Au lit avec Big Brother


Sujet intéressant sur le réseautage et ce n’est pas juste avec Facebook mais tout blogs ou les gens parlent trop de leur vie privée, comme pour se faire approuver qu’ils agissent normalement,.
On souligne dans l’article que peut-être les points de repère de la morale .. enseigner plus souvent qu’autrement par la religion (ce n’est pas dans le but de critiquer si nous aimons ou pas la religion) font maintenant défaut et ce besoin de savoir ce qui se passe ailleurs. Mais nous devrions garder nos secrets, notre vie privée en dehors d’internet … Il y a des choses a ne pas dire .,… même si les personnes semblent compréhensive, il y aura toujours quelqu’un qui utilisera vos confidences contre vous
Nuage
 
 
Au lit avec Big Brother
 
Un étudiant américain accusé de téléchargement illégal
 
Le site de réseautage Facebook a parfois une influence directe sur la vie réelle. Certains couples se seraient séparés parce que l’un des tourtereaux n’avait pas changé assez vite son statut de «célibataire» à «en couple». Il paraîtrait même que des nouveaux mariés ont changé simultanément leur statut respectif de «fiancé» à «marié»… en plein milieu du mariage.
 
Photo: Michel Tremblay, archives Le Quotidien
 Mathieu Perreault
La Presse
 
 
À la mi-juillet, le Commissariat à la vie privée du Canada a tapé sur les doigts du site de réseautage Facebook  parce que certaines de ses fonctions, modifiées depuis, protégeaient mal les renseignements personnels. Or, certains sites de réseautage vont bien plus loin?: il est maintenant possible de dévoiler, de manière plus ou moins anonyme, ses infidélités ou ses insatisfactions conjugales, les péripéties de sa vie sexuelle, les détails de son cycle menstruel et une foule d’autres statistiques.
 
Qu’est-ce qui pousse des millions de gens à s’épancher ainsi sur l’internet?
 
Il y a quelques années, le mari de Dawn Rouse lui a demandé de vider ses poches avant de mettre son pantalon au lavage. Sa demande l’a choquée: la prenait-il pour la bonne? Plus tard, lorsqu’elle a trouvé l’agenda électronique de son mari au fond de la laveuse, elle a été incapable de lui avouer la vérité. Elle l’a coincé sous le pneu de la voiture pour qu’il pense qu’il était tombé de sa poche et qu’il avait roulé dessus.
 

«Chaque femme a son lot de petits secrets qu’elle cache à son mari», explique Mme Rouse. Originaire du New Hampshire, elle habite depuis trois ans à Montréal-Ouest avec son mari et leur fille de 11 ans et poursuit des études de doctorat en éducation à l’Université McGill.
 
«J’ai pensé que ce serait bien d’avoir un endroit où les dévoiler.»
 
En 2006, Mme Rouse, qui s’occupait alors de la DPJ d’un comté du New Hampshire, a lancé le site internet truewifeconfessions. Elle a fourni les 20 premières confidences. Depuis, près de 3000 autres secrets ont suivi, allant de «tu m’énerves quand tu perds tes clés» à «je vais te quitter dès que notre enfant aura 18 ans».
 
Depuis quelques années, une foule de sites internet rivalisent entre eux pour colliger les aléas de la vie privée. Postsecret publie, depuis 2005, des secrets envoyés par la poste à l’artiste qui a conçu le site. Secondchance permet d’exprimer ses regrets de façon tout aussi anonyme. Avec Daytum, il est possible de donner les «statistiques essentielles» sur sa vie, des repas au restaurant à ses rencontres amoureuses (la version gratuite de Daytum n’a pas d’options de confidentialité, que seule la version à 5$ par mois comporte). Monthlyinfo et Bedposted sont encore plus anonymes – l’utilisateur a accès à ses seules données – et permettent de tenir un journal sur son cycle menstruel et sur sa vie sexuelle (70% des usagers de Bedposted songent au site pendant ou immédiatement après une relation sexuelle).
 
Docteur, suis-je normal?
 
Il y a deux semaines, le Commissariat à la vie privée du Canada a reproché au site de réseautage Facebook de mal protéger les renseignements personnels. Mais on peut se poser une question préalable: pourquoi assiste-t-on à un tel déferlement d’information intime, dévoilée de façon anonyme ou non, sur la place publique?
 
«Ces confidences existent parce qu’il n’y a plus de normes religieuses et que l’autorité des adultes est de plus en plus remise en question, estime Will Straw, professeur de communications à l’Université McGill. La seule manière de vérifier si notre comportement est normal est de voir ce que font les autres personnes. C’est la même chose que de répondre à un questionnaire sur sa personnalité dans un magazine.»
 
Dawn Rouse confirme l’interprétation. «J’ai 39 ans et je fais partie de la première génération postféministe, dit-elle. On nous a dit qu’on pouvait tout faire. Mais ce n’est pas vrai: on ne peut pas à la fois être une mère et une épouse sans faille et avoir une carrière mirobolante. On manque de temps. Les confidences permettent d’avoir des commentaires pour reconnaître les situations inacceptables, et on lit celles des autres pour se comparer.»
 
Exposer sa vie sur l’internet permet aussi d’obtenir l’absolution pour ses travers.
 
 «Quand on décrit ses mauvais côtés sur l’internet, on a implicitement l’acceptation des personnes qui nous lisent», explique B.J. Fogg, psychologue à l’Université Stanford, joint en Californie.
 
«C’est un peu la même chose que les confessions publiques dans certaines églises baptistes.»
 
L’influence du virtuel sur le réel
 
Le chercheur californien se sert de Facebook pour étudier la psychologie de la persuasion.
 
«On peut se demander comment des gens arrivent à convaincre leurs amis de dévoiler leur vie intime sur l’internet simplement en leur demandant d’être leurs amis Facebook, dit M. Fogg. À mon avis, c’est un phénomène de "normalisation": des 800 personnes qui sont mes amis sur Facebook, il y en a probablement à peine 100 qui mettent régulièrement leur page à jour et 50 qui font des changements chaque jour. Mais leur comportement est présenté comme la norme, à la fois par la culture populaire et par la compagnie Facebook elle-même.»
 
Chose certaine, Facebook a parfois une influence directe sur la vie réelle. Des psychologues de l’Université Guelph ont montré dans une étude que les hommes qui visionnent la page Facebook de leur copine deviennent plus jaloux. Et le magazine Time a parlé récemment des dilemmes des nouveaux couples fervents de Facebook. Certains se sont séparés parce que l’un des tourtereaux n’avait pas changé assez vite son statut de «célibataire» à «en couple». Des parents ont appris que leur enfant s’était fiancé par des amis qui avaient vu le changement de statut sur Facebook. Des nouveaux mariés ont changé simultanément leur statut respectif de «fiancé» à «marié»… en plein milieu du mariage.
 
Cet autoexamen constant aura des conséquences néfastes, croit Aric Sigman, psychologue à l’Institut de biologie du Royaume-Uni, qui publiera à l’automne un livre sur le sujet, The Spoilt Generation.
 
«En regardant constamment sa propre vie à distance, on la transforme en objet au lieu de la vivre, dit M. Sigman. C’est à mon avis une conséquence néfaste de la téléréalité. On s’habitue à ne plus avoir de vie intime, à être constamment observé. On n’a plus d’amis en chair et en os qui peuvent nous avertir quand on adopte des comportements toxiques, voire criminels, parce qu’on trouve toujours sur l’internet des gens au mode de vie extrême. Je ne suis pas contre les sites de réseautage, mais je pense qu’il faudrait toujours avoir davantage de relations humaines réelles. Si les amis virtuels étaient aussi bénéfiques que ceux qu’on rencontre en personne, plus personne ne prendrait l’avion pour aller voir sa parenté durant les Fêtes.»
 

Des oeufs plus rares à cause des vaccins


Ce n’est qu’un pronostique a long terme, mais quoi qu’il en soit, il est difficile de faire des provisions a long terme d’oeufs frais. Cette pandémie toucheras plusieurs secteurs .. dont le consommateur qui a défaut d’être en mesure de se payer la viande de plus en plus cher, risque de se voir augmenter aussi sur les oeufs .. a moins d’avoir quelques poules dans notre cour …mais je ne suis pas sur que mes propriétaires seront d’accord !!!
Nuage
 
Des oeufs plus rares à cause des vaccins
 
Des oeufs plus rares à cause des vaccins
 
Cela fait une bonne cinquantaine d’années que les principes actifs des vaccins sont cultivés dans des oeufs de poules fertilisés : les virus ont besoin de cellules vivantes pour se reproduire.
 
Photothèque Le Soleil
 Annie Morin
Le Soleil
 
 
(Québec) Le prix de la douzaine d’oeufs pourrait grimper en fin d’année en raison de la production massive de vaccins contre la grippe A (H1N1).
 
Cela fait une bonne cinquantaine d’années que les principes actifs des vaccins sont cultivés dans des oeufs de poules fertilisés car les virus ont besoin de cellules vivantes pour se reproduire. L’an dernier, près de 830 000  poules pondeuses fournissaient la matière première pour tous les vaccins fabriqués au Canada, dont 562 000 au Québec seulement.
 

Habituellement, six mois – et 360 000  oeufs par jour! – suffisent pour constituer les réserves de vaccins contre la grippe. Pendant le reste de l’année, 165 000 oeufs fécondés demeurent disponibles, comme le veut le plan pandémique concocté par le fédéral en collaboration avec les provinces et la pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK). S’ils ne sont pas utilisés, les cocos vont au décoquillage et servent à la fabrication de plats transformés.
 
Mais cette année, pandémie de grippe oblige, la production d’oeufs destinés aux vaccins n’a pas ralenti. Et ce sera comme ça jusqu’à la prochaine ronde de fabrication des doses régulières contre la grippe.
 
«On étire le cycle de ponte», confirme Paulin Bouchard, vice-président de la Fédération des producteurs d’oeufs de consommation du Québec, organisme chargé de l’administration des quotas «pandémiques» pour tout le pays.
 
Celui-ci appréhende tout de même un «trou de production» à la fin de l’année.
Les producteurs d’oeufs profitent normalement des six mois plus tranquilles de l’année pour rebâtir leurs troupeaux de pondeuses et de coqs, qui doivent être dans la fleur de l’âge pour livrer la marchandise dans les quantités souhaitées et avec la qualité requise. Ce renouvellement des générations est compliqué par le maintien de tous les volatiles en production.
 
«On pourrait manquer de poules et de coqs», résume M. Bouchard.
Des solutions
Un comité technique tente de trouver des solutions. Déjà, des couvoirs ont convenu d’augmenter leur production afin de fournir davantage de poulettes et de coqs prêts pour la dure besogne. Faute de mâles en nombre suffisant, l’insémination artificielle est mê­me envisagée!
 
Des troupeaux de pondeuses commerciales, dont les oeufs stériles sont habituellement destinés au marché de détail, pourraient également être détournés vers des pondoirs afin de répondre à la demande. Si cette option est retenue, la disponibilité d’oeufs de consommation courante diminuera d’autant puis­qu’un système de quotas régit l’industrie de façon très stricte d’un bout à l’autre du pays.
 
«Tout changement dans la production doit être planifié longtemps à l’avance», souligne M. Bouchard.
Bien sûr, des oeufs en provenance des États-Unis pourraient venir combler la demande des consommateurs, comme cela se fait déjà à l’occasion. Mais nos voisins aussi participent à la course au vaccin contre la grippe A  (H1N1). Les réserves d’oeufs pourraient donc être affectées. D’où l’éventualité d’une hausse du prix de la douzaine d’oeufs, que M. Bouchard ne peut s’empêcher d’évoquer, bien qu’il tente de l’éviter.
 
Contexte difficile
Toutes ces entourloupettes logistiques s’inscrivent dans un contexte scientifique difficile. Les premières expérimentations sur le virus de la grippe A (H1N1) révèlent que la souche est plus difficile à répliquer dans les oeufs que la grippe saisonnière des dernières années. Il est donc possible qu’un nombre supplémentaire d’oeufs soit requis pour produire le même nombre de doses.
Chez GSK, la porte-parole québécoise Marie-Christine Beauchemin confirme les caprices de la souche, que tous les fabricants de vaccins tentent de contourner.
 
«Mais on va de l’avant avec le développement et on n’entrevoit pas de problèmes pour livrer les doses commandées par le gouvernement du Canada. »
 
Selon elle, il est trop tôt pour dire si les oeufs fécondés pourraient manquer en fin d’année.
 

Une femme de 28 ans doit prouver son âge pour acheter une roulette découpe-pizza


Je peux comprendre qu’un adolescent peut paraître plus vieux que son âge, je peux comprendre aussi qu’on demande des cartes d’identités quand nous sommes pas sûr de l’âge. Mais il y a toujours un bout a tout … Une pointe de pizza faut vraiment être parano pour que le patron demande a ses employés de vérifier l’âges des clients … et ce même s’ils sont adolescents …
Nuage
 
Une femme de 28 ans doit prouver son âge pour acheter une roulette découpe-pizza
 
Une femme de 28 ans doit prouver son âge ...
 
 
Zigonet.comAngleterre – Une cliente des magasins Marks & Spencer a été abasourdie quand le personnel du magasin lui a demandé son âge avant de lui vendre une roulette pour découper les pizzas.
 
Jenny Palmer a dû présenter sa carte d’identité au service de sécurité en quittant le magasin.
 
"Je suis à deux ans de mon 30e anniversaire et je n’ai pas l’air de quelqu’un qui va sortir pour attaquer quelqu’un" raconte-t-elle.
 
"J’ai dit à la femme que je l’achetais parce que j’emménageais dans une nouvelle maison mais elle m’a dit que son écran lui disait de me demander ma carte d’identité. Je pense qu’elle aurait pu faire preuve d’un peu de bon sens. Je n’arrive pas à croire que j’ai dû passer à travers ça juste pour acheter une roulette découpe-pizza."
 
Pourtant M&S insiste sur le fait que son employée a eu raison de demander à Mme Palmer de prouver son âge. Le personnel doit d’ailleurs faire les vérifications pour tous les clients achetant de l’alcool ou des objets coupants et qui semblent avoir moins de 25 ans.
 

Un enfant né bicéphale aux Philippines


J’avais déjà fait un billet sur des adolescentes bicéphales qui ont sembler bien s’en tirer, et vivre le plus normalement possible … mais dans un pays comme les Philippines espérons que ces bébés puissent avoir cette même chance
Nuage
 
Un enfant né bicéphale aux Philippines
 
Zigonet.comManille, Philippines – Les médecins d’un hôpital philippin essayent de sauver la vie d’un bébé qui est né avec deux têtes
 
L’enfant est né mardi et est en ce moment hospitalisé dans l’unité néonatale des soins intensifs de l’hôpital Jose Fabela. A
 
ctuellement, le nouveau-né est toujours en observation mais un porte-parole de l’hôpital a déclaré que son état était stable. Les médecins cherchent maintenant à déterminer si les deux cerveaux du bébé contrôlent ensemble les organes et s’ils en ont ou non en commun :
 
"Le taux de survie dépendra des organes partagés. S’ils ont seulement un coeur, ils ne survivront pas".
 
D’après les fonctionnaires de l’hôpital, il semblerait que l’enfant bicéphale s’est formé après la mauvaise séparation de deux jumelles pendant le développement de la grossesse.
 
"C’est le premier cas de la sorte ici", a expliqué un médecin,
 
"Mais d’autres hôpitaux de Manille ont enregistré des cas semblables dans le passé".
 
Attention, certaines images peuvent heurter votre sensibilité
 
La naissance a eu lieu mardi
 
 
l'enfant est actuellement dans un état stable
 
 
Il est soigné au sein d'une unité spécialisée
 
 
Les médecins cherchent à savoir quels organes sont en commun
 
Si il n'y a qu'un coeur, la survie est compromise

Le regard


 

Nous sommes tellement habitué de juger les autres
que nous oublions de nous regarder nous-même.
Nous épions, nous faisons des commérages, sans regard
sur notre personne …
Nuage
 
Le regard
 
Se regarder scrupuleusement soi-même,
ne regarder que discrètement les autres.
 
[Confucius] 

 

 

 

Combien coûte un miracle


 

 

Comment peut-on ne pas soigner un enfant a cause d’un manque d’argent.
C’est la principale raison que le droit au soin de la santé ne devrait jamais
être une question d’argent pour sauver une vie …. c’est un droit fondamental
a tout être humain, peut importe ou il vit, peut importe s’il est riche ou pauvre …
Cette histoire, a donné un nouveau souffle au miracle qui arrive au moment
où on s’y attend le moins, mais être là au bon moment, pour recevoir ce miracle.
Nuage
 
Combien coûte un miracle
 
 
 
Tess avait huit ans quand elle entendit sa mère et son père
parler de son petit frère, Andrew.

Tout ce qu’elle savait c’était qu’il était très malade et ils n’avaient 
plus un sous. Ils déménageraient dans un mois dans un tout petit
appartement parce que son père n’avait plus d’argent pour les factures
du médecin et de la maison.
 
Seulement une chirurgie très coûteuse pourrait sauver son petit frère
maintenant et il n’y avait personne pour leur prêter l’argent.
Elle entendit son père chuchoter à sa mère qui était en larme et désespérée,

"seulement un miracle peut le sauver maintenant."

 
Tess alla dans sa chambre et sortit un pot en verre d’une de ses cachettes.
 
Elle renversa tous les sous sur le plancher et les compta soigneusement.
À trois reprises. Le total devait être exact. Pas de place pour une erreur.
Soigneusement elle replaça les pièces de monnaie dans son pot et
ferma le couvercle, elle sortit par la porte arrière et se rendit à la pharmacie.
 
Une grande enseigne rouge d’un chef indien au-dessus de la porte.
Elle attendit patiemment le pharmacien pour avoir toute son attention
mais il était trop occupé. Tess croisa ses pieds de façon à faire du bruit.
Rien. Elle s’éclaircit la gorge avec le bruit le plus répugnant
qu’elle pouvait faire. Pas bon.
 
Enfin elle prit 25 cents de son pot et l’a cogné sur le comptoir de verre.
Cela avait marché!
 
"Et que veux-tu?" demanda le pharmacien,

"je parle à mon frère de Chicago que je n’ai pas vu depuis très longtemps, »
 lui dit-il sans attendre une réponse à sa question.
 
"Bien, je veux vous parler au sujet de mon frère,"
répondit Tess avec le même ton.
"Il est vraiment, vraiment malade… et je veux acheter un miracle."
"Je te demande pardon?" dit le pharmacien,
 
"son nom est Andrew et il a quelque chose de mauvais qui grossit à
l’intérieur de sa tête et mon papa dit que seulement un miracle peut
le sauver maintenant, alors combien coûte un miracle?"
 
"Nous ne vendons pas de miracle ici petite fille.
‘Je suis désolé mais je ne peux pas t’aider "
dit le pharmacien plus doucement.
 
"Écoutez, j’ai l’argent pour payer.

Si ce n’est pas assez,

je trouverai le reste, dites-moi juste combien il coûte."
 
Le frère du pharmacien était un homme grand et bien habillé.
Il se pencha vers la petite fille et lui demanda,

"quel genre de miracle ton frère a t-il besoin?"
 
"Je ne sais pas," répondu Tess.
"Je sais juste qu’il est vraiment malade et maman dit qu’il a
 besoin d’une opération. Mais mon papa ne peut pas payer,
alors je veux utiliser mon argent ".
"Combien tu as?" demanda l’homme de Chicago,
 
"un dollar et onze cents," répondit Tess tout bas,
"et c’est tout l’argent que j’ai, mais je peux en obtenir encore
plus s’il le faut »
"Bien, quelle coïncidence," a sourit l’homme.
"Un dollar et onze cents, le prix exact d’un miracle pour les petits frères."

 
Il prit l’argent dans une main et avec l’autre main il saisit sa mitaine
et dit
 
"emmène-moi où tu demeure. Je veux voir ton frère
et rencontrer tes parents. Voyons si j’ai le genre de miracle
dont tu as besoin."
 
 
Cet homme bien habillé était le DR Carlton Armstrong, un chirurgien,
se spécialisant dans la neuro-chirurgie. L’opération a été faite sans
coûter un sous et rapidement Andrew était de retour à la maison
et se portait bien. Ses parents parlaient de la série d’événements
qui les avaient menés au bout de ce chemin,
 
 "cette chirurgie", chuchota sa mère,
" fût un vrai miracle. Je me demande combien
il aurait coûté?"
 
 Tess a sourit.
 
Elle savait exactement combien le miracle avait coûté…
 un dollar et onze cents… plus la foi d’un enfant.
Car les miracles ne se produisent que pour ceux qui y croient…
 
Auteur inconnu