La cause de l’arthrose identifiée

Quand on comprend comment viens une maladie, qu’on comprend ce qui cause une dégénération, il y a des possibilité qui s’ouvrent devant les chercheurs pour trouver un remède … voila que pour l’arthrose, les recherches semblent porter fruits .. reste a attendre que la médication soit adapté a l’être humain Nuage   La cause de l’arthrose identifiée     Allemagne – Une équipe de l’université de Munster vient de découvrir les mécanismes déclencheurs de l’arthrose, cette maladie dégénérative commune à la moitié des plus de 65 ans.   L’arthrose est une maladie dégénérative du cartilage osseux. Des excroissances osseuses se forment sur le bord des articulations et provoquent des douleurs importantes ainsi que des difficultés à bouger. La cause de la maladie n’étant pas connue, aucun traitement médicamenteux ne permet de la traiter.   L’équipe du Pr Pap de l’Institut de médecine expérimentale de l’université Munster, associée à d’autres chercheurs allemands et coréens, a découvert qu’une molécule de surface spécifique aux cellules de cartilage appelée syndecan causait le développement de l’arthrose.   Le Dr Echtermeyer explique :   "Nos études montrent que cette molécule de surface participe à la destruction des cellules de cartilage. Les essais pour rendre cette molécule de syndecan inactive grâce à des procédés génétiques mènent à une disparition des symptômes de l’arthrose comme le montrent les tests sur la souris".   Trois ans et demi de recherche ont permis de développer un traitement médicamenteux capable de combattre l’arthrose à ses stades les plus précoces. A base d’anticorps de la molécule de syndecan, le traitement par injection régulière permet d’empêcher la formation d’arthrose de façon fiable sur les souris. De nouvelles recherches doivent désormais permettre l’application du traitement à l’homme.   http://www.maxisciences.com

Bientôt un baume à lèvres brûleur de graisses ?

Encore les femmes qui doivent être visée par un produit amincissant, comme si nous en avions pas assez. Pourquoi chercher de midi a 14 heures quand il suffit d’une alimentation équilibré et de l’exercices ? La recherche de maigrir sans le moindre effort, les années nous montrent que cela ne fonctionne pas vraiment … Que même cela peut causer plus de problème que d’en régler Nuage   Bientôt un baume à lèvres brûleur de graisses ?       Angleterre – Un baume pour les lèvres devrait bientôt être mis en vente. Sa particularité ? Il brûlerait les graisses et empêcherait ainsi les femmes de grignoter des sucreries   Ce baume, déjà vendu aux États-Unis depuis six mois, inhiberait l’appétit des femmes et développerait leur énergie. Le produit, vendu 5,65 €, est disponible dans différents parfums (grenade, vanille, fraise, baies et menthe), et il est composé de caféine, d’extraits de thé vert et d’huile de soja.   Il contient également du hoodia, une plante qui aurait des vertus amaigrissantes. Les créateurs de ce baume "coupe-faim" expliquent qu’il peut être appliqué jusqu’à six fois par jour, mais ils recommandent de ne pas en appliquer à l’approche du coucher afin d’éviter les effets notoires de la caféine.   Des organismes de santé et de nutrition se sont opposés au produit, l’accusant de provoquer des troubles alimentaires et psychologiques sur certaines femmes fragiles.    http://www.zigonet.com

Pris sur le vif

Cet été, des gens en vacances ou dans leur patelins ont immortalisé certains moments, certaines situations que quelque unes sont inusités Nuage     Pris sur le vif   Un appétit de moineau     Un piaf vient manger la pizza dans l’assiette… Melbourne, Australie. Janvier 2009. © Odette Lefebvre   Interdiction de se baigner     Dans la baignoire ? Ou dans la rivière ?!  Berteaucourt-les-Dames, Somme. Mai 2009. © Evelyne Kopka   Un poivron méchant et édenté     Un poivron coupé en quatre et voici ce que cela donne : un monstre édenté ! Orléans. Août 2009. © Nathalie Hoareau   Conciliabule     Réunion privée entre cerfs. Sainte-Croix, Lot. Juin 2009. © Chantal Togni   La voie du muet     L’humour marseillais… Marseille. Juin 2009. © Thérèse Lutanie   Menés en bateau     Ce véhicule est un bus amphibie : on embarque sur le bitume et en se retrouve sur l’eau. On aperçoit à l’arrière les bouées de sauvetage (oranges). Centre ville, Montréal, Canada. Septembre 2008. © Guy Armanet   Ballon repris de la tête     Un enfant supporter du Toulouse Football Club s’essayant aux jongles, le rendu est insolite ! Pompertuzat, Haute-Garonne. Mars 2009. © Emmanuel Gipoulou   Un arbre monstre     Ullswater/Lake District, Royaume-Uni. Juillet 2009. © Maryse Redureau   Bisou baveux     Deux escargots amoureux. Berlin, Allemagne. Mai 2009. © Brigitte Thiele   Sculpture naturelle     Un singe en bois sur la plage. Pointe du Perray, Jard-sur-Mer, Vendée. Juillet 2009. © Louis Mével   Quelques heures d’assemblage     Une girafe construite en Lego®. Berlin, Allemagne. Août 2009. © Bénédicte Vendryes   http://www.linternaute.com

Trésors cachés dans la forêt Boucher

D’habitude de telle découverte, viens d’ailleurs, mais voila qu’une région du Québec, se fait raconter l’histoire bien avant la venu des premières nations … Une histoire riche qui nous fait découvrir que l’environnement était bien différente a aujourd’hui Nuage     Trésors cachés dans la forêt Boucher     La récente découverte de fossiles, et la proximité d’écoles primaires feraient de la forêt Boucher un site idéal pour la sensibilisation à la géologie.   Courtoisie Fondation Forêt Boucher  Patrick Duquette Le Droit     La découverte de fossiles vieux de 450 millions d’années dans la forêt Boucher vient ajouter de l’eau au moulin de ceux qui veulent préserver ce boisé urbain à Gatineau.   Invité par le conseiller Alain Riel, deux spécialistes de l’Université d’Ottawa ont identifié des fossiles de céphalopodes, une pieuvre préhistorique, sur un affleurement rocheux situé en plein coeur de la forêt de 700 acres.   D’une longueur d’environ un mètre, les céphalopodes vivaient dans la mer chaude qui recouvrait d’une bonne dizaine de mètres le secteur d’Aylmer, il y a un demi-milliard d’années.   « C’est de toute évidence un environnement de forte biodiversité. » – André Desrosiers   Sous les tessons de bouteille abandonnés par de jeunes fêtards, le grand rocher porte aussi la trace bien visible de mollusques, de crustacés, de corails et d’algues fossilisés que le passage des glaciers, il y a 10 000 ans, a imprimé à tout jamais dans la roche calcaire.   Pour André Desrochers, géologue, et Bernard Lauriol, géomorphologue, il ne fait aucun doute que l’affleurement rocheux qu’ils ont visité la semaine dernière, en compagnie du Droit, est un site hors du commun.   « C’est de toute évidence un environnement de forte biodiversité, peut-être même un ancien récif corallien. Une fois mis en valeur, ce genre de site pourrait permettre de sensibiliser les gens à la géologie, qui est un peu le parent pauvre des sciences naturelles », a dit M. Desrochers.   Pour sa part, son collègue a découvert sur l’affleurement rocheux les traces évidentes des écoulements glaciaires qui ont traversé l’Outaouais, il y a plus de 10 000 ans.    « C’est un site intéressant localement, notamment en raison de sa facilité d’accès pour les enfants des écoles environnantes. Je connais un site semblable à Cantley, mais c’est une décharge et il est très abîmé », a noté M. Lauriol.   Depuis son élection en 2005, Alain Riel cherche à protéger et à mettre en valeur la forêt Boucher. La présence de plantes rares a été identifiée lors d’une étude de caractérisation il y a quelques années.    « Plus on avance, plus on découvre les richesses cachées de la forêt », a dit M. Riel.   La forêt Boucher s’étend sur 700 acres le long du chemin Vanier et du boulevard des Allumettières. Même si 60 % de sa superficie appartient à des intérêts privés, la forêt est protégée par un zonage différé qui interdit toute construction. En 2008, une étude fixait à 10,8 millions le montant nécessaire pour acquérir et mettre en valeur la forêt Boucher.   http://www.cyberpresse.ca

Une bague perdue est retournée à sa propriétaire

Perdre deux fois sa bague et malgré tout la retrouver après tant d’année.. Des gens qui sont soucieux de restituer le bien d’autrui est quand même assez rare de voir autant d’acharnement a trouver la propriétaire.. c’est plus qu’inusité Nuage   Une bague perdue est retournée à sa propriétaire 40 ans plus tard     États-Unis – Un chercheur de trésor a retrouvé une bague sur une plage. Après recherches, l’objet a été restitué à sa propriétaire 40 ans après sa disparition.   Après avoir retrouvé l’objet, Cyril Clarke a conduit des recherches durant plusieurs années pour retrouver ses propriétaires.   "Quand je fouille les plages, je retrouve souvent des boucles d’oreilles, des clés ou des choses comme ça. Ensuite, je confie mes trouvailles à la police", explique le chercheur.   Mais personne n’avait informé les autorités de la perte de la bague :   "J’ai décidé de poursuivre mes recherches en écrivant à la Maison Blanche", poursuit Cyril Clarke,   "C’était une luxueuse bague américaine sur laquelle était inscrit ‘Oakridge School’ avec deux initiales J et M."   Malgré l’absence de réponse en provenance des États-Unis, l’homme s’est obstiné. En 2007, il a rencontré un membre de la direction de l’Oakridge School qui a pu retrouver Mme Tucker grâce au site Internet de l’école. Mais ce n’est pas la première fois que la propriétaire retrouve sa bague. Dans les années 50, elle l’avait égarée en Californie et l’anneau lui avait été retourné quelques années plus tard. Elle ne sait plus pourquoi sa bague a été retrouvée en Angleterre mais elle l’a reconnue immédiatement grâce aux initiales gravées.   http://www.zigonet.com

Maman, je m’ennuie!

Dans ma famille, certains ont été inscrit a des cours tel qu’hockey, judo mais jamais nos parents nous ont obliger a poursuivre ces activités si nous n’avions pas le goût .. De toute façon on s’amusait mieux dans la rue .. avec une bouteille de javel vide, un baton, les chansons a la balançoire, le ballon, la corde a danser …et les variantes du jeu de  »taille » les vieilles carosseries derrière le garage, les grosses boites de cartons chez Simpsons Sears … Les jours de pluies, il y avait la véranda .. ou nous allions admirer le tonnerre .. Nous avons aussi du travail, chacun avait sa part autant a la maison qu’a la salle de quille que maman était la propriétaire .. Sommes nous ennuyer .. oui certaines fois mais vite nous trouvions une occupations si ce n’était que rêver Aujourd’hui, malgré tout ce qui est offert aux enfants .. leur créativité est trop souvent mit au rancart ..on pense et agit pour eux … !!! Nuage   Maman, je m’ennuie!     Quand j’étais petite, pendant les vacances d’été, il n’y avait ni camps de jour, ni service de garde. Nous étions une bande de gamins écumant les ruelles, les parcs et les piscines et squattions les cours arrière des uns et des autres. Les temps ont bien changé. Alors que ma mère se contentait de m’envoyer jouer dehors pour pouvoir vaquer à sa besogne, trop occupée avec sa grosse famille – nous étions sept! –, les parents d’aujourd’hui sont plus inquiets et plus insatisfaits dans leur vie de couple et leur vie professionnelle. Ils projettent inconsciemment sur leurs enfants leurs désirs et attendent souvent d’eux qu’ils réussissent là où ils ont échoué.   «La grosseur des familles a changé, souligne Louise Plamondon[i], psychologue. Par conséquent, la pression est forte sur les parents pour «réussir» leur enfant. Le temps consacré aux enfants a augmenté et le nombre d’activités pour les divertir est devenu un véritable marché. Tous les parents le savent, l’offre d’activités structurées commence dès les premières années de vie: cours de natation, de patin, de musique, de danse, de langue même. Ils ont des agendas de ministres et pratiquent des activités structurantes durant la semaine et la fin de semaine.»   Par ailleurs, le nombre de cinémas, de films, de livres jeunesse, de centres de divertissements et de produits adressés aux enfants fait en sorte qu’il n’y a aucune raison de s’ennuyer. Les changements survenus sur le marché du travail ont, quant à eux, induit de nouvelles habitudes de vie tout au long de l’enfance: l’encadrement se fait dès la pouponnière, la garderie et les services de garde scolaire.   «J’ajouterai que les modifications structurelles de la famille, tels que le divorce et la garde partagée font en sorte que les enfants sont habitués très tôt à des horaires, souligne madame Plamondon. Ils sont habitués à quitter le domicile de maman le vendredi pour arriver chez papa à une heure fixe et revenir chez maman le dimanche pour telle heure. Et la fin de semaine, papa en remet avec des activités structurées, pour être sûr que fiston ne s’ennuie pas.»    Combien d’entre nous ont accompagné junior à l’aube d’un samedi frisquet aux pratiques de ringuette, de hockey, de soccer, de natation, de piano et aux compétitions associées?   «Le samedi soir, rigole la psychologue, les parents s’accordent une pause cinéma ou restau, prennent une gardienne qui, pour que les enfants ne s’ennuient pas, arrive avec son arsenal de G.O: films, jeux, bonbons, etc. Nous nous définissons beaucoup par le «faire» et dans l’action, parce que nous sommes une société de consommation et de performance. Très tôt, les enfants sont inscrits dans cette tendance.»   L’ennui rend intelligent «L’ennui rend intelligent, déclare Patrick Lemoine[ii], psychiatre français. Ce moment où le temps s’arrête est crucial pour l’enfant. C’est une façon de se connaître mieux. Il n’est plus dans un système «je veux – je prends».   L’ennui est une expérience formatrice, essentielle à l’équilibre et à la construction psychique de l’enfant, qui doit apprendre à occuper sa solitude tout seul, à être à l’écoute de ses émotions et de ses envies. Nous devrions parfois inciter notre enfant à être à l’écoute de son monde intérieur et de ses désirs, pour lui permettre de découvrir et explorer ses ressources personnelles, de développer son imaginaire et son monde intérieur. Lorsqu’il s’ennuie, l’enfant perçoit des sensations subtiles et des détails qui lui échapperaient, s’il était trop occupé. Nous devons apprendre à ménager quelques moments où l’enfant peut laisser les idées surgir spontanément, sans stimulus extérieur. L’ennui est positif, car l’enfant sans sollicitation va explorer ses ressources intérieures et sa créativité, inventer un monde et construire son imaginaire.   «Il y a urgence à prendre son temps, poursuit Patrick Lemoine, si l’on veut éviter de créer une génération de petits robots tout le temps actifs, une société purement productiviste moins inventive, moins créative.»   Plutôt qu’ennui, l’inactivité devient alors synonyme de découverte de soi-même.   ■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■   [i] Louise Plamondon est psychologue en santé mentale jeunesse au CSSS St-Léonard-St-Michel à Montréal   [ii] Auteur de «S’ennuyer, quel bonheur!», paru chez Armand Colin, 2007   http://www.petitmonde.com

Rincer sa vaisselle et autres gestes écolos

On a souvent tendance a parler d’environnement en autant que cela ne change pas trop nos habitudes .. de peur de perdre notre petit confort .. Mais on pleure quand on voit des pays dévasté par la sécheresse entrainant une pauvreté extrême. Et on se demande pourquoi ? Pourquoi que nos gouvernements s’enrichissent laissant des enfants crever de soif et de faim … ? On accuse Dieu de tous les maux … alors que nous faisons quoi, quelle responsabilité avons-nous ? Nous détestons tel produit, par ce que nous préférons un autre moins écolo … Nous chialons en disant aussi bien tout nous enlever, etc … Mais si on arrête de penser a notre petite personne et voir l’impact un peu plus loin de nos choix … nous verrons les retombées futur sur nos enfants, sur les pays en voie de développement .. Bref arrêtons de penser qu’a notre petit moi … et voyons ce que nous pouvons faire pour améliorer le futur … Nuage     Rincer sa vaisselle et autres gestes écolos     David Suzuki et Faisal Moola J’ai lu récemment un article au sujet d’une femme de Spokane, dans l’État de Washington, qui n’aime pas les détergents à vaisselle sans phosphates.   Les détergents contenant du phosphate ont été bannis du comté de Spokane en raison de leur impact négatif sur l’environnement. Ainsi, cette femme fait 45 minutes d’auto pour se rendre en Idaho, où les détergents avec phosphate sont encore en vente. L’article mentionne également que la femme a une fille de cinq ans. Je suis estomaqué.   Les gens affirment souvent que la protection de l’environnement exigera d’eux trop de sacrifices. Est-ce cela qu’ils veulent dire ? Qu’ils mettraient en danger l’avenir de leurs enfants parce qu’ils ne veulent pas s’embêter à rincer leur vaisselle avant de la mettre dans le lave-vaisselle?   Les phosphates sont ajoutées aux produits nettoyants parce qu’ils aident à dissoudre les graisses et à ôter les particules de nourriture sur la vaisselle. Mais ces produits ont cependant d’énormes impacts négatifs sur les rivières, les ruisseaux et les lacs.   En fertilisant les eaux, les phosphates peuvent être à l’origine de la floraison d’algues qui privent l’eau de son oxygène et asphyxient les écosystèmes aquatiques, tuant les poissons, les amphibiens, les insectes et les plantes. Les phosphates ont été bannis des détergents à lessive dans la plupart des endroits depuis déjà bon nombre d’années, mais les consommateurs se sont opposés à leur élimination dans les détergents à vaisselle.   L’article mentionne que la rivière Spokane est l’une des plus menacées aux États-Unis. La pollution aux phosphates produite par la principale usine de traitement d’eau du comté a été réduite de 14% depuis que la loi sur les détergents à vaisselle a été adoptée en juillet. Mais apparemment, cette femme se fiche éperdument du fait que la rivière se meure pendant que sa fille grandit – en autant que sa vaisselle soit propre!   Le « souci » de l’environnement   Cette femme s’affiche comme étant « soucieuse de l’environnement ». J’imagine qu’elle veut dire qu’elle se soucie de l’environnement juste quand cela fait son affaire. C’est un bon exemple du type de défi auquel font face les gens qui se préoccupent vraiment de l’environnement et de son avenir.   Une partie du problème vient du fait que certaines personnes n’arrivent pas à faire le rapprochement entre leurs propres comportements et leurs conséquences. Pensons, par exemple, aux parents d’enfants asthmatiques qui continuent de fumer dans leur maison ou de conduire des VUS. D’autres gens ne sont tout simplement prêts à faire voire le plus petit sacrifice lorsque vient le temps de protéger l’environnement. Pourtant, aucun véritable sacrifice n’est nécessaire dans la majorité des cas.   À la Fondation David Suzuki, nous entendons presque tous les jours des témoignages de gens qui pensaient que ce serait difficile de se lever un peu plus tôt et de dépenser un peu plus d’énergie pour se rendre au travail à vélo plutôt qu’en auto, par exemple.   Mais ils réalisent rapidement que les bénéfices du cyclisme – qui permet d’être en meilleure forme ou d’apprécier le monde extérieur – sont beaucoup plus importants qu’aucune des conséquences négatives qu’ils appréhendaient.   Changer au lieu de sacrifier   Il est donc davantage question ici de changer notre façon de penser que de renoncer à quelque chose. Si nous envisageons les choses dans une perspective plus large et à plus long terme, nous constatons que nous gagnons davantage que nous perdons lorsque nous apportons des changements dans nos vies pour protéger notre milieu naturel.   Le même genre de résistance au changement peut être observé dans le cas de la taxe sur le carbone. Cela n’a pas d’importance que les forces du marché jouent un rôle beaucoup plus important dans la hausse des prix du carburant que toute taxe sur le carbone! Dès que les gens entrevoient qu’ils devront payer quelques sous de plus à la pompe à essence ou pour leurs factures de chauffage, ils s’écrient aussitôt qu’ils seront obligés de vendre leur auto et de geler dans leur maison durant l’hiver.   Cependant, le fait d’attribuer un prix au carbone nous procure des bénéfices immédiats et à long terme. Les gens trouvent des façons de conserver l’énergie, les compagnies investissent dans des technologies qui utilisent de l’énergie renouvelable, et nous nous retrouvons avec moins de pollution et d’émissions qui contribuent au réchauffement planétaire.   L’âge de pierre ou l’âge du respect de l’environnement?   Nous vivons dans des sociétés de consommation, surtout ici, en Amérique du Nord. Nous sommes persuadés que nous devons remplacer continuellement nos biens avec de nouveaux et « meilleurs » produits, souvent sur-emballés. Nous nous débarrassons de nos choses bien avant qu’elles n’aient rendu l’âme. Et le monde en souffre. Parfois, les gens m’accusent de même que les environnementalistes de vouloir faire en sorte que nous retournions à l’homme des cavernes, cueillant des racines et des baies pour survivre. Cela ne pourrait être plus éloigné de la vérité.   Nous pouvons mener des vies beaucoup plus épanouissantes sur une planète plus propre où plus de gens auront accès à de l’air pur, de l’eau fraîche et de la nourriture saine. Cela ne prend qu’un peu d’imagination et de pensée prospective.   Si nous avions réellement à cœur notre univers, nos enfants et nos petits-enfants, nous serions prêts à faire quelques sacrifices pour faire de ce monde un endroit plus sain. Mais dans la majorité des cas, ces sacrifices sont aussi illusoires que certains des bénéfices que nous espérons récolter de notre consumérisme endémique.   Pour plus d’information, veuillez consulter le site de la Fondation David Suzuki à l’adresse www.davidsuzuki.org.   http://lechoabitibien.canoe.ca

La sagesse

Ca doit pour cette raison que ce sont surtout 
les personnes âgées ou les personnes très malades
qui ont une philosophie de vie qui laisse de grande réflexion 
car c'est par l'expérience, la méditation qu'on infuse la science
de la vie ...
Nuage
 
 
La sagesse
 
On ne reçoit pas la sagesse, 
Il faut la découvrir de soi-même
 
 
Marcel Proust 
 
 

 







 
 

Quand les ans s’additionnent

Quand les années passent, on dirait que tout notre environnement ne suivent pas très bien notre propre évolution .. Est-ce nous qui sommes rendu trop âgés ou tout a vraiment changé trop vite ? Nuage   Quand les ans s’additionnent   Le coin de la rue est deux fois plus loin qu’auparavant !   Et ils ont ajouté une montée que je n’avais jamais remarquée.   J’ai dû cesser de courir après l’autobus, Parce qu’il démarre bien plus vite qu’avant.   Je crois que l’on fait les marches d’escaliers bien plus hautes que dans notre temps !   L’hiver le chauffage est beaucoup moins efficace qu’autrefois !   Et avez-vous remarqué les petits caractères que les journaux se sont mis à employer ?   Les jeunes eux-mêmes ont changé ! ils sont bien plus jeune que lorsque j’avais leur âge !   Et d’un autre côté les gens de mon âge sont bien plus vieux que moi.   L’autre jour je suis tombée sur une vieille connaissance; elle avait tellement vieilli qu’elle ne me reconnaissait pas !   Tout le monde parle si bas qu’on ne comprend quasiment rien !   On vous fait des vêtements si serrés, surtout à la taille et aux hanches, que c’est désagréable !   Je réfléchissais à tout ça en faisant ma toilette ce matin. Ils ne font plus d’aussi bons miroirs qu’il y a 40 ans   auteur inconnu

La surdité héréditaire due à un gène

Comprendre ce qui cause la surdité héréditaire pourrait espérons-le, permettre d’agir et permettre a des millions de personnes de mieux entendre … Ceci dit, comme la rentré des classes est a la page, les parents devraient dans la mesure du possible, faire un test de dépistage chez l’enfant pour découvrir s’il y a surdité ou pas que ce soit héréditaire ou non .. car des maladies comme la méningite par exemple peut causer une surdité irréversible (pour le moment du moins). Par expérience, le fait de savoir tôt si l’enfant éprouve des difficultés a entendre pourra mieux s’adapter, surtout que les appareils auditifs, ne sont pas pour toutes les formes de surdités Nuage    La surdité héréditaire due à un gène     Université de l’Iowa, États-Unis – L’équipe du Dr Nakano a découvert, chez la souris, un défaut sur un gène responsable de la surdité héréditaire, représentant six cas sur dix de surdité.   La surdité héréditaire fait partie des maladies les plus communes détectées à la naissance. 60 % des cas de surdité sont liés à la génétique. Les chercheurs ont travaillé sur des souris, dont le système auditif est très similaire à celui de l’homme.   Ils ont utilisé des souris sourdes et les ont exposées à des produits chimiques provoquant des mutations génétiques. Le génome de ces souris a ensuite été passé au crible pour identifier les gènes mutés. Une analyse poussée d’une des souris a permis de déterminer la mutation du gène Claudine-9 comme cause de la surdité.   Ce gène a pour rôle de maintenir étanche la barrière membranaire entre deux compartiments de solution de potassium où baignent les cils des cellules auditives. Si Claudine-9 est muté, les flux de potassium vont dans la mauvaise partie des cellules sensorielles, intoxiquant la plupart d’entre elles ou les rendant défectueuses.   Les chercheurs veulent désormais pratiquer des tests de dépistage sur des volontaires humains atteints de surdité afin de détecter la mutation. Cette découverte n’offre pour le moment pas de perspectives thérapeutiques.   http://www.maxisciences.com