’s Quart de livre :

Burger King’s Whopper

Pizza
Pizza Hut

Boston Pizza :

East Side Mario’s

555 mg/70 g

475 mg/70 g

380 mg/70 g

170 mg/70 mg

765 mg/140 g

715 mg/140 g

515 mg/140 g

440 mg/140 g

890 mg/140 g

710 mg/140 g

565 mg/140g

 

 
Martin LaSalle — PasseportSanté.net
 

1. Salty to a fault: varied sodium levels show lowering salt in processed food IS feasible, Centre for Science in the Public Interest (CSPI), 24 septembre 2009. www.cspinet.org/canada [consulté le 24 septembre 2009].
2. Mohan S., et al,
Effective population-wide public health interventions to promote sodium reduction, Canadian of Medical Association Journal, 14 septembre 2009, 1-5.

http://www.passeportsante.net

La politesse


 

 
 
Il est beaucoup plus payant de rester polis même en situation difficile
ou avec des gens qui n’ont aucun sens de civisme … Quoi de plus
désarmant de voir une personne polis devant quelqu’un qui rage devant
lui.
Nuage
 
La politesse
 
 
La seule chose que la politesse peut nous faire perdre c’est,
de temps en temps, un siège dans un autobus bondé.
 
[Oscar Wilde]