Fin de semaine sur la route, viste a La Pocatière


Fin de semaine sur la route

 

 
Un petit voyage pour visité le plus vieux des garçons parti s’installer dans une autre région.. pour que sa blonde puisse faire ses études dans le domaine d’equestre
 

CEGEP de La Pocatière

Tania aimerais bien être un genre de thérapeute pour des animaux qui ont des problèmes de comportement .. elle espère utiliser le chien et le cheval …

Cela faisait 3 semaines au moins qu’on reculait le départ, mais comme le premier fils d’Yvon se faisait opéré nous avons préféré que partir le jeudi dernier pour s’arrêter à Québec, et faire un saut visité Simon a l’hopital

Jeudi matin donc nous avons pris la route .. une belle journée, pour s’aventurer a travers les routes québeçoises … J’avais demandé a Yvon, s’il avait un pneu de rechange, chose qui ne me traverse jamais l’esprit en voyage, mais avant d’arriver a Trois-Rivière, sur l’autoroute, une crevaison … Hum !!!!
Tout deux nous avons pris les outils et changer le pneu, mais encore il préférait se rendre dans un Canadien tire pour réparer son pneu …

Ca commence bien … il a fallut acheter deux pneus et les faire poser mais c’était pas grave .. nous étions de bonne humeur !!!
A Québec, Simon se portait bien, l’opération semble avoir réussit, il n’avait pas l’air d’avoir mal et nous avons repris la route vers La Pocatière et nous sommes arriver avec seulement 1 heure de retard de l’heure que nous avions prévu ….

 
 
La première journée il a plut surtout le matin et un peu en après-midi, mais pendant qu’Alexandre travaillait
et Tania était a ses cours, nous sommes aller sous la pluie prèes du fleuve St-Laurent… au loin les montagnes
se perdaient avec les nuages
 

 

Nos avons roulé dans les environs, demander en renseignement èa un fermier qui parle paele, jase jase nous a ait visiter
la ferme, ses vaches laitières. Il avait pris sous son aile, une petite chèvre naine qui savait se faire respecter devant
tout se bétaille.. car si les vaches avancaient trop près, ces cornes étaient juste assez distancé pour rentré dans les narines
de dame vache …  J’ai faillit adopter un chaton, mais ne sachant pas vraiment ce que dirait Fripouille j’ai préféré
ne pas risquer de l’amener avec moi …
 
Nous avons acheter quelques produits de divers fermiers des environs dont des oeufs, du pain, des pommes etc .. frais
 
Nous sommes arrêté au jardin de La Pocatière, juste devant une ferme qui sert d’école qui est tenu par des étudiants en
horticulture .. et j’avoue que malgré la saison automnale c’était superbe avoir ..

 

 

Cette école a d’immense terrain .. a cause justement de tous les cours qui ont rapport a la nature et animaux
 
Samedi, dimanche, c’était le tour de Tania de s’occuper des chevaux, nourrir, brosser etc .. pour le week end, 3 fois par jour
Alors nous n’avons pas pu visité l’endroit ou elle apprend ses cours, il semble que c’est un cour qui demande beaucoup de travail, autant physiquement qu’intellectuellement .. J’aurais voulu qu’elle puisse venir avec nous pour aller dans les villages des environs
 
Alexandre est venu et nous sommes aller sur les routes en suivant le fleuve, Beaucoup d’artisants, des lieux historiques que nous
n’avons pas visité car si nous voulions arriver a temps pour préparer a souper … il ne fallait pas trop flaner
Alexandre s’est acheté un beau sabre .. des bouteilles de collections … 
 
Dimanche matin ce fut le départ pour le retour a la maison nous avons suivi pour plusieurs kilometres le chemin du roi qui
je pense s,appelle aussi la vieille 2,
Il faisait encore trèes beau .. nous sommes retourner voir Simon a l’hopital, il était debout et attendait d’aller a la douche
son teint était beau !!!
 
Arriver a Montréal, j’ai été voir mon petit frère qui m’a donné plein de savons fait maison par lui … 
 

Moins de risque de démence pour les adeptes de mots croisés


Le corps tout le monde sait qu’il a besoin d’exercices divers pour être en forme, mais il faut aussi mettre en valeurs les exercices intellectuelles qui permet au cerveau de travailler ses connections et ainsi sauvegarder le plus longtemps possible les conséquences du vieillissement pouvant causer divers types de démence
Nuage
 
 
Moins de risque de démence pour les adeptes de mots croisés
 
Moins de risque de démence pour les adeptes de mots croisés 
 
Une femme fait des mots croisés
 
Photo: Photothèque La Presse
Agence France-Presse
Paris
 
 
Les personnes âgées pratiquant régulièrement des activités de loisirs stimulantes telles que les mots croisés, les cartes, l’implication dans une association ou la pratique d’une activité artistique ont un risque nettement moindre de démence ou de maladie d’Alzheimer, selon une étude.
 
L’étude, réalisée par des chercheurs de l’Inserm, vient d’être publiée dans la revue Neurology et a été reprise lundi dans un communiqué de l’institut français, à l’occasion de la Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer.Tasnime Akbaraly et Claudine Berr, de l’Inserm, ont analysé les données fournies sur la période 1999-2001 par une étude épidémiologique réalisée dans trois villes françaises, conduite sur 6.000 personnes de plus de 65 ans. Pendant cette période, 161 nouveaux cas de démence ou d’Alzheimer se sont révélés.
 
A partir de ces données, les chercheurs ont distingué les activités de loisirs stimulantes intellectuellement (mots croisés, cartes, participation à la vie associative, assistance à des spectacles, activité artistique), passives (télévision, musique…), physiques (jardinage, bricolage, marche) et sociales (rencontre des amis ou de la famille).
 
Il s’agissait de savoir quel type d’activité de loisir contribuait le plus à la «réserve cognitive», une capacité à pouvoir utiliser des réseaux de neurones alternatifs ou des réseaux plus performants en cas de lésion neuronale.
 

«La réserve cognitive permet l’apparition de symptômes plus tardifs chez une personne malade», a précisé à l’AFP l’épidémiologiste Tasnime Akbaraly.
 
Il est ressorti de cette étude que les personnes pratiquant au moins deux fois par semaine une activité de loisirs stimulante intellectuellement étaient deux fois moins susceptibles de développer une démence ou une maladie d’Alzheimer que celles pratiquant ces activités moins d’une fois par semaine. Et ce indépendamment du niveau d’éducation, du sexe, du mode de vie et de l’état de santé.
 
Aucune réduction significative du risque de survenue de démence ou d’Alzheimer n’a été observée avec les autres catégories d’activités de loisirs.
 
Les chercheurs en ont déduit que promouvoir les loisirs intellectuellement stimulants chez les personnes âgées pourrait «constituer une intervention pertinente de santé publique».
 

Malbouffe interdite près des écoles: les restaurateurs mécontents


Personnellement, je suis d’accord que les restaurants rapides ne soient pas si près des écoles mais il vrai que c’est une éducation qui doit se faire d’abord a la maison .. car sans restaurant rapide, les dépanneurs pourront ramasser la manne aussi bien … en vendant des aliments qui sont tout aussi nuisible
Nuage
 
Malbouffe interdite près des écoles: les restaurateurs mécontents
 
Malbouffe interdite près des écoles: les restaurateurs mécontents
 
Trois villes (Baie-Saint-Paul, Gatineau et Lavaltrie) tentent d’utiliser le zonage pour limiter l’offre de malbouffe près des écoles. Une initiative que décrie le Conseil des chaînes de restaurants du Québec.
 
Photothèque Le Soleil, Laetitia Deconinck
 Daphnée Dion-Viens
Le Soleil
 
 
(Québec) Baie-Saint-Paul, Gatineau et Lavaltrie veulent s’attaquer au fast food à proximité des écoles, mais l’initiative ne fait pas que des heureux. L’industrie de la restauration tente plutôt de convaincre les municipalités de faire une croix sur le projet.
 
En collaboration avec la Coalition sur la problématique du poids, les trois villes examineront comment le zonage pourrait être utilisé pour limiter l’offre de malbouffe à proximité des écoles primaires et secondaires. En désaccord avec la démarche, le Conseil des chaînes de restaurants du Québec (CCRQ) tente de faire valoir ses arguments.
 

«Nous pensons qu’on ne vise pas la bonne cible», explique Jean Lefebvre, vice-président du CCRQ.
 
«Sur 21 repas par semaine, il y en a seulement cinq qui se prennent à l’école. La solution passe par la maison, avec une meilleure éducation des parents et des enfants, beaucoup plus que par des réglementations et des interdits.»
 
M. Lefebvre, qui s’est récemment inscrit au registre des lobbyistes pour plaider la position du CCRQ dans ce dossier, a fait parvenir une lettre de cinq pages aux trois municipalités pour les dissuader de participer à ce projet-pilote. Le représentant de l’industrie de la restauration a aussi sollicité une rencontre, à laquelle seule Gatineau a acquiescé pour l’instant.
 
Pas de rencontre prévue
 
Le maire de Baie-Saint-Paul, Jean Fortin, ne juge pas nécessaire de rencontrer M. Lefebvre.
 
«Sa lettre était assez claire, les arguments étaient bien expliqués. Est-ce que ça vaut la peine qu’on le rencontre? J’attends plutôt de savoir vers quoi on se dirige», dit-il.
 
M. Fortin a d’ailleurs été surpris par l’ampleur du débat suscité par ce projet-pilote. Plusieurs radios de Québec se sont intéressées au dossier, à la suite d’un reportage publié dans Le Soleil à la mi-mai.
 
«Le téléphone n’a pas dérougi, raconte M. Fortin. Notre objectif n’est pas d’aller vers des solutions draconiennes qui ne correspondent pas aux attentes de la population. Mais le débat est intéressant. La sensibilisation reste la meilleure façon de travailler sur ces enjeux-là.»
 
Ce n’est toutefois pas la première fois que Baie-Saint-Paul sonne la charge contre la malbouffe. L’an dernier, les élus ont adopté une réglementation interdisant la restauration rapide au centre-ville, pour contrer l’arrivée d’une chaîne de fast food dans ce secteur. La municipalité examine maintenant la possibilité d’étendre cette restriction aux zones scolaires.
Pour réaliser ce projet-pilote qui s’étend sur deux ans, les trois villes sélectionnées auront droit aux conseils des experts de la Coalition sur la problématique sur le poids. Une seule rencontre exploratoire s’est déroulée jusqu’à maintenant à Baie-Saint-Paul.
Selon la Coalition, il existe déjà plusieurs réglementations municipales qui ont fait jurisprudence en la matière, tant ici que chez nos voisins du sud.
 

Universités: plus de femmes que d’hommes décrochent leur diplôme


Au moment ou nous entendons beaucoup parler de décrochages scolaires .. il y a une augmentations pour les hautes études et les femmes ne sont pas mit de côté et je trouve que c’est une bonne nouvelle pour le Québec qui a longtemps trainée derrière au niveau des études
Nuage
 
Universités: plus de femmes que d’hommes décrochent leur diplôme
 
Universités: plus de femmes que d'hommes décrochent leur diplôme
 
Photothèque La Presse
 Louise Leduc
La Presse
 
 
Pour la première fois au Québec, les femmes (51,6%) sont plus nombreuses que les hommes à être diplômées universitaires. Et, si la tendance se maintient, on n’a rien vu encore: chez les 25 à 34 ans, pas moins de 58,4% des titulaires d’un diplôme universitaire sont des femmes.
 
C’est entre autres ce qui ressort d’un document sur les diplômés universitaires rendu public hier par l’Institut de la statistique du Québec.
 
En un coup d’oeil – mais en plusieurs chiffres! -, toutes les tendances sont là. Ainsi, l’étude démontre bien que même si la lutte contre le décrochage est sur toutes les lèvres, les Québécois sont de plus en plus nombreux à se rendre quand même jusqu’à l’université.
 

«Au Québec, en 2006, on dénombre 880 670 personnes de 25 à 64 ans titulaires d’un grade universitaire, cette population s’étant accrue de 23,6% depuis 2001», peut-on lire dans le document.
 
Fait à noter, à eux seuls, les immigrants récents (arrivés entre 2001 et 2006) comptent pour 38,1% de l’augmentation des titulaires d’un diplôme universitaire de 2001 à 2006. Les immigrants les plus scolarisés sont ceux qui sont nés en Afrique.
 
Les maîtrises et les doctorats gagnent-ils en popularité au Québec? Au cours de la décennie 1996-2006, apprend-on, ce sont les titulaires d’une maîtrise dont le nombre s’est le plus accru – une augmentation de 58,6% au Québec, ce qui est cependant moindre que la hausse de 68% dans l’ensemble du Canada et de 72,5% en Ontario.
 
Un choix différencié
 
Comme le signale l’enquête de l’Institut de la statistique, le domaine d’études choisi demeure fortement différencié selon le sexe. Chez les hommes universitaires, en 2006, les deux domaines d’études les plus populaires sont ceux qui se rapportent à la gestion et au génie.
 
Chez les femmes, l’éducation demeure le domaine d’études le plus choisi (22%).
 
Cependant, cela pourrait vite changer. Ainsi, par rapport à leurs aînés, les titulaires d’un grade universitaire de 25 à 34 ans ont tendance à délaisser le domaine de l’éducation et, dans une moindre mesure, celui des sciences humaines. Plus encore, dit l’étude,
 
 «cette désaffection est plus importante chez les jeunes femmes que chez les jeunes hommes».
 
C’est, entre autres, parce que les jeunes femmes sont plus attirées que leurs aînées par l’administration et le droit
 

L’oiseau mangeur d’hommes de Nouvelle Zélande a bien existé


Si certains aigles attaques occasionnellement des être humains, alors il n’est pas difficile a penser que des oiseaux énormes qui ont existé il y a des milliers d’années auraient pu attaquer des enfants humains pour se nourrir
Nuage
 
L’oiseau mangeur d’hommes de Nouvelle Zélande a bien existé
 
Te Hokioi (illustration)
 
Nouvelle-Galles du Sud, Australie – La légende maori évoquant un oiseau géant qui mangerait des hommes vient d’être confirmée par une nouvelle étude.
 
Le Te Hokioi est décrit comme un grand prédateur noir et blanc, possédant une crête rouge et le bout des ailes teintées de vert et de jaune. Aujourd’hui, selon les scientifiques, cette description ferait référence à l’aigle de Haast, un rapace disparu il n’y a que 500 ans. Pris à tort pour un rapace lorsqu’il avait été découvert en 1870, l’oiseau a été le sujet de nouvelles études.
 
Les scientifiques de l’université de Nouvelle-Galles du Sud ont déterminé par une série d’examens, notamment du bassin de l’oiseau, que celui-ci avait une envergure de 3 mètres et pesait 18 kgs. Il faisait le double de la taille du plus grande aigle vivant, et ses serres étaient aussi grosses que les griffes d’un tigre. La principale proie de cette "machine à tuer" aurait été le moa, un oiseau pouvant atteindre 250 kg.
 
"Il était certainement capable de piquer vers le sol et d’attraper un enfant", rapporte le conservateur du musée zoologique de Christchurch.
 
"Ce n’était pas seulement l’équivalent d’un prédateur géant, c’était un lion."
 

Parole d’enfant : Ou est le soleil … ?


C’est une bonne question  Car quand un enfant se lève
le jour est debout pour l’acceuillir .. Alors quoi penser
quand il est absent et que le matin ressemble a la nuit?
Nuage
 
Ou est le soleil … ?
 
 
Lorsque nous sortons de la maison vers 5 h du matin
pour aller à l’hôpital, ma fille me dit :
 
 «maman, il est où le soleil… il est brisé?»
 
Valerie Bouchard de Chambly