Archives du 13 août 2009
Le travail temporaire rend dépressif
Même si cette étude présenté dernièrement, date entre 2000 a 2002, je pense que le contexte actuel donne raison a ces résultats. Le travail temporaire remplis que partiellement les obligations qu’un travailleur doit rencontrer .(surtout si ce n’est que sa seule source de revenu). et que le temps a se chercher un emploi ou d’être appelé pour travailler augmente le stress pour savoir s’il va etre en mesure de payer son logement, nourriture etc …
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Le travail temporaire rend dépressif
![]() Photo: David De Lossy/Getty Images Les travailleurs temporaires sont davantage à risque de développer des problèmes de santé mentale, comme la dépression, selon une étude de l’Université McGill.
Ces résultats ont été présentés lors de l’assemblée annuelle de l’Association américaine de sociologie, le 9 août dernier.
Selon Mme Quesnel-Vallée, c’est surtout la perception de précarité qui entraîne une détresse psychologique chez les travailleurs occasionnels, contractuels et autonomes.
Les chercheurs ont basé leur étude sur un échantillon de 2000 Américains. Ils ont analysé des données colligées par le Bureau of Labor Statistics des États-Unis entre 1992 et 2002.
En comparant l’état psychologique des travailleurs permanents à ceux des travailleurs temporaires, ils ont constaté que ces derniers présentaient davantage de symptômes de dépression.
Selon Mme Quesnel-Vallée, les conclusions de l’étude s’appliquent autant aux Américains qu’aux Canadiens, puisque la situation des travailleurs temporaires est similaire: aucune sécurité d’emploi, un plus faible revenu et pas d’avantages sociaux.
La chercheuse s’inquiète de l’augmentation constante du travail précaire dans les sociétés nord-américaines.
Au Canada comme au Québec, plus d’un tiers de la population (37 %) occupait un emploi atypique (temporaire, temps partiel, autonome) en 2008, selon Statistiques Canada. Dans la province, près des deux tiers des jeunes de 15 à 24 ans sont dans cette situation.
Les chercheurs terminent leur étude en suggérant que les employeurs ont intérêt à se soucier de la santé mentale de leurs employés, dans un contexte où l’économie mondiale est de plus en plus compétitive.
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Une tortue mâle va devenir père à 110 ans
Les chauves-souris du Québec menacées
Nous le savons que les chauves-souris sont menacés et au Québec nous sommes encore a vérifier dans la population de ces animaux les premiers signes de cette maladie … Certains ont horreur de ces bêtes mais pourtant elles nous sont très précieuses pour équilibré la population d’insectes Perdre ces colonies seraient un désastre naturel
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Les chauves-souris du Québec menacées
![]() Le nom de la maladie du museau blanc provient du fait que le museau des chauves-souris atteintes perd ses couleurs habituelles.
Mathieu Perreault
La Presse Un champignon qui décime les colonies de chauves-souris au Vermont et dans l’État de New York menace le Québec. Si la maladie qu’il cause, dite du museau blanc, frappe les chauves-souris québécoises, il pourrait y avoir beaucoup plus de moustiques.
La chauve-souris touchée par le champignon est insectivore et peut avaler plusieurs milliers d’insectes en une seule nuit. À l’ouest d’Albany, où la maladie du museau blanc a été détectée pour la première fois en 2006, certaines colonies ont été complètement éliminées, et les autorités notent une augmentation du nombre de moustiques.
Le Ministère a mandaté une firme privée pour recenser les chauves-souris dans cinq colonies des Cantons-de-l’Est. Le nombre d’individus était stable durant les hivers 2008 et 2009, des saisons d’hibernation, par rapport à un décompte antérieur. Les quelques animaux morts envoyés à l’École vétérinaire à Saint-Hyacinthe ne portaient pas de trace du champignon, mais certains spécimens de cette année avaient un autre champignon.
Selon le biologiste québécois, l’apparition du champignon au Québec pourrait favoriser la croissance des populations de moustiques.
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Le temps
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Le Mot
Tout peut sortir d’un mot qu’en passant vous perdîtes. TOUT, la haine et le deuil ! Et ne m’objectez pas Que vos amis sont sûrs et que vous parlez bas. Ecoutez bien ceci :
Tête-à-tête, en pantoufle,
Portes closes, chez vous, sans un témoin qui souffle, Vous dites à l’oreille du plus mystérieux De vos amis de coeur ou si vous aimez mieux, Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire, Dans le fond d’une cave à trente pieds sous terre, Un mot désagréable à quelque individu. Ce MOT – que vous croyez que l’on n’a pas entendu,
Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre – Court à peine lâché, part, bondit, sort de l’ombre; Tenez, il est dehors ! Il connaît son chemin, Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main, De bons souliers ferrés, un passeport en règle ; Au besoin, il prendrait des ailes, comme l’aigle ! Il vous échappe, il fuit, rien ne l’arrêtera ; Il suit le quai, franchit la place, et cætera Passe l’eau sans bateau dans la saison des crues, Et va, tout à travers un dédale de rues,
Droit chez le citoyen dont vous avez parlé.
Il sait le numéro, l’étage ; il a la clé, Il monte l’escalier, ouvre la porte, passe, entre, arrive Et railleur, regardant l’homme en face dit : « Me voilà ! Je sors de la bouche d’un tel. »
Et c’est fait. Vous avez un ennemi mortel.
Victor Hugo, Toute la Lyre
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