Même quand il recule, le fleuve avance


C’est un très beau texte riche en réflexion … Une métaphore de notre vie, de la vie des autres .. ces jugements que l’on ose prononcer par ce que d,autres ne vivent pas comme nous, ont d’autres intérêts, d’autre façon de vivre … et pourtant chacun aura son lot de tourments, de difficultés, d’épreuves a surmonter .. chacun sont des hommes, des femmes, des enfants qui ont tous un fleuve a franchir pour arriver a un but …
Nuage
 
Même quand il recule, le fleuve avance
 
 
Lorsqu’on regarde le tracé d’un fleuve sur un plan, entre sa source et la mer où il se jette, on le voit tantôt avancer droit, tantôt zigzaguer, parfois même repartir momentanément en sens contraire. Celui qui naviguerait sur ses eaux pourrait avoir le sentiment d’hésitations et de contradictions dans son parcours.
 
Pourtant, si l’on regarde une coupe latérale du terrain où coule ce fleuve, on constate qu’il ne cesse jamais un instant de progresser le long de la pente qui le conduit jusqu’à la mer. Même ses revirements, même ses zigzags font partie du trajet le plus court — a-t-on jamais vu le moindre cours d’eau remonter une pente ? — vers son embouchure.
 
Le cours de nos vies ressemble à celui d’un fleuve. De l’extérieur, on peut avoir l’impression que telle personne « recule », qu’elle ne progresse plus, que sa vie est toute de contradictions ; on peut même avoir ce sentiment-là sur sa propre existence. Combien de fois, pourtant, constate-t-on, avec le recul, que ce chemin-là était en fin de compte le plus approprié, celui qui préparait le mieux cette personne (ou soi-même) aux prochaines étapes de sa vie ?
 
Cette métaphore du fleuve incite à se montrer prudent dans les jugements superficiels qu’on est facilement enclin à porter sur autrui, et pas seulement des personnes d’ailleurs, mais des sociétés, des pays, toutes sortes de structures. Ce qui peut sembler être un recul, un revirement, à court terme, peut se révéler plus tard un détour indispensable.
 
À défaut de pouvoir se garder d’émettre des jugements — chacun sait combien c’est difficile — on peut au moins éviter de les prononcer comme des sentences définitives que le temps se chargera bien souvent de faire mentir.
 
« Les détours que nous impose la vie sont souvent la façon la plus rapide d’atteindre le but fixé. »
 
Olivier Clerc

Se laver les mains au savon plus sûr que les solutions hydro-alcooliques


L’eau et le savon demeure le premier choix pour se laver les mains comme il faut. Les solutions que l’on voit un peu partout est un remplacement temporaire en cas de nécessité car d’après les nouvelles recherches ,, les microbes ont plus en horreur le savon …
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Se laver les mains au savon plus sûr que les solutions hydro-alcooliques
 
Se laver les mains au savon plus sûr que les solutions hydro-alcooliques
 
Les chercheurs ont souligné l’importance de se laver régulièrement les mains.
 
Photo: Martin Tremblay, La Presse
  (Relaxnews)
Agence France-Presse
 
 
«Lorsqu’il est possible de se laver les mains avec de l’eau et du savon, mieux vaut choisir cette solution qu’utiliser une solution hydro-alcoolique», estime le docteur Joseph Hajjar, médecin hygiéniste, contacté par Relaxnews.
 
 Ce docteur et neuf de ses collègues ont rédigé un document de mise en garde contre l’utilisation systématique des produits hydro-alcooliques, lorsque le lavage simple avec un savon liquide est possible.
 
Pour cause, l’utilisation inadaptée d’une solution hydro-alcoolique entraînerait une «fausse sécurité».
 
«Dans certaines circonstances, notamment lorsque les mains sont souillées, ces produits sont inefficaces», explique Joseph Hajjar.
 
Les solutions hydro-alcooliques ne seraient efficaces que si elles sont utilisées sur des mains sèches et relativement propres. Si ces dernières sont recouvertes de sang ou d’urine par exemple, les solutions hydro-alcooliques n’auront pas d’efficacité.
 
Enfin, les signataires mettent en garde contre des risques accidentels potentiels liés à ces solutions hydro-alcooliques, comme l’ingestion ou la projection dans l’oeil.
 
Par ailleurs, ils s’interrogent sur un risque de «bactéries résistantes» qui pourraient se créer à la suite d’une utilisation inadaptée et systématique des solutions hydro-alcooliques.
 

Où vont les abeilles quand elles ne rentrent pas à la ruche?


Les abeilles ont de sérieux problèmes et si nous ne trouvons pas une solution durable c’est la nature qui perdra une alliée importante dans son cycle de vie … Les abeilles ne reviennent pas a la maison .. les causes ? Certains indices, nous le savons est causé par notre arrogance a vouloir tout contrôler et se débarrasser de ce que nous jugeons indésirable … Mais en réalité, nous attaquons de pleins fouet les abeilles dans leur environnement
Nuage
 
Où vont les abeilles quand elles ne rentrent pas à la ruche?
 
Où vont les abeilles quand elles ne rentrent pas à la ruche?
 
 
Photo: La Presse
  Emmanuel ANGLEYS
Agence France-Presse
Montpellier
 
 
Mystère chez les apiculteurs: depuis plusieurs années, des colonies entières d’abeilles s’évanouissent dans la nature et ne rentrent pas chez elles, laissant leur reine se débrouiller quasiment seule dans la ruche abandonnée.
 
Les scientifiques présents au congrès mondial Apimondia à Montpellier se perdent en conjectures. D’autant que l’absence de cadavres d’abeilles à proximité des ruches ainsi désertées complique l’enquête.
 
Aux États-Unis, les chercheurs parlent d’un «syndrome d’effondrement des colonies» (Colony collapse disorder, CCD).
 
En 2007 et en 2008, les États-Unis ont perdu 36% de leurs colonies d’abeilles. Et les pertes liées au CCD ont encore atteint 30% au cours de l’hiver 2009, a indiqué à Montpellier Dennis van Engelsdorp, coordinateur d’un groupe de travail américain sur la question.
 

Pesticides, maladies, virus, agriculture intensive, de multiples causes peuvent expliquer la disparition des abeilles.
 
Mais «le CCD est une manifestation particulière des troubles de l’abeille», explique le chercheur français Gérard Arnold, président du comité scientifique du congrès Apimondia.
«Les colonies s’effondrent, les abeilles ne reviennent pas à la ruche et on ne retrouve pas d’abeilles mortes», indique-t-il.
«Dans les autres cas, on voit les colonies s’affaiblir peu à peu et on trouve des abeilles mortes autour de la ruche», ajoute-t-il.
 
Les experts européens considèrent que le syndrome d’effondrement des colonies pourrait être le résultat d’une combinaison de causes.
 
Pour le docteur Jean-Marc Bonmatin, chercheur à Orléans (centre), «le CCD est la conséquence d’un affaiblissement général des colonies d’abeilles, c’est l’étape ultime».
 
Mais il désigne un coupable:
 
«depuis des milliers d’années, les abeilles se sont très bien accomodées des parasites et des maladies, ce qui est nouveau c’est ce qui a été introduit par l’homme: les neurotoxiques».
«Si les abeilles ne reviennent pas à la ruche, cela veut dire qu’elles ont rencontré en cours de route quelque chose qui les a tuées», explique-t-il.
Ainsi, après avoir butiné des tournesols traités au niveau des semences par des pesticides neurotoxiques, les abeilles présentent des «comportements anormaux, elles sont prises de convulsions», indique-t-il.
«Les pesticides affaiblissent les colonies et des agents pathogènes en profitent», renchérit Marc-Edouard Colin, docteur vétérinaire et chercheur à Montpellier.
Et pour expliquer la disparition des insectes, il rappelle que «certains insecticides peuvent désorienter les butineuses qui se perdent et ne reviennent pas à la ruche».
 
Des scientifiques américains de l’Université Columbia (New York) ont de leur côté montré dans une étude parue en septembre 2007 qu’un virus était impliqué dans la disparition massive des abeilles.
 
Il s’agit d’une variante du virus baptisé IAPV (Israëli Acute Paralysis Virus) qui paralyse les abeilles. L’IAPV était le seul micro-organisme présent dans quasiment tous les échantillons provenant des ruches affectées, ont-ils souligné.
 
«Ce qui ne veut pas dire que l’IAPV soit la cause de ce phénomène de disparition, c’est juste un indicateur d’affaiblissement», fait remarquer Jean-Marc Bonmatin qui estime «urgent de faire quelque chose contre les neurotoxiques, sinon on va dans le mur».
L’Union nationale de l’apiculture française a de son côté lancé un «appel solennel» aux pouvoirs publics pour «une évaluation plus rigoureuse et complète de la toxicité des produits phytosanitaires».
 

Miroir


L’eau miroir de l’âme, de la terre, des animaux de notre état d’âme. Quelque fois embrouillée avec le temps … Quelque fois l’impide comme le cristal
Nuage
 
 
Miroir
 

Chott el-Jérid
 
chott el-jérid
 
Dépression saline située en Tunisie, le Chott el-Jérid est en hiver recouvert d’une nappe d’eau superficielle. De quoi obtenir des reflets parfaits. © Sylvain Latouche
 
Les jardins botaniques
 
les jardins botaniques, comme ici celui de nancy, sont le lieu de découvertes
 
Les jardins botaniques, comme ici celui de Nancy, sont le lieu de découvertes magiques. © Simon Giovanini
 
Pont suspendu entre deux eaux
 
pont suspendu
 
"C’est un pont suspendu entre deux eaux : l’eau de la terre et l’eau de la mer, sur un fond de ciel rouge. Ce n’est pas le soir de la beauté, c’est au contraire l’aube de sa résurrection, comment ne pas être pieds et poings liés, attachés, encordés dans l’ascension de l’émotion de la surprise qui grandit en nous jusqu’au sommet de sa pureté." Michel. © Francis Nozet
 
A la dérive
 
nul besoin d'aller bien loin pour capter ces instants précieux. il est possible
 
Nul besoin d’aller bien loin pour capter ces instants précieux. Il est possible de faire ce type de rencontres sur les bords de Marne. © Pascal Benard
 
Sablières d’Ecouflant
 
sablières
 
L’effet de saturation accentue les contrastes naturels du ciel et des Sablières d’Ecouflant. Si certains lecteurs trouvent cela artificiel, d’autres estiment que la prise de vue reste exceptionnelle. Et vous, qu’en pensez-vous ? © Thierry Courossé
 
Ambiance bucolique
 
ambiance bucolique
 
Le Seine s’écoule tranquillement sans perturber cette barque colorée par le soleil couchant. © Fabian Naibo
 
Tortue émergente
 
tortue émergente
 
La tortue verrait-elle double ? © Christelle Milesi
 
Eté indien au Canada
 
l'été indien au canada sublime les couleurs de la nature.
 
L’été indien au Canada sublime les couleurs de la nature. © Mireille Pohier-Reynaud
 
Miroir aquatique
 
miroir aquatique
 
Le Doubs prend sa source dans le Jura et serpente à travers plusieurs départements en formant un grand M, avant de se jeter dans la Saône. © Daniel Bassetti
 
Formes
 
formes
 
On peut imaginer de multiples formes, humaines ou animales, avec ce sublime contre-jour. © Thérèse Malifarge
 

Rechercher la vie ailleurs


Il y a t’il de la vie ailleurs que sur la Terre, probablement que oui, mais pas nécessairement comment on connait sur notre planète bleue … Sont-ils habitable, cela reste a voir, mais comment peut-on espérer vivre ailleurs si ici nous sommes en train de détruire tout ce que nous touchons .. jusque dans l’espace
Nuage
 
Rechercher la vie ailleurs
 
Rechercher la vie ailleurs
 
Corot-7b, la première exoplanète déclarée «rocheuse comme la Terre», n’est pas habitable pour autant.
 
Photo: AFP
  Annie Hautefeuille
Agence France-Presse
Paris
 
 
Comment définir une planète habitable? Quel type de vie rechercher? Alors que la première exoplanète rocheuse vient d’être officiellement découverte, les astronomes ont abordé ces questions lors du Congrès européen de planétologie, cette semaine, à Potsdam près de Berlin.
 
«Il est temps de changer radicalement notre définition actuelle de la vie qui se fonde sur celle que nous connaissons sur Terre», selon Johannes Leitner de l’Institut d’astronomie de l’université de Vienne.
 
«On ne peut pas exclure qu’ailleurs aient évolué des formes de vie n’ayant ni besoin d’eau comme solvant, ni de carbone et d’oxygène pour leur métabolisme», a-t-il déclaré vendredi, selon un communiqué.
 
Pour détecter des formes de vie plus «exotiques», utilisant d’autres briques que le carbone, un autre solvant que l’eau, son équipe multidisciplinaire de recherche, créée en mai à Vienne, entend identifier des marqueurs biologiques.
 
Alors qu’actuellement on définit comme «zone habitable» autour du Soleil ou d’une autre étoile celle où de l’eau liquide peut exister à la surface d’une planète, il préconise un concept plus large. Il y aurait différentes «zones susceptibles de permettre la vie», selon le liquide (méthane, ammoniac, mélanges d’eau et d’autres solvants..) où elle pourrait se développer.
 

De telles formes de vie «exotiques» pourraient exister non seulement sur des exoplanètes, mais aussi dans notre Système solaire, par exemple dans «les lacs de méthane liquide de Titan, sous la surface d’Encelade, dans certaines niches habitables de l’atmosphère de Venus», a-t-il relevé dans sa présentation.
 
Dans un rapport consacré en 2007 aux «Limites de la vie organique dans les systèmes planétaires», le Conseil national de la recherche américain (NRC) avait invité à prendre en compte la possibilité de formes de vie différentes de la nôtre.
 
Alors que, jusque là, la Nasa avait recherché la vie au sein du système solaire en «suivant la piste de l’eau», le NRC relevait «qu’il n’y a aucune raison d’exclure la possibilité de vie dans des environnements aussi divers que les aérosols au dessus de Vénus ou certains mélanges eau-ammoniac sur Titan».
 
Sans prendre position sur les types de biologie possible, Axel Hagermann (Open university, Milton Keynes, Royaume Uni), a soumis jeudi devant les astronomes réunis à Potsdam l’idée d’un indice définissant «l’habitabilité» d’une planète.
 
«Actuellement, explique-t-il dans un communiqué, il n’existe aucun moyen simple pour comparer dans quelle mesure différents environnements sont adaptés à la vie».
 
Il faudrait, selon lui, quantifier l’impact des quatre critères actuellement retenus : présence d’un solvant, de briques de base pour la vie, de conditions clémentes et d’énergie.
 
Avoir une source d’énergie ne suffit pas, tout dépend laquelle. Pour une exoplanète, la lumière visible ou infrarouge de son étoile est profitable à la vie, mais des rayons X ou UV sont nocifs.
 
«On peut imaginer, dit-il, une planète avec une atmosphère peu épaisse laissant passer ces rayonnements nocifs : à une certaine profondeur dans le sous-sol, ces "mauvais" rayons seront absorbés mais les "bons" pourront pénétrer». Ce niveau du sous-sol serait alors habitable. Son objectif serait de pouvoir «définir cette zone comme étant "aussi habitable" ou "moins habitable" qu’un désert au Maroc, par exemple».
 
Quant à Corot-7b, première exoplanète déclarée cette semaine «rocheuse comme la Terre», selon Didier Queloz (Observatoire de Genève), elle n’est pas habitable pour autant, car sa proximité avec son étoile la transforme en enfer brûlant abritant peut-être des océans de laves.
 

La Chine couvre le pont des suicidés de beurre


L’Idée a peut-être fonctionné mais me semble qu.étant donné qu’il y a un problème sérieux de suicide en Chine et ils ont des endroits qui sont plus sujets que d’autres a servir de dernière marche, il aurait pu avoir des intervenants pour aider les dépressifs a se reprendre en main ..
Nuage
 
La Chine couvre le pont des suicidés de beurre
 
Beurre (illustration)
 
Guangzhou, Chine – Dans le sud-est du pays, les autorités chinoises ont ordonné à des ouvriers de couvrir un pont de beurre pour éviter que les habitants s’y suicident.
 
 
 
Le pont d’acier, d’une longueur de 300 mètres, a été recouvert d’une couche de beurre aux points pouvant être escaladés par les personnes suicidaires, le rendant glissant. Shiu M. Lang, porte-parole du gouvernement, explique :
 
"On a mis des gardes aux deux extrémités, des clôtures avec des pancartes demandant aux personnes de ne pas se suicider ici, mais ça ne fonctionnait pas. Alors nous avons décidé de couvrir le pont de beurre et maintenant personne ne peut plus y grimper".
 
Wong Man, gardien du pont, ajoute : "Chaque fois que quelqu’un voulait se suicider pour des idées ou des problèmes personnels, cela créait des embouteillages et il y avait beaucoup de plaintes. Depuis que nous avons mis le beurre, nous avons évité ce genre de choses."
 

Un million d’oies des neiges se posent au même endroit


Il faut préserver ces endroits pour que les oiseaux en septembre puissent immigré en toute sécurité pour achever leur voyage vers d’autres cieux ..
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Un million d’oies des neiges se posent au même endroit
 
Les oies des neiges migrent à partir de septembre
 
Mound City, Etats Unis –Les oies des neiges ont entamé leur migration automnale. Plus d’un million d’entre elles se sont retrouvées dans le refuge de Squaw Creek, le temps de récupérer quelques forces.
 
Chaque année, des milliers d’oies des neiges se donnent rendez-vous au Squaw Creek National Wildlife Refuge, Missouri. Cette ancienne aire de chasse est aujourd’hui une étape importante lors de leur migration annuelle qui les conduit du centre du Canada aux terres plus chaudes du golfe du Mexique. Voyageant par groupes de 100 à 1 000 individus, les volatiles parcourent plus de  4 000 kilomètres à chaque migration. 
 
Offrant suffisamment d’eau et de nourriture, les quelque 20 km² du refuge de Squaw Creek sont ainsi envahis par les oies. Cette année, plus d’un million d’entre elles s’y sont retrouvées, donnant lieu à un spectacle impressionnant. 
 
 
Le refuge de Squaw Creek est un véritable sanctuaire
 
Le refuge de Squaw Creek est un véritable sanctuaire
 
 
Environ 1,2 millions d’oies sont rassemblées
 
Environ 1,2 millions d'oies sont rassemblées
 
Un spectacle impressionnant
 
 
Un spectacle impresisonnant

Un jeune élève de 12 ans retourne à l’école après avoir changé de sexe


J’ai un neveu qui est devenu ma nièce, car tout indiquait qu’elle était a l’intérieure une fille … Elle devra se faire opéré bientôt pour finaliser le changement .. elle est une belle jeune femme présentement .. Ici elle n’a que 12 ans .. sûrement que les médecins ont fait le nécessaire pour vérifier ce qu’elle est vraiment une fille ..  néanmoins le temps que prendra l’opération laisse du temps a mieux se située … Reste qu’a l’école, ce n’est pas toujours facile a vivre car qu’importe la différence cela a toujours occasionné des problèmes
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Un jeune élève de 12 ans retourne à l’école après avoir changé de sexe
 
école (illustration)
 
Grande-Bretagne – Un établissement scolaire a dû réunir les élèves lors d’une assemblée extraordinaire pour les informer que l’un de leurs camarades était devenu une fille.
 
Le petit garçon de 12 ans est arrivé au collège avec une robe et de longs cheveux noués en nattes. Durant tout son cycle à l’école primaire, l’enfant était un garçon et ses camarades l’ont rapidement reconnu malgré son apparence féminine, ce qui a suscité de vives brimades. Bien que le garçon n’a pas encore subi d’opération pour changer de sexe, il suit un traitement hormonale et il est très vite devenu le bouc émissaire de ses camarades. Le directeur de l’établissement a donc décidé de réunir spécialement les élèves pour tenter de régler ce problème. Il a notamment demandé aux élèves de le traiter désormais comme une fille et de l’appeler par son nouveau prénom.
 
Les parents d’élèves ont cependant assez mal réagi car ils estiment que l’établissement aurait dû les tenir informés de cette situation pour qu’ils puissent eux-mêmes l’expliquer à leurs enfants :
 
"Ma fille m’a dit que l’élève était devenu la cible de diverses intimidations. Ce qui a énervé les parents est que l’établissement ne nous a pas informés. Peut-être que nous aurions pu en discuter avec nos enfants et les encourager à être plus sensibles".
 
Il semble que jusqu’à présent l’enfant était traité comme un garçon en dépit de son attitude féminine. Désormais, il bénéficie de toilettes séparées et d’une pièce spéciale pour se changer en cours de sport.
 

Comportement


 

Avec l’expérience au cours années, nous savons
qu’il y a de beaux parleurs .. mais que les actions
sont quasi inexistantes alors que d’autres agit sans pour
tout en restant discret verbalement …
Nuage
 
Comportement
 
Plus je vieillis, moins je porte attention
à ce que les gens disent
J’observe seulement ce qu’il font

 

  

 

La richesse


 

C’est vrai que la richesse, n’apporte rien en mourant
Ce qui reste dans la mémoire de ceux qui reste sera
les actes que nous avons accomplis que l’on soit riche ou pauvre
Nuage
 
La richesse
 
Même la personne la plus riche meurt pauvre.
La seule chose qu’elle peut emporter avec elle,
c’est la richesse de son coeur,
c’est-à-dire l’amour dont elle a aimé.
 
La richesse du coeur: un sourire, une poignée de main,
un geste amical, une parole joviale.
Qui perd le sens de ces richesses vives
cherche des choses stériles pour compenser.
 
Avec de l’argent, tu peux acheter des relations,
mais pas une amitié.
 
Avec de l’argent, tu peux ouvrir toutes les portes,
sauf celle du coeur.
 
Un fossé sépare un nombre incalculable d’êtres
humains:
Le fossé entre riches et pauvres.
 
Il y a des gens qui nagent dans l’argent,
tandis que d’autres peuvent à peine tremper
le petit orteil dans l’eau.
 
Et cependant,
il semble que ces derniers constituent souvent un
obstacle à la nage des grands nageurs.
Les riches se comportent comme si la richesse
de la terre était leur propriété privée.
 

Dans l’économie de l’amour,
il te faut donner plus que ce que tu possèdes.
Il faut te donner toi-même.
 
Auteur: Phil Bosmans