La prise régulière d’aspirine nocive pour les gens en bonne santé


On dit souvent mieux vaut prévenir que guérir, mais ce n’est pas toujours le cas. La prise régulière d’aspirine ne devrait pas être pris a la légère mais qu’il soit d’abord et avant tout recommandé par un médecin .. car l’aspirine est un médicament et tout médicament demande d’être pris quand une cause se présente
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La prise régulière d’aspirine nocive pour les gens en bonne santé
 
La prise régulière d'aspirine nocive pour les gens en bonne santé
 
Photothèque La Presse
Agence France-Presse
Londres
 
 
Les personnes en bonne santé qui prennent de l’aspirine au quotidien en pensant prévenir les accidents cardiovasculaires ne font qu’accroître le risque d’hémorragie, selon une étude britannique publiée lundi.
 
Cette étude, intitulée Aspirin for Asymptomatic Atherosclerosis (AAA), ne conteste pas les bienfaits de l’aspirine, par son effet anticoagulant, pour les patients présentant des risques cardiovasculaires. Mais elle s’inquiète de la consommation régulière d’aspirine par des personnes en pleine santé.
 
«Nous savons que les patients présentant des symptômes de maladies artérielles, telle que l’angine de poitrine, l’attaque cardiaque ou l’attaque cérébrale, peuvent réduire les risques en prenant une faible dose d’aspirine chaque jour», a expliqué le professeur Peter Weissberg, directeur médicale de la British Heart Foundation, qui a aidé à financer l’étude.
 
Mais «les conclusions de cette étude sont en accord avec nos recommandations actuelles selon lesquelles les gens qui n’ont pas été diagnostiqués pour une maladie artérielle ou cardiaque et ne présentent pas de symptômes, ne devraient pas prendre d’aspirine parce que le risque d’hémorragies peut s’avérer plus important que les bienfaits», a-t-il ajouté.
 
Cette étude a été conduite par le professeur Gerry Fowkes de l’université d’Edimbourg et a été présentée ce week-end au congrès de la Société européenne de cardiologie à Barcelone (Espagne).

Elle a porté sur 3.500 hommes et femmes, âgés de 50 à 75 ans, sans antécédents cardiovasculaires, à qui l’on a donné quotidiennement soit 100 mg d’aspirine soit un placebo, et qui ont été surveillés médicalement pendant huit ans.
 
S’il n’y a eu aucune différence dans le nombre d’attaques cardiaques et cérébrales, ou d’accidents cardiovasculaires, des saignements sont apparus pour 2% des personnes consommant de l’aspirine et seulement 1,2% de celles prenant le placebo.
 
Les pathologies cardiovasculaires ont fait 17,5 millions de morts dans le monde en 2005, soit 30% du total, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
 

Mystères des Bermudes


Depuis toujours, quand la science n’a pu expliquer certains mystères qui se produit sur cette terre, les gens ont tendance a croire qu’il y a quelque chose de paranormal … de forces obscures .. quoiqu’il en soit, ce n’est pas parce qu’on est pas capable d’expliquer que cela ne peut avoir une interprétation sur les phénomènes .. Le triangle des Bermudes est un bon exemple. Maintenant la science peut expliquer certains aspects étranges qui se produit de temps a autre dans ce secteur
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Mystères des Bermudes
 
 
Redoutés par les navigateurs et certains aviateurs, le triangle des Bermudes intrigue. Naufrages successifs et superstitions entretiennent la légende d’une région hostile. Le mythe vu par la science.
 
Les esprits marins mettent-ils tout en œuvre pour faire périr les hommes qui brisent leur tranquillité dans le triangle des Bermudes ? Une légende et une superstition pour beaucoup. La science n’a pas laissé l’affaire en suspens et explique ce phénomène pas si étrange.
 
Des disparitions inquiétantes

Le triangle des Bermudes se situe dans la Mer des Sargasses, il est délimité par l’archipel des Bermudes au Nord, Puerto Rico au Sud et la péninsule de Floride à l’Ouest. Depuis 1800, on compte plus de treize disparitions de navires et avions dans la zone. Ces accidents à répétition ont créé et alimenté la légende. Deux notamment : le naufrage du voilier l’Albatros en 1961 et la disparition en 1945 de cinq avions de l’aéronavale américaine suivie de près par l’explosion en plein vol de l’avion de sauvetage envoyé sur les lieux. Deux phénomènes qui ont éveillé la curiosité des scientifiques et trouvé des réponses différentes.
 
Marins et "grain blanc"

Les récits des marins survivants sont semblables. Une mer calme, et tout un coup une immense tempête qui fait sombrer le bâtiment en quelques minutes puis le retour brutal à la normale. Les marins ont pour coutume de nommer ce phénomène le "grain blanc". Un phénomène surnaturel ?
 
Non, nous dit la science. Le "grain blanc" est un vent très violent, ce que les climatologues appellent une rafale descendante. Ainsi, la chaleur des eaux marines monte dans l’atmosphère et forme un nuage : le cumulonimbus, qui est à l’origine des rafales. Des vents pouvant dépasser les 300 km/heure disparaissent au bout de quelques minutes seulement. Le phénomène est déjà connu dans les terres et la disparition de l’Albatros montre aussi son existence en mer. Mais si les rafales descendantes permettent d’expliquer la disparition des navires, elle ne peut pas expliquer l’explosion en vol de l’avion de sauvetage. Une autre raison ou, pour le coup, un vrai phénomène paranormal ?
 
Les dangers du méthane

Là encore, la science à son mot à dire. L’explosion de l’avion, comme certains naufrages, est due à d’importantes remontées de méthane sous-marin. Les océans renferment une quantité considérable d’hydrate de méthane. Ce dernier est stable, avec une température inférieure à 5°C, lorsqu’il est situé à plus de 500 mètres de profondeur.
 
Le sol, même sous les mers, est en évolution constante et lors des séismes, il peut se craqueler et laisser s’échapper d’importantes quantités de méthane. L’air étant bien moins dense que l’eau, il remonte directement à la surface sous forme de bulles et crée ainsi de fortes perturbations mettant en péril les bateaux et leurs équipages. Mais une fois à la surface de l’eau, le méthane n’a pas fini sa course. Plus léger que l’air, il monte et gagne l’atmosphère. Parfois il arrive que le gaz rentre en contact avec le moteur d’un avion et s’enflamme, entraînant ainsi l’explosion de l’appareil. Au mauvais endroit, au mauvais moment, si l’on peut dire.
 
Il ne faut guère d’esprits marins entêtés et dérangés mais bien des phénomènes atmosphériques et géologiques pour venir à bout d’une telle légende.
 

Le désert


Vagues de sable, couleur or, ou blanc, quelques fois grisâtre .. un espace aride ou la vie semble impossible mais cache dans son sein .. ses protégés .. Désert du monde, balayant sa poussière vers d’autres contrées, d’autres pays …  a la recherche de la sécheresse.
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Le désert
 
La dune du Pyla, France
 
la dune du pyla, france
 
C’est la dune la plus haute d’Europe. Située à l’entrée du bassin d’Arcachon, elle est en perpétuel mouvement, et si son altitude varie, elle atteint toujours les 100 mètres. © Fotolia.com
 
Le Ténéré, Niger
 
le ténéré, niger
 
Le Ténéré est renommé pour ses ergs pouvant atteindre jusqu’à 300 mètres de haut et qui s’étendent sur des milliers de kilomètres. © Alice Aubert
 
Djanet, Algérie
 
djanet, algérie
 
Ses dunes blondes et rousses font la renommée de ce désert en lisière du Tassili n’Ajjer. © Michel Jourdan
 
Taklamakan, Chine
 
taklamakan, chine
 
Avec ses 337 000 km² de sable, c’est le troisième plus grand désert du monde. Ses dunes peuvent atteindre jusqu’à 40 m de hauteur. © Johan Karlson. Fotolia
 
Arabie Saoudite
 
arabie saoudite
 
A l’est de l’Arabie Saoudite et jusqu’au golfe Persique, on peut admirer des étendues de sable à perte de vue.   © Serge Corolleur
 
White Sands, Nouveau-Mexique
 
white sands, nouveau-mexique
 
White Sands est un désert de sable blanc situé au Nouveau-Mexique. Les photographes apprécient particulièrement ses dunes brillantes poussées par le vent. © Josette Le Bourhis
 
Sud Lipez, Bolivie
 
sud lipez, bolivie
 
Cette région désertique au sud de la Bolivie est pratiquement vide de toute population mais ses lagunes vertes et colorées en font rêver plus d’un. © Jean Zucchet
 
Le Sultanat d’Oman
 
le sultanat d'oman
 
Cette vaste plaine désertique couvre la majeure partie du centre du pays, situé au sud de la péninsule d’Arabie. © Jean Zucchet
 

Un test de l’haleine pour détecter le cancer du poumon


Si les examens de dépistages étaient tous aussi simple … Faut espérer que ce procéder fonctionne car nombre de cancer seraient peut-être pris a temps ..
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Un test de l’haleine pour détecter le cancer du poumon
 
Un test de l'haleine pour détecter le cancer du poumon
 
Photo: Photothèque La Presse
Agence France-Presse
 
 
Des chercheurs israéliens ont mis au point un processus permettant de diagnostiquer un cancer du poumon en analysant l’haleine, avant que les tumeurs ne soient visibles sur des radios, selon une étude publiée dimanche dans la revue britannique Nature Nanotechnology.
 
Le processus utilise des nanoparticules en or qui permettent de détecter des niveaux infimes de composés organiques volatiles dont la quantité augmente chez les personnes souffrant de cancer.Selon cette équipe, conduite par Hossam Haick, de l’Institut de technologie d’Israël, le procédé doit encore être soumis à des essais cliniques à grande échelle. Les premiers essais ont détecté des cancers du poumon avec une réussite de 86%, affirment-ils.
 
Actuellement, seulement 15% des cancers sont découverts avant que la maladie ait commencé à s’étendre, alors qu’une détection précoce augmente considérablement les chances de survie.
 
Pour cette étude, l’équipe de chercheurs a relevé des échantillons d’haleine de 56 personnes en bonne santé et de 40 personnes souffrant de cancer du poumon. Pour éviter toute contamination, les participants au test avaient préalablement respiré à fond pendant cinq minutes à travers un filtre qui retenait 99,99% des composés organiques de l’air.
 

Les chercheurs ont étudié ensuite les composés organiques volatiles présents chez les seuls patients cancéreux, qui pouvaient servir de biomarqueurs de la maladie.
 
Trente trois de ces composés apparaissaient chez au moins 83% des patients cancéreux, et à un moindre degré chez les personnes en bonne santé.
 
Les chercheurs ont ensuite mis au point un ensemble de capteurs chimiques utilisant des nanoparticules en or. Ils ont manipulé ces capteurs pour qu’ils puissent détecter certains composés organiques volatiles apparus comme spécifiques du cancer et donc distinguer entre l’haleine des patients cancéreux et celle des personnes saines.
 
«Ces résultats sont très prometteurs pour des diagnostics rapides, faciles et peu coûteux du cancer du poumon», ont souligné les chercheurs, estimant que la technique pourrait être étendue à d’autres types de cancer.
 
Selon l’Organisation mondiale de la santé, le cancer du poumon coûte la vie à 1,3 million de personnes par an dans le monde, soit près de 18% des décès par cancer.
 

Sucettes ou barbe à papa : des friandises complètement piquées!


Pour faire changement, un article sucré et collant … sur la confection de friandises qui a fait partie de notre enfance .. et peut-être même encore aujourd’hui …
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Sucettes ou barbe à papa :
des friandises complètement piquées!
 
Sucettes ou barbe à papa : des friandises complètement piquées!
 
Photo: Photothèque La Presse
  Simone Estran
Associated Press
Paris
 
 
Elles ont en commun d’être piquées à un bâtonnet et ne collent pas aux doigts… Sucette, esquimau, pomme d’amour ou encore barbe à papa, ces douceurs si appréciées des petits – et des grands – font oublier que leur confection n’est pas si simple qu’il n’y paraît.
 
Sucette
 
C’est dans les années 1920 que le confiseur Georges Evrard eut l’idée de créer un bonbon sur bâtonnet afin d’offrir aux enfants une alternative au sucre d’orge dont la savoureuse dégustation se terminait inévitablement avec des doigts poisseux.
 
Dans les années 1960 sont apparues les premières sucettes en forme de boule, mais le design originel en «fer de lance» – pour s’adapter à la forme de la langue – fait encore référence. Quant au bâtonnet, traditionnellement en bois ou en rotin de Madagascar, il est désormais en plastique et offre une meilleure résistance.
 
Simple en apparence, le concept se heurtait à l’origine à une difficulté technique. En effet, la sucette devait être emballée immédiatement après démoulage pour éviter qu’elle n’entre au contact de toute surface… au risque d’y adhérer. La manoeuvre d’emballage présentait l’inconvénient de tortiller le sommet de la sucette, alors malléable car élevée à 80 degrés C, lorsqu’on lui donnait sa forme de papillote.
 

Le processus actuel permet d’obtenir des formes irréprochables. Le sirop de sucre est porté à 145 degrés C, puis coulé dans des moules où sa température est abaissée à 80 degrés C. A ce stade, sa consistance permet d’introduire le bâtonnet, puis la sucette est saisie mécaniquement pour être refroidie. Elle est alors emballée sans dommage.
 
Esquimau
 
L’appellation «esquimau» est aux glaces ce que le «Frigidaire» est au réfrigérateur… A savoir une marque commerciale, devenue un nom commun!
 
La forme du bâtonnet, généralement en bois, est déterminée par deux critères: confort de préhension et capacité à maintenir un poids de 40 à 45 grammes. Le sorbet ou la crème glacée sont déversés dans des alvéoles en inox baignées dans une saumure. Ce fluide est mis à refroidir jusqu’à environ -40 degrés C pour porter, par échange thermique, le produit au stade de la congélation.
 
L’introduction du bâtonnet est tout un art… Trop tôt, ça ne tient pas, trop tard ça casse! La température idéale reste un secret jalousement gardé par chaque fabricant… Une fois en place, il permet d’extraire la glace de son alvéole – légèrement réchauffée pour plus de facilité.
 
Suspendu à une pince mécanique, l’esquimau est ensuite plongé dans un coulis d’enrobage (sucre et arôme: fruit, vanille, chocolat…), puis glissé dans son emballage papier.
 
Barbe à papa
 
Née aux Etats-Unis à la fin du XIXe siècle, elle est devenue la confiserie emblématique des fêtes foraines et est constituée exclusivement de sucre et d’une pincée de colorant pour lui donner une teinte pastel…
 
Pour sa confection, une machine spéciale est utilisée, composée d’une bassine en inox, d’une turbine en forme de couronne au centre – équipée d’une résistance électrique -, dont une partie est entourée d’un treillis métallique. Le sucre est déposé au centre de la turbine où il est chauffé et liquéfié, puis projeté à travers le grillage par la force centrifuge. Il se dépose alors en filaments sur la paroi où il est recueilli à l’aide d’une baguette de bois. Ce geste demande un certain savoir-faire.
 
Pomme d’amour
 
Alliance du bonbon et du fruit brut, c’est également un grand classique des foires, kermesses et autres festivités, mais plus facile à faire… même soi-même: il suffit de préparer un mélange eau, sucre, sirop de glucose et colorant alimentaire rouge, de le porter à 120 degrés C. La pomme, lavée, équeutée et piquée sur un bâtonnet en bois, est entièrement plongée dans le sirop puis mise à refroidir – tête en bas – sur une plaque recouverte d’un papier sulfurisé.
 

Des grains de poussière révèlent les premières étapes de la vie


L’origine de la vie … a toujours passionné les gens, surtout les chercheurs qui aimeraient bien trouvé la recette qui fait germer la vie … Je suis personnellement persuadé que la vie n’est pas le fruit du hasard mais orchestré par une force supérieure a toutes les créatures et toutes autres forces qui peuvent exister dans l’univers ..C’est comme un gâteau … si on met les ingrédients un a côté de l’autre, le gâteau ne peut pas se créer tout seul. Il a besoin d’une personne qui mélange tel ingrédient, fait tel geste a un ordre donné pour que ce gâteau puisse exister C’est la même chose pour moi pour la création de l’univers .. de la vie, car c’est trop complexe pour penser que cela serait le fruit du hasard
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Des grains de poussière révèlent
les premières étapes de la vie
 
Des grains de poussière révèlent les premières étapes de la vie
 
Une photo fournie par la NASA montre une particule de comète récoltée par la sonde spatiale Stardust.
 
Photo: Archives AFP
Agence Science Presse
 
 
Après trois années de travail sur de microscopiques grains de poussière provenant d’une comète, des scientifiques confirment cette semaine y avoir trouvé ce que tout le monde espérait : les premières étapes de la vie. Les médias scientifiques en bourdonnent d’excitation. Qu’est-ce que cela signifie?
 
D’où viennent ces grains de poussière?
 
En décembre 2006, la sonde spatiale Stardust parachutait sur Terre un petit trésor : une minuscule poignée de grains de poussière «ramassés» trois ans plus tôt alors que cette sonde traversait la queue de la comète Wild-2. Ces grains mesurent à peine quelques millièmes de millimètre chacun, et l’ensemble de la « récolte » ne pèse que quelques millionièmes de gramme.
 
Quelle est la découverte?
 

Des scientifiques y ont identifié un acide aminé, la glycine, une des «briques» de base de la vie. 
 
«Notre découverte appuie la théorie voulant que certains des ingrédients nécessaires à la vie se soient formés dans l’espace et aient pu être livrés sur Terre, il y a longtemps, par des météorites ou des comètes», résume le communiqué de presse de la NASA.
 
Est-ce vraiment une découverte?
 
Une découverte, mais pas une surprise. La détection d’acides aminés dans des météorites remonte aux années 1960. Des chercheurs ont affirmé en 2003 en avoir détecté dans des nuages de poussière interstellaire, mais cette affirmation demeure contestée. Avec Stardust, c’est toutefois la première occasion qu’on a d’en recueillir directement depuis l’espace. Dès 2006, une équipe du Centre d’études spatiales Goddard, rattaché à la NASA, avait fait état de la présence de glycine dans cette poussière de comète, mais ne pouvait pas encore écarter la possibilité que cet acide aminé soit originaire de notre planète.
 
Pourquoi la glycine est-elle si importante?
 
Parce que c’est une «brique», justement : d’autres molécules – d’autres briques – indispensables à la formation de la vie se greffent autour de cette première brique. La glycine constitue ainsi un des matériaux de base de nos protéines.
 
Or, avec une comète comme Wild-2, on a affaire à un corps céleste qui n’a peut-être pas changé depuis plus de 4 milliards d’années : c’est un témoin de la formation de notre système solaire, façonné dans le même nuage de gaz et de poussière où se formaient alors les planètes, dont la Terre. Cela signifierait donc que la glycine, un mélange de carbone, d’hydrogène, d’azote et d’oxygène, était présente dès les origines de notre système solaire.
 
Comment sait-on qu’il ne s’agit pas de glycine terrestre qui aurait contaminé cet échantillon?
 
Parce que le carbone qui la compose contient une plus grande proportion d’un type de carbone (le carbone 13) que celui composant la glycine qu’on trouve sur Terre (le carbone 12). Un peu l’équivalent d’un biologiste qui établirait, par l’analyse de l’ADN, que deux espèces animales en apparence semblables sont en réalité différentes.
 

Record : un patient en attente de greffe survit 16 jours sans cœur


Si je ne m’abuse je pense que c’est le procédé de tenir en vie quand ils font une opération a coeur ouvert … qui est un procédé de plusieurs décennies .. normalement cela dure que le temps de l’opération Personnellement, je n’aurais pas voulu battre ce records pendant ce procédé mais au moins cela a fonctionner .. qui laisse peut etre une aide précieuse pour certaines opérations cardiaque
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Record : un patient en attente de greffe
survit 16 jours sans cœur
 
coeur humain
 
Taïwan – L’Hôpital de l’université nationale de Taipei a réussi à maintenir un patient en vie 16  jours sans coeur, dans l’attente d’une transplantation, grâce à l’oxygénation extracorporelle à membrane
 
M.Chen a dû être hospitalisé en février dernier suite à une grave infection bactérienne qui avait débuté comme un rhume et qui l’empêchait de dormir. Les médecins de l’hôpital universitaire ont diagnostiqué une endocardite infectieuse, maladie rare qui se caractérise par l’inflammation des membranes internes du coeur et de ses valves.
 
Une intervention chirurgicale a été décidée pour réparer les valves endommagées. Mais les chirurgiens n’ont pu que constater l’ampleur des dégâts et ont décidé de retirer le coeur. M. Chen a été placé sous oxygénation extracorporelle à membrane, système qui fait circuler le sang dans les organes à la place du coeur.
 
Ce système est un support temporaire qui relie la circulation interne à une pompe de sang et un poumon artificiel. L’échange entre oxygène et dioxyde carbone a lieu dans un oxygénateur externe.
 
Les docteurs ont installé à M. Chen deux systèmes dans l’attente d’une transplantation et parce que le patient ne pouvait se permettre la pose d’un coeur artificiel.
 
Cette transplantation a eu lieu seize jours après le retrait du coeur du patient, sans aucun rejet. Au bout d’un mois, M. Chen avait parfaitement récupéré. Seize jours représentent le record de longévité d’un patient sans coeur.
 

Découvrir sa richesse


Tant de gens sont triste, se sentent inutile … il ne suffit que de donner
quelques moments de notre temps pour leur faire découvrir les côtés
positifs qu’ils possèdent.. Pour changer le monde, il suffit de donner un
sourire ne fût qu’une seule personne dans une journée ….
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Découvrir sa richesse
 
Le plus grand bien que nous faisons aux autres hommes
n’est pas de leur communiquer notre richesse,
mais de leur faire découvrir la leur.
 
Louis Lavelle.

 

Folie


 

Il y a des histoires qui se ressemble, mais elles ont tous un petit
quelque chose pour nous faire réfléchir sur le sens de nos passions ..
pour comprendre ce qui est le plus important ..
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Folie
 

La folie décida d’inviter ses amis pour prendre un
café chez elle.

Tous les invités y allèrent. Après le café, la folie proposa:

On joue à cache-cache?
Cache-cache? c’est quoi, demanda la Curiosité.
 
Cache-cache est une jeu. Je compte jusqu’à cent et vous
vous cachez. Quand j’ai fini de compter, je cherche et le
premier que je trouve sera le prochain à compter.
 
Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse.
 
1, 2, 3,… La folie commença à compter.
 
L’Empressement se cacha le premier, n’importe où. La
timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe
d’arbre.
La joie courut au milieu du jardin. La Tristesse commença
à pleurer, car elle ne trouvait pas d’endroit approprié pour se cacher
.
 
L’Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui
derrière un rocher.
 
La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient.
 
Le Désespoir étaient désespéré en voyant que la Folie était
déjà à soixante-neuf.
 
CENT! cria la Folie. Je vais commencer à chercher…
 
La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n’avait
pu s’empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait
le premier découvert.
En regardant sur le côté, la Folie vit
le Doute au-dessus d’une clôture ne sachant pas de quel côté
il serait mieux caché.
 
Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité…
 
Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda:
"Où est l’Amour?"
 
Personne ne l’avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle
chercha au-dessus d’une montagne, dans les rivières, au pied
des rochers. Mais elle ne trouvait pas l’Amour.

Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, pris un bout de
bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain
elle entendit un cri.

 
C’était l’Amour qui criait parce qu’une épine lui avait
crevé un oeil.
 
La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s’excusa, implora
l’Amour pour avoir son pardon et alla jusqu’à lui promettre
de le suivre pour toujours.

L’Amour accepta les excuses.

 
Aujourd’hui, l’Amour est aveugle et la Folie l’accompagne toujours.

 
Auteur inconnu