Un Américain recordman de don du sang


Ce genre de records mérite d’être souligné, car c’est un don de soi pour aider des gens malades, accidentés … la plupart du temps des inconnu .. Sachant que les banques de sang manquent souvent, il y en a qui donnent un peu plus et ne s’en porte pas plus mal
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Un Américain recordman de don du sang
 
don du sang (illustration)
 
 
Woodbury, États-Unis – Un homme a donné pour la 320e fois son sang cette semaine, devenant ainsi l’un des deux individus à avoir donné plus de 150 litres de son sang aux États-Unis.
 
Al Fischer, 75 ans, a fait son premier don du sang il y a maintenant 58 ans. Et depuis ce jour, six fois par an, il continue à donner son sang. Mais un autre homme de 83 ans, Maurice Wood, aurait fait plus de dons que Fischer. Une rivalité amicale s’est donc installée entre les deux hommes.
 
D’après Harvey Schaffler, directeur du Centre du sang de Long Island, M. Fischer aurait aidé plus de 1000 personnes grâce aux 151,40 litres de sang qu’il a donnés.
 

«Mettez le Québec dans votre assiette»


Plus nous achetons des produits du Québec, plus nous aidons notre économie a suivre le rythme. Mais attention … j’ai déjà vue des fruits dans un panier dit provenant du Québec, mais en fait venait d’ailleurs … Il faut espérer que les épiciers soient assez honnête pour bien indiquer les produits de chez nous
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«Mettez le Québec dans votre assiette»
 
«Mettez le Québec dans votre assiette»
 
Le logo de la campagne «Mettez le Québec dans votre assiette»
 
La Presse Canadienne
Montréal
 
 
Le ministre de l’Agriculture du Québec, Claude Béchard, a lancé mardi à Montréal la deuxième année du programme «Mettez le Québec dans votre assiette», une initiative de trois ans qui vise à inciter les Québécois à acheter davantage d’aliments produits et transformés au Québec.
 
Des messages publicitaires seront diffusés à la télévision, à la radio, dans les magazines et sur Internet pour amener les consommateurs à choisir les produits alimentaires du Québec.Le ministre Béchard a rappelé que l’industrie bioalimentaire québécoise compte quelque 485 000 travailleurs. Il a aussi expliqué que si chaque consommateur québécois remplace l’achat d’aliments étrangers par des aliments d’ici pour une valeur de 30 $ par année, au bout de cinq ans, les ventes de produits québécois auront augmenté de 1 milliard $.
 
Au cours des 18 derniers mois, l’agence Aliments du Québec a plus que doublé – de 4000 à 9000 – le nombre de produits qui portent les logos «Aliments du Québec» et «Aliments préparés au Québec».
 
La deuxième année du programme vise à inciter les consommateurs du Québec à choisir quotidiennement des aliments produits et transformés par les gens de chez nous, a dit le ministre Béchard.

Le ministre a enfin reconnu que des efforts devront encore être consentis pour qu’on retrouve davantage de produits québécois sur les tablettes des supermarchés, notamment en ce qui a trait à la production et à la distribution. Il mise aussi sur la loi de l’offre et de la demande, estimant que plus les consommateurs seront familiers avec les produits québécois, plus ils les réclameront à leur épicier, et plus celui-ci sera enclin à les offrir.
 

Des animaux à découvrir les yeux dans les yeux


Ces yeux qui observent, qui guettent le moindre danger, ces yeux différents des nôtres, sont en eux même de haute technologie naturelle… Adapté au besoin de chaque espèces animales
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Des animaux à découvrir les yeux dans les yeux
 
oeil de pieuvre
 
L’oeil de la pieuvre
 
Ces images impressionnantes illustrent la grande diversité et les multiples adaptations de l’oeil dans le règne animal. 
 
Éléphant, poulpe, caméléon ou libellule… Tous perçoivent différemment le monde qui les entoure. Et, pour ce faire, tous ont vu leurs yeux évoluer de façon remarquable. 
 
 
l’oeil de la crevette-mante distingue 12 couleurs primaires et six types de polarisation lumineuse. Les scientifiques le décrivent souvent comme le plus évolué du règne animal
 
l'oeil de la crevette-mante distingue 12 couleurs primaires et six types de polarisation lumineuse. Les scientifiques le décrivent souvent comme le plus évolué du règne animal
 
l’oeil d’une grenouille arboricole, protégé par la membrane nictitante, une troisième paupière qui permet à l’animal de continuer à observer son environnement
 
l'oeil d'une grenouille arboricole, protégé par la membrane nictitante, une troisième paupière qui permet à l'animal de continuer à observer son environnement
 
les yeux du caméléon sont indépendants et lui permettent de voir simultanément devant et derrière lui
 
les yeux du caméléon sont indépendants et lui permettent de voir simultanément devant et derrière lui
 
la mygale possède quatre paires d’yeux (3 visibles sur la photo)
 
la mygale possède quatre paires d'yeux (3 visibles sur la photo)
 
l’oeil de l’éléphant d’Asie est protégé par de longs cils
 
l'oeil de l'éléphant d'Asie est protégé par de longs cils
 
les yeux du bénitier, disposés sur le manteau de ce bivalve, lui permettent de distinguer le jour, la nuit et même les ombres
 
les yeux du bénitier, disposés sur le manteau de ce bivalve, lui permettent de distinguer le jour, la nuit et même les ombres
 
la libellule possède des yeux composés qui lui confèrent presque une vision à 360°
 
la libellule possède des yeux composés qui lui confèrent presque une vision à 360°
 
l’oeil de poulpe est lui aussi très évolué
 
l'oeil de poulpe est lui aussi très évolué
 
l’oeil du bucorve du sud est protégé par de longs cils qui sont des plumes transformées
 
l'oeil du bucorve du sud est protégé par de longs cils qui sont des plumes transformées
 

Des insectes pourraient remplacer les souris de laboratoire


Tout le monde le sait que les souris sont utilisés pour des recherches médicales .. mais voilà que les insectes pourront prendre la place étant donné les similitudes… moins cher et plus vite pour avoir des résultats ..
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Des insectes pourraient remplacer les souris de laboratoire
 
Papillons de nuit, chenilles ou drosophiles pourraient bientôt remplacer les millions de souris utilisées chaque année pour les tests médicaux en laboratoire, rapportent des chercheurs, mardi 8 septembre.
 
Des biologistes ont découvert que certaines cellules des mammifères et des insectes réagissent de la même manière en cas d’infection. Ces conclusions pourraient permettre à l’industrie pharmaceutique de se passer de 80 % des rongeurs aujourd’hui utilisés en laboratoire et d’économiser énormément de temps et d’argent.
 
"C’est désormais une pratique établie d’utiliser des larves d’insectes pour les tests initiaux de nouveaux médicaments, puis de passer à des souris pour confirmer les résultats", explique Kevin Kavanagh, biologiste de l’Université nationale d’Irlande, lors d’une présentation devant la Société de microbiologie générale.
 
"Cette méthode de test est plus rapide car les insectes produisent des résultats en quarante-huit heures, tandis que les tests avec des souris prennent généralement quatre à six semaines. Et c’est aussi bien moins cher."
 
85 % DES EXPÉRIENCES SONT MENÉES SUR DES RONGEURS
 
Kevin Kavanagh et ses collègues ont découvert que les polynucléaires neutrophiles, type de globule blanc du système immunitaire des mammifères, et les hématocytes, qui jouent un rôle similaire chez les insectes, ont la même réaction en cas d’infection microbienne. Ces cellules produisent des protéines semblables qui migrent à la surface de la cellule pour combattre les microbes. Elles ingèrent ensuite le corps étranger et sécrètent des enzymes pour le détruire.
 
"Nous avons utilisé des insectes en lieu et place des mammifères pour mesurer le caractère pathogène d’une bactérie ou d’un champignon et nous avons constaté une très forte corrélation des résultats, indique encore le chercheur. La raison en est (…) que le système immunitaire naturel des mammifères est similaire à celui des insectes à près de 90 %."
 
Pour M. Kavanagh, c’est la preuve que les drosophiles, les papillons de nuit et les chenilles pourraient être utilisés pour tester de nouveaux traitements antimicrobiens ou déterminer la virulence d’agents pathogènes.
 
Près de 85 % des mammifères utilisés lors d’expériences sont des rongeurs – majoritairement des souris –, en raison de leur petite taille et de leur rapidité à se reproduire, cette dernière particularité permettant de les étudier sur plusieurs générations.
 

Le réflexe Facebook peut sauver la vie


C’est assez étrange la façon de réagir certains jeunes … Bref, quand une personne en situation périlleuse ou encore comme peut-être avez-vous déjà vu, des alertes disant qu’une personne va se suicider sur un réseau sociaux qu’une personne qui peut être des kilomètres à la ronde  réussit a contacté les urgences de la place … Mais là, on se demande pourquoi cette appel a l’aide au lieu de composer elles-même le numéro d’urgence …
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Le réflexe Facebook peut sauver la vie
 
 
Cette histoire prouve que Facebook peut sauver la vie mais on se pose sérieusement des questions sur les réflexes d’urgence des nouvelles générations.
 
Ce n’est pas la première histoire du genre, mais elle laisse toujours aussi dubitatif sur la nature humaine… du moins sur celle de certains membres de réseaux sociaux. Deux jeunes filles australiennes de 10 et 12 ans coincées dans un égout d’eaux de pluie ont eu pour réflexe de mettre à jour leur statut Facebook pour se sortir de cette situation si dangereuse.
 
Alors que le numéro d’appel des urgences est le 000 en Australie, on a du mal à comprendre cette réaction de mise à jour de statut alors qu’elles auraient tout simplement pu composer ce numéro de secours si facile à retenir.
 
Quand Facebook sauve la vie de deux jeunes filles

Si au final les deux jeunes filles ont été sauvées d’une noyade certaine grâce à cette mise à jour de statut, elles auraient pu être beaucoup plus efficaces en composant le numéro des secours.
 
Heureusement, l’un de leurs amis virtuels était connecté et a pu prévenir les secours. Le problème est que la recherche des jeunes filles a été beaucoup plus longue et incertaine par le biais du réseau social que par un appel d’urgence plus traditionnel. On imagine que ce réflexe est liée à la crainte de la réaction des parents.

 
Mesdemoiselles, jeunes hommes, si vous vous retrouvez dans une situation délicate, préférez le numéro d’urgence. Vos parents ne vous en voudront jamais d’avoir appelé les secours.
 

Un kit pour protéger les animaux domestiques des séismes


Je ne sais pas ce que vaut ce kit, néanmoins après voir vu des animaux délaissé après une inondation.. des chiens des chats qu’on pensaient qu’ils pourraient s’en tirer, meme enfermer dans la maison, des animaux se sont réfugier sur le toit .. d’autres ont bu de l’eau contaminées. Le refuge a pu sauver plusieurs chiens et chats … mais si on peut prévenir avec le nécessaire de survie alors pourquoi pas, surtout dans les zones a risques
Nuage
 
 
Un kit pour protéger les animaux domestiques des séismes
 
Chien et chat (illustration)
 
Japon – Un designer japonais a conçu des kits particulièrement utiles en cas de tremblement de terre. Le but de ces derniers est d’éviter que les animaux de compagnie des habitants des zones à risque ne soient mis en danger.
 
Trois packs différents ont été prévus pour chiens et chats de petite ou grande taille. Ils contiennent notamment un manteau équipé d’une capuche, des bottes et des huiles aromatiques pour limiter le stress de l’animal. Ce véritable kit de survie comporte également une sorte de capsule pour enfermer et protéger l’animal. On peut y glisser des effets personnels du chien ou du chat, comme des jouets et une clochette. Ainsi, si un séisme survient, l’animal pourra toujours évoluer dans sa bulle avec de la nourriture et de l’eau.
 
Un dispositif a même été prévu pour éviter que les animaux les plus effrayés par le phénomène ne mordent ceux qui sont venus leur porter secours. Laura Stavros, vice-présidente de la Rinkya Inc, qui a mis en circulation ces kits, explique que si le dispositif peut sembler futile à première vue, il permet aux personnes dont l’animal est un membre à part entière de la famille d’assurer leur sécurité en cas de séisme. Elle ajoute :
 
 "Le Japon est connu pour abriter un grand nombre d’animaux domestiques et une grande partie de ses habitants préfère avoir un animal qu’un enfant. Ils les habillent avec des vêtements hors de prix […] En 2006, il y avait plus d’animaux de compagnie au Japon que d’enfants de 10 ans et moins."
 
Le produit est disponible en trois versions : Ultimate, Basic et Life, pouvant coûter de 100 à 400 £. Il est également recommandé aux consommateurs de familiariser leur animal avec le kit, afin qu’il ne panique pas au moment où ils seront amenés à s’en servir.
 

37 trucs pour bouger davantage au quotidien


Quelques idées pour nous aider a ne pas rester sédentaire. Bouger, encore bouger doit être une grande priorité .. pour ne pas enkiloser ..
Nuage
 
37 trucs pour bouger davantage au quotidien
 
 
On pense souvent qu’il faut entreprendre un programme d’entraînement ou faire du sport intensément pour rester en santé. Pourtant, il y a d’autres solutions. «On n’a pas besoin de suer à grosses gouttes pour se garder en santé, dit Sylvie Gagnon, conseillère en promotion de l’activité physique à Kino-Québec.
 
Il suffit souvent de multiplier les occasions d’être active au quotidien au lieu de les éviter.»
Cela demande quand même des efforts, car notre société nous incite de diverses manières à esquiver l’activité physique. Pas étonnant que deux personnes sur trois soient peu ou pas actives!
 
«Aujourd’hui, la technologie remplace la plupart des activités humaines, constate Richard Chevalier, éducateur physique et auteur. Mais notre corps, lui, n’a pas changé: il est conditionné pour bouger. Sans activité physique, il se dégrade rapidement.»
 
Les experts s’entendent pour dire que 30 minutes d’activité par jour à une intensité modérée suffisent pour obtenir des effets bénéfiques sur la santé.
 
«À ce rythme, on n’améliore pas nécessairement notre condition physique, mais on maintient notre corps actif et en santé», explique Chantal Daigle, kinésiologue.
 
Que nos activités soient formelles (sports, entraînement, etc.) ou informelles (activités domestiques, loisirs, déplacements, etc.), l’important est de bouger.
 
«On devrait essayer de ne jamais faire des choix faciles et sédentaires, dit Jean-Denis Thompson, directeur de l’entraînement chez Énergie Cardio. Aller marcher après le souper, jouer dehors avec les enfants ou promener le chien, c’est déjà très bien.»
 
Le plus difficile reste bien souvent de se motiver et de passer à l’action. Besoin d’inspiration? Voici des conseils d’experts pour nous faire bouger davantage au quotidien.
 
Au travail
 
On sort marcher tous les jours pendant notre heure de dîner. En prime, on aura davantage d’énergie et de concentration pour terminer la journée.
On trouve un endroit pour dîner à une quinzaine de minutes de marche de notre lieu de travail
(restaurant, parc, bord d’une rivière, édifice public, etc.).
On profite des conversations téléphoniques pour bouger. On se lève, on marche ou on se met sur la pointe des pieds pendant quelques minutes. On peut aussi saisir un livre ou une bouteille remplie d’eau (un litre d’eau = un kilo) et faire des exercices de musculation pour les poignets et les bras.
On prend l’habitude de faire des exercices quand on est assise devant l’ordinateur: contractions abdominales et dorsales, rotations d’épaules, étirements, etc.
On remplace la pause-café par une pause-étirements. On trouve des idées d’exercices en visitant ce site Web.
 
Dans nos déplacements
 
On ne cède plus à la tentation de prendre l’auto quand on peut faire le trajet à pied, à vélo ou en patins à roues alignées. Ce sera plus facile si on est bien équipée pour ces activités (vêtements chauds, bottes confortables, sac à dos, etc.).
On se rend trop loin? On stationne à 15 minutes de marche de notre destination, ou on descend à un arrêt d’autobus ou une station de métro avant, et on termine le trajet à pied.
On reste debout dans les transports en commun: on fait alors travailler quelques muscles et on développe notre équilibre.
On boycotte les escaliers roulants et les ascenseurs. On se rend au 30e étage de l’édifice? On en monte une partie à pied.
Si on emprunte régulièrement le même itinéraire à pied ou à vélo, on peut modifier le circuit lorsqu’on a pris de la vitesse et de l’assurance: on l’allonge de quelques coins de rue, on y insère une côte ou deux, on traverse un parc, etc.
 
En faisant les courses
 
On gare notre voiture le plus loin possible dans le stationnement du centre commercial. Double avantage: on marche et il y a toujours de la place.
On transporte les sacs d’épicerie en fléchissant légèrement les bras et les poignets au lieu de les laisser pendre au bout de nos bras. Un bon exercice pour nos biceps!
Si on achète peu d’articles à l’épicerie, on utilise un panier à poignées plutôt qu’un panier roulant. On plie légèrement le bras pour le transporter.
On évite les commandes à l’auto et les livraisons à domicile.
 
En entretenant la maison
 
On augmente notre tempo habituel en faisant le ménage. On effectue des mouvements vigoureux et on marche d’un bon pas d’une pièce à l’autre. On sera plus active, et on aura fini en un rien de temps!
On garde le dos droit et on fléchit légèrement les genoux en passant l’aspirateur pour solliciter les muscles des cuisses.
Pour frotter et récurer planchers, baignoire, vitres et murs, on effectue des mouvements circulaires en changeant régulièrement de direction et de main pour faire travailler nos deux bras.
On change souvent de position lorsqu’on jardine, en alternant les positions accroupie, à quatre pattes, assise en tailleur
(les jambes croisées) et à la japonaise (les fesses appuyées sur les talons en maintenant le dos droit), etc. On alterne ainsi les muscles qui travaillent et ceux qui sont en flexion.
On profite de la vaisselle pour faire travailler nos mollets. On rentre le ventre, on étire légèrement le tronc et la tête sans lever les épaules et on se met sur la pointe des pieds. On maintient la position quelques secondes, on relâche et on recommence.
On ne laisse plus rien s’accumuler en haut ou en bas de l’escalier. Au contraire, on multiplie les occasions d’emprunter l’escalier: c’est bon pour la forme.
On prend l’habitude de tout faire nous-même. Tondre la pelouse
(pas avec le tracteur, évidemment), pelleter l’entrée, ramasser les feuilles mortes, s’occuper du jardin, corder du bois, laver la voiture: toutes ces activités demandent de l’énergie et font travailler nos muscles.
Au lieu de sortir le chien dans la cour, on l’emmène marcher au moins deux fois par jour.
 
Avec les enfants

On joue avec eux dans la cour ou quand on les accompagne au parc. On en pousse deux à la fois sur les balançoires
(ça essoufle!), on fait des courses, on grimpe dans les blocs de jeux. On initie une partie de cachette, de poursuite, de soccer. On trimballe partout ballon, frisbee, cerf-volant et gants de baseball.
On rend notre cour propice aux activités sportives. L’hiver, on y aménage une patinoire ou une glissoire. L’été, on y installe un panier de basket-ball, ou un filet de badminton ou de volley-ball. Comme ils seront accessibles, on pourra les utiliser à tout moment.
On remet l’équipement sportif en ordre au début de chaque saison. Un vélo avec une crevaison risque de rester dans le garage!
On organise des corvées en famille: jardiner, racler les feuilles, faire le grand ménage du printemps, etc. Puisqu’il faut le faire, c’est plus plaisant tous ensemble!
Si nos enfants ont leurs propres activités sportives, on profite de leurs heures d’entraînement pour en faire aussi en allant marcher, nager, courir, patiner, etc. Ou on s’implique en proposant notre aide lors des entraînements sportifs de nos enfants.
On s’inscrit à une activité parent-enfant. Les municipalités en offrent de plus en plus: cours d’arts martiaux, de tennis, de yoga, de danse, de cardio-poussette, d’aquaforme postnatale avec bébé, etc. On s’informe auprès de la nôtre.
La fin de semaine, on planifie régulièrement une journée d’excursion en famille: randonnée pédestre, chasse au trésor, vélo, herborisme, escalade, etc.
 
Dans nos loisirs
 
On fait l’inventaire de ce qui occupe nos loisirs. La question à se poser: bouge-t-on suffisamment pendant nos moments libres? Si non, on cherche une activité qui nous fera bouger davantage. Le mot d’ordre: en essayer de nouvelles à chaque saison. Des exemples? La danse (latine, country, sociale, en ligne, claquette, baladi, etc.), le yoga, le patinage, la natation, les arts martiaux, l’escalade, l’hébertisme, l’ornithologie, la randonnée pédestre, la raquette, etc.
On s’équipe à la maison d’une table de ping-pong, d’un jeu de dards, de balles pour jongler, d’un cerceau pour le hula-hoop, etc. On se réunit en famille ou entre amis pour des mini-tournois ou simplement pour s’amuser.
On maximise le temps passé devant la télé. En regardant nos émissions, on peut faire des étirements, de la musculation, de la bicyclette stationnaire. On profite des pauses publicitaires pour pratiquer quelques activités plus exigeantes: redressements assis, pompes, sauts à la corde, etc. Ou encore, on s’assoit sur un ballon d’exercice
(tout au plus 30 minutes) au lieu de s’étendre sur le divan.
Chaque jour, on remplace une demi-heure de télévision par une activité qui bouge. Au lieu de regarder la télévision, on allume la radio. On peut alors faire autres chose en même temps.
 
Avec les amis
 
Plutôt que de rencontrer les copines au resto, on se donne rendez-vous pour bouger ensemble: marcher, patiner, faire une courte randonnée de ski de fond, jouer au badminton intérieur.
On va danser le samedi soir. Quelques heures sur la piste de danse, c’est bon pour la forme… si on n’abuse pas de l’alcool. On fait d’une pierre deux coups en emmenant notre amoureux pour passer du temps en couple!
On remplace un souper de gang par un après-midi en plein air: glissade l’hiver, ou plage l’été. On met quelques accessoires sportifs dans notre sac pour que tout le monde puisse bouger.
On s’intéresse aux loisirs de nos amies: ils pourraient nous inspirer.
 
Pour en savoir plus… ou bouger plus!
•Guide d’activité physique canadien pour une vie active saine. Site Web.
www.phac-aspc.gc.ca/pau-uap/guideap/index.html
•Programme «Vas-y, fais le pour toi!». Site Web .
•À vos marques, prêts, santé!, par Richard Chevalier, Éditions du renouveau pédagogique, 2006, 386 p., 29,95$.
•En 2 ou 3 mouvements. Le corps heureux. Les gestes pour garder la forme, par Thérèse Cadrin-Petit et Lucie Dumoulin, Les Éditions de l’Homme, 2003, 144 p., 18,95$.
•Stretching, étirements en souplesse pour combattre le stress et garder la forme, par Suzanne Martin, Broquet, 2006, 160 p., 24,95$. • Les Petits Mouvements qui font toute la différence pour votre santé, par Angela Montemiglio, Édimag, 2006, 124 p., 7,95$.
 

Confiance


 

Comment  peut-on parler d’amitié, si la confiance
est absente .. Avoir un ami de confiance, il faut
l’être nous-même
Nuage
 
Confiance
 
L’amitié sans confiance
c’est une fleur sans parfum
 
Laure Conan

 

 

 

  

Le mineur


Chaque métier, profession est utile a la société. Nous avons certes besoin de médecin, de professeur, de comptable, de savant, mais aussi nous avons besoin d’éboueur, de magasinier, de facteur, technicien a la machinerie lourde etc … Tous font partie d’une chaine qui s’entraide sans que nous en soyons vraiment conscient … Il n’y a pas de sot métier … S’il n’y avait plus de chauffeur de taxi et d’autobus .. s’il n’y avait plus de préposées aux bénéficiaires, ni de concierges, d’agent de la faune  .. imaginez dans quel pétrins nous serions ..
Nuage
 
Le mineur
 
 
 
 
Il était une fois un mineur qui travaillait à la sueur de son front pour gagner sa vie et le pain de sa famille. C’était un homme respectueux, aimant, travaillant, pieux…
 
Par contre, en regardant dans son entourage, il s’aperçut qu’il y avait des choses qui se passaient et qu’il n’avait aucun pouvoir pour les changer. Cette pensée a fini par le hanter continuellement en lui laissant un sentiment de faiblesse face à ce qui se passait. Ne trouvant aucune réponse à sa question, il finit par croire qu’il était inutile.
 
À chaque prière du soir, il demanda à son Dieu pourquoi il en était ainsi. Une bonne nuit, devant l’insistance de cet homme, Dieu lui donna un cadeau. C’était un rêve. Dans ce rêve, le petit mineur était devenu le soleil. Grand et fort, il était au-dessus de tout, éclairant et réchauffant tout sur son passage. Il était utile. Soudain, un nuage passa et bloqua ses rayons.
 
« Comment est-ce possible? Les nuages seraient-ils plus forts que le soleil? Je veux être nuage. »
 
Aussitôt dit, aussitôt fait! Le voici en nuage, bloquant les puissants rayons du soleil. Il était utile.
 
« Que se passe-t-il? Je change de place contre mon gré. C’est le vent, constata-t-il. Est-ce possible qu’il soit plus puissant que les nuages? Je veux être vent. »
 
Aussitôt dit, aussitôt fait! Soufflant avec vigueur, il déplaçait les nuages, agitait l’océan, faisait tourner les moulins. Il était utile. Soudain, une montagne le fit dévier de sa trajectoire.
 
« Est-ce possible? Une montagne plus puissante que le vent? Je veux être montagne. »
 
Aussitôt dit, aussitôt fait! Le voici en montagne, résistant aux vents et marées. Il était utile. Soudain, il sentit un malaise venant de son intérieur et demanda à Dieu ce qui se passait.
 
« Ton mal? Il y a des mineurs qui te rongent les entrailles et bientôt, tu disparaîtras, chère montagne. »
 
C’est à ce moment que le mineur se réveilla. Il était maintenant convaincu qu’il était utile, car il pouvait, avec l’aide de ses pairs, déplacer des montagnes qui laisseront place au vent, qui déplacera les nuages qui bloquent le soleil. Il n’est pas nécessaire d’être au sommet pour faire bouger les choses. À chaque niveau de la vie, nous avons une influence sur ce qui nous entoure. Il s’agit d’y croire.
 
Auteur inconnu