Fin de semaine sur la route
CEGEP de La Pocatière Tania aimerais bien être un genre de thérapeute pour des animaux qui ont des problèmes de comportement .. elle espère utiliser le chien et le cheval … Cela faisait 3 semaines au moins qu’on reculait le départ, mais comme le premier fils d’Yvon se faisait opéré nous avons préféré que partir le jeudi dernier pour s’arrêter à Québec, et faire un saut visité Simon a l’hopital Jeudi matin donc nous avons pris la route .. une belle journée, pour s’aventurer a travers les routes québeçoises … J’avais demandé a Yvon, s’il avait un pneu de rechange, chose qui ne me traverse jamais l’esprit en voyage, mais avant d’arriver a Trois-Rivière, sur l’autoroute, une crevaison … Hum !!!! Ca commence bien … il a fallut acheter deux pneus et les faire poser mais c’était pas grave .. nous étions de bonne humeur !!! La première journée il a plut surtout le matin et un peu en après-midi, mais pendant qu’Alexandre travaillait et Tania était a ses cours, nous sommes aller sous la pluie prèes du fleuve St-Laurent… au loin les montagnes se perdaient avec les nuages Nos avons roulé dans les environs, demander en renseignement èa un fermier qui parle paele, jase jase nous a ait visiter
Cette école a d’immense terrain .. a cause justement de tous les cours qui ont rapport a la nature et animaux |
Archives du 23 septembre 2009
Moins de risque de démence pour les adeptes de mots croisés
Le corps tout le monde sait qu’il a besoin d’exercices divers pour être en forme, mais il faut aussi mettre en valeurs les exercices intellectuelles qui permet au cerveau de travailler ses connections et ainsi sauvegarder le plus longtemps possible les conséquences du vieillissement pouvant causer divers types de démence
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Moins de risque de démence pour les adeptes de mots croisés
![]() Une femme fait des mots croisés
Photo: Photothèque La Presse
Agence France-Presse Paris Les personnes âgées pratiquant régulièrement des activités de loisirs stimulantes telles que les mots croisés, les cartes, l’implication dans une association ou la pratique d’une activité artistique ont un risque nettement moindre de démence ou de maladie d’Alzheimer, selon une étude.
L’étude, réalisée par des chercheurs de l’Inserm, vient d’être publiée dans la revue Neurology et a été reprise lundi dans un communiqué de l’institut français, à l’occasion de la Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer.Tasnime Akbaraly et Claudine Berr, de l’Inserm, ont analysé les données fournies sur la période 1999-2001 par une étude épidémiologique réalisée dans trois villes françaises, conduite sur 6.000 personnes de plus de 65 ans. Pendant cette période, 161 nouveaux cas de démence ou d’Alzheimer se sont révélés.
A partir de ces données, les chercheurs ont distingué les activités de loisirs stimulantes intellectuellement (mots croisés, cartes, participation à la vie associative, assistance à des spectacles, activité artistique), passives (télévision, musique…), physiques (jardinage, bricolage, marche) et sociales (rencontre des amis ou de la famille).
Il s’agissait de savoir quel type d’activité de loisir contribuait le plus à la «réserve cognitive», une capacité à pouvoir utiliser des réseaux de neurones alternatifs ou des réseaux plus performants en cas de lésion neuronale.
«La réserve cognitive permet l’apparition de symptômes plus tardifs chez une personne malade», a précisé à l’AFP l’épidémiologiste Tasnime Akbaraly.
Il est ressorti de cette étude que les personnes pratiquant au moins deux fois par semaine une activité de loisirs stimulante intellectuellement étaient deux fois moins susceptibles de développer une démence ou une maladie d’Alzheimer que celles pratiquant ces activités moins d’une fois par semaine. Et ce indépendamment du niveau d’éducation, du sexe, du mode de vie et de l’état de santé.
Aucune réduction significative du risque de survenue de démence ou d’Alzheimer n’a été observée avec les autres catégories d’activités de loisirs.
Les chercheurs en ont déduit que promouvoir les loisirs intellectuellement stimulants chez les personnes âgées pourrait «constituer une intervention pertinente de santé publique».
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Malbouffe interdite près des écoles: les restaurateurs mécontents
Personnellement, je suis d’accord que les restaurants rapides ne soient pas si près des écoles mais il vrai que c’est une éducation qui doit se faire d’abord a la maison .. car sans restaurant rapide, les dépanneurs pourront ramasser la manne aussi bien … en vendant des aliments qui sont tout aussi nuisible
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Malbouffe interdite près des écoles: les restaurateurs mécontents
![]() Trois villes (Baie-Saint-Paul, Gatineau et Lavaltrie) tentent d’utiliser le zonage pour limiter l’offre de malbouffe près des écoles. Une initiative que décrie le Conseil des chaînes de restaurants du Québec.
Photothèque Le Soleil, Laetitia Deconinck
Daphnée Dion-Viens Le Soleil (Québec) Baie-Saint-Paul, Gatineau et Lavaltrie veulent s’attaquer au fast food à proximité des écoles, mais l’initiative ne fait pas que des heureux. L’industrie de la restauration tente plutôt de convaincre les municipalités de faire une croix sur le projet.
En collaboration avec la Coalition sur la problématique du poids, les trois villes examineront comment le zonage pourrait être utilisé pour limiter l’offre de malbouffe à proximité des écoles primaires et secondaires. En désaccord avec la démarche, le Conseil des chaînes de restaurants du Québec (CCRQ) tente de faire valoir ses arguments.
M. Lefebvre, qui s’est récemment inscrit au registre des lobbyistes pour plaider la position du CCRQ dans ce dossier, a fait parvenir une lettre de cinq pages aux trois municipalités pour les dissuader de participer à ce projet-pilote. Le représentant de l’industrie de la restauration a aussi sollicité une rencontre, à laquelle seule Gatineau a acquiescé pour l’instant.
Pas de rencontre prévue
Le maire de Baie-Saint-Paul, Jean Fortin, ne juge pas nécessaire de rencontrer M. Lefebvre.
M. Fortin a d’ailleurs été surpris par l’ampleur du débat suscité par ce projet-pilote. Plusieurs radios de Québec se sont intéressées au dossier, à la suite d’un reportage publié dans Le Soleil à la mi-mai.
Ce n’est toutefois pas la première fois que Baie-Saint-Paul sonne la charge contre la malbouffe. L’an dernier, les élus ont adopté une réglementation interdisant la restauration rapide au centre-ville, pour contrer l’arrivée d’une chaîne de fast food dans ce secteur. La municipalité examine maintenant la possibilité d’étendre cette restriction aux zones scolaires.
Pour réaliser ce projet-pilote qui s’étend sur deux ans, les trois villes sélectionnées auront droit aux conseils des experts de la Coalition sur la problématique sur le poids. Une seule rencontre exploratoire s’est déroulée jusqu’à maintenant à Baie-Saint-Paul.
Selon la Coalition, il existe déjà plusieurs réglementations municipales qui ont fait jurisprudence en la matière, tant ici que chez nos voisins du sud.
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Universités: plus de femmes que d’hommes décrochent leur diplôme
Au moment ou nous entendons beaucoup parler de décrochages scolaires .. il y a une augmentations pour les hautes études et les femmes ne sont pas mit de côté et je trouve que c’est une bonne nouvelle pour le Québec qui a longtemps trainée derrière au niveau des études
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Universités: plus de femmes que d’hommes décrochent leur diplôme
![]() Photothèque La Presse
Louise Leduc La Presse Pour la première fois au Québec, les femmes (51,6%) sont plus nombreuses que les hommes à être diplômées universitaires. Et, si la tendance se maintient, on n’a rien vu encore: chez les 25 à 34 ans, pas moins de 58,4% des titulaires d’un diplôme universitaire sont des femmes.
C’est entre autres ce qui ressort d’un document sur les diplômés universitaires rendu public hier par l’Institut de la statistique du Québec.
En un coup d’oeil – mais en plusieurs chiffres! -, toutes les tendances sont là. Ainsi, l’étude démontre bien que même si la lutte contre le décrochage est sur toutes les lèvres, les Québécois sont de plus en plus nombreux à se rendre quand même jusqu’à l’université.
Fait à noter, à eux seuls, les immigrants récents (arrivés entre 2001 et 2006) comptent pour 38,1% de l’augmentation des titulaires d’un diplôme universitaire de 2001 à 2006. Les immigrants les plus scolarisés sont ceux qui sont nés en Afrique.
Les maîtrises et les doctorats gagnent-ils en popularité au Québec? Au cours de la décennie 1996-2006, apprend-on, ce sont les titulaires d’une maîtrise dont le nombre s’est le plus accru – une augmentation de 58,6% au Québec, ce qui est cependant moindre que la hausse de 68% dans l’ensemble du Canada et de 72,5% en Ontario.
Un choix différencié
Comme le signale l’enquête de l’Institut de la statistique, le domaine d’études choisi demeure fortement différencié selon le sexe. Chez les hommes universitaires, en 2006, les deux domaines d’études les plus populaires sont ceux qui se rapportent à la gestion et au génie.
Chez les femmes, l’éducation demeure le domaine d’études le plus choisi (22%).
Cependant, cela pourrait vite changer. Ainsi, par rapport à leurs aînés, les titulaires d’un grade universitaire de 25 à 34 ans ont tendance à délaisser le domaine de l’éducation et, dans une moindre mesure, celui des sciences humaines. Plus encore, dit l’étude,
C’est, entre autres, parce que les jeunes femmes sont plus attirées que leurs aînées par l’administration et le droit
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L’oiseau mangeur d’hommes de Nouvelle Zélande a bien existé
Si certains aigles attaques occasionnellement des être humains, alors il n’est pas difficile a penser que des oiseaux énormes qui ont existé il y a des milliers d’années auraient pu attaquer des enfants humains pour se nourrir
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L’oiseau mangeur d’hommes de Nouvelle Zélande a bien existé
![]() Nouvelle-Galles du Sud, Australie – La légende maori évoquant un oiseau géant qui mangerait des hommes vient d’être confirmée par une nouvelle étude.
Le Te Hokioi est décrit comme un grand prédateur noir et blanc, possédant une crête rouge et le bout des ailes teintées de vert et de jaune. Aujourd’hui, selon les scientifiques, cette description ferait référence à l’aigle de Haast, un rapace disparu il n’y a que 500 ans. Pris à tort pour un rapace lorsqu’il avait été découvert en 1870, l’oiseau a été le sujet de nouvelles études.
Les scientifiques de l’université de Nouvelle-Galles du Sud ont déterminé par une série d’examens, notamment du bassin de l’oiseau, que celui-ci avait une envergure de 3 mètres et pesait 18 kgs. Il faisait le double de la taille du plus grande aigle vivant, et ses serres étaient aussi grosses que les griffes d’un tigre. La principale proie de cette "machine à tuer" aurait été le moa, un oiseau pouvant atteindre 250 kg.
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Parole d’enfant : Ou est le soleil … ?
Ou est le soleil … ?
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Valerie Bouchard de Chambly
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