Le Saviez-Vous ► 19 plaintes authentiques montrant que ces voyageurs n’ont pas inventé le fil à couper le beurre


Un sondage a été fait pour connaitre les impressions des voyageurs. Des plaintes assez insolites. Certaines sont vraiment farfelues
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19 plaintes authentiques montrant que ces voyageurs n’ont pas inventé le fil à couper le beurre

 

Selon Wanderlust, Thomas Cook Group a envoyé un sondage afin de s’assurer de la qualité de leurs voyages. Cet article est basé sur 19 de ces réponses, qui sont de véritables plaintes de voyageurs qui viennent de rentrer de leur voyage.


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1. « Au cours de mon voyage à Goa en Inde, j’ai été dégoûté quand j’ai découvert que presque tous les restaurants servent du curry. Je n’aime pas la nourriture épicée. »

2. « Mon fiancé et moi avons réservé une chambre avec deux lits, mais nous avons eu une chambre avec un lit double. Je vous tiens maintenant responsable du fait que je sois enceinte, ce qui ne serait pas arrivé si nous avions eu la chambre que nous avions réservé. »

3. « Nous sommes allés en vacances en Espagne et avons eu des problèmes avec les chauffeurs de taxi parce que tous étaient espagnols. »

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4. « Nous avions réservé une excursion dans un parc aquatique, mais personne ne nous a dit que nous devions apporter nos propres maillots de bain et serviettes. Nous avons supposé que c’était inclus dans le prix. »

5. « La plage avait trop de sable. Nous avons dû tout laver quand nous sommes revenus dans la chambre. »

6. « On n’a pas aimé le sable, il n’était pas comme dans la brochure. Le sable avait l’air blanc dessus. En réalité, il était un peu plus jaune. »

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7. « Les magasins de Puerto Vallarta sont fermés l’après-midi. J’ai souvent eu besoin d’acheter des choses durant l’heure de la «siesta» – cela devrait être interdit. »

8. « Personne ne nous a dit qu’il y avait des poissons dans l’eau. Nos enfants ont eu peur. »

9. « Bien qu’il était écrit dans la brochure que la cuisine était entièrement équipée, il n’y avait pas de coupe-œuf. »

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10. « Je pense que vous devriez expliquer dans la brochure que les supermarchés locaux ne vendent pas de vrais gâteaux tels que le pain d’épice. Que doit-on manger maintenant avec le café de l’après-midi? »

11. « Les routes étaient tellement bosselées que nous ne pouvions pas lire le guide sur le chemin de l’hôtel. Cela signifie que nous ne savons pas ce qui a rendu notre séjour agréable. »

12. « Il nous a fallu neuf heures pour aller de la Jamaïque à l’Angleterre. Pour les Américains, il leur a fallu trois heures pour rentrer chez eux. C’est injuste. »

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13. « J’ai comparé notre appartement d’une chambre avec l’appartement et la chambre de nos amis et la nôtre était significativement plus petite. »

14. « Dans la brochure il était précisé « Aucun salon de coiffure à l’hôtel. » Il y a trois apprentis coiffeurs, est-il correct de rester à l’hôtel? »

15. « Il y avait tellement d’espagnols là-bas. Le réceptionniste parlait espagnol et la nourriture était espagnole. Personne ne nous a informé qu’il y aurait tant d’étrangers là-bas. »

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16. « Nous avons eu à faire la queue dehors pour aller dans le bateau, et il n’y avait pas d’air conditionné. »

17. « Il est de votre devoir en tant que voyagiste d’informer les clients bruyants ou indisciplinés avant le voyage! »

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18. « J’a été piqué par un moustique. Il n’y avait rien sur les moustiques dans la brochure. »

19. « Il ne devrait pas être autorisé à bronzer seins nus sur la plage. C’était très distrayant pour mon mari qui voulait juste se relaxer. »

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Il existe de telles différences de taille entre les marques qu’il y a de quoi complexer


Ce n’est pas juste pour les adolescentes que c’est frustrant. Quand je vais dans un certain magasin pour acheter des vêtements, je choisi la grandeur que je prends habituellement, et c’est quasi toujours trop petit alors que dans les d’autres boutiques généralement la grandeur me fait. Raison de plus, pour ne pas magasiner en ligne des vêtements. Il serait avantageux d’avoir une ligne directrice standard pour la taille des vêtements
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Il existe de telles différences de taille entre les marques qu’il y a de quoi complexer

 

Le post de Deena Shoemaker

Le post de Deena Shoemaker

Repéré par Boris Bastide

 

Une Américaine lance un coup de gueule sur Facebook, photo l’appui.

Dans la vie de tous les jours, on utilise plusieurs indices pour évaluer notre poids. Certaines mesures très objectives, d’autres plus subjectives. Parce qu’on ne passe pas forcément son temps sur la balance, la taille des pantalons dans lesquels on rentre mieux/pareil/moins bien qu’avant (rayez les mentions inutiles) est un juge auquel on a facilement recours. Pourtant, il est à prendre avec quelques précautions.

Le week-end dernier, Deena Shoemaker, 27 ans, une Américaine de Wichita au Kansas a ainsi posté sur Facebook une photo de six vêtements dans lesquels elle rentre, rapporte The Independent. Problème, ceux-ci sont de quatre tailles différentes allant du 35 au 42.

Dans son message partagé près de 80.000 fois, celle qui explique être constamment confrontée aux discours d’adolescentes et pré-ados qui se trouvent trop grosses, s’emporte:

«Quand vous passez un pantalon de taille 39 en 46, en le labellisant “grande taille”, comment est-ce que je peux lutter contre ça? La retouche de photos, c’est une chose, mais comment les convaincre que le chiffre inscrit sur leur vêtement est aussi un mensonge? Qu’elles ne doivent pas sauter le dîner pendant un mois parce que leur taille de pantalon a dramatiquement augmenté?»

Deena Shoemaker n’est bien sûr pas la première à remarquer ses différences de tailles suivant les marques. En novembre, un article du Parisien s’interrogeait également:

«Mais quelle taille de vêtement fait-on réellement?» 

La journaliste y expliquait que «sur les réseaux sociaux, elles sont de plus en plus nombreuses aujourd’hui à poster des photos d’elles boudinées dans un vêtement… alors que la taille indiquée leur promettait d’y entrer».

En réalité, explique Cathy Xicluna, l’une des fondatrices de Clickndress, au Parisien:

«Chaque enseigne a sa cible. Un 38 ne sera pas le même si elle vise les 18-35 ans ou les 45-65 ans. Avec le développement du commerce électronique, ce problème a même pris de l’ampleur. Nous avons désormais plus de choix et zappé l’étape cabine d’essayage. Or, chaque marque a son propre taillant.»

Seul problème, il existe beaucoup plus de vêtements pour les tailles les plus fines qui ne correspondent pas à la morphologie moyenne. De quoi complexer encore un peu plus les femmes.

«Arrêtez de dire aux filles que la taille idéale, c’est du 34», professe ainsi Deena Shoemaker. Surtout, si c’est pour en changer. 

http://www.slate.fr/

Magasinage en ligne: des achats risqués


Personnellement, je suis très hésitante pour faire des achats en ligne et surtout pour les vêtements. Pour ma part, je préfère aller dans les magasins, voir des gens et cela donne du travail à des employés
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Magasinage en ligne: des achats risqués

 

Les robes commandées en ligne étaient toutes plus... (PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE)

Les robes commandées en ligne étaient toutes plus petites que prévu. Cette robe (33,5 po de buste plutôt que les 36,2 indiqués en ligne) n’est assurément pas une « medium » selon les standards nord-américains.

PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

MARIE-EVE FOURNIER
La Presse

Si vous pensez que les prix ne peuvent pas être plus bas que chez H & M et Forever 21, détrompez-vous. Certains sites web comme EricDress, Fashion Mia, AliExpress, TwinkleDeals et Rose Wholesale proposent des vêtements à moins de 10 $, sans taxes et parfois sans frais de transport.

À ce prix, il faut évidemment modérer ses attentes. Mais au bout du compte, en a-t-on pour son argent ?

Pause a acheté six robes à prix très modéré pour en avoir le coeur net. Nous en avons choisi qui avaient belle allure sur les photos et semblaient de bonne qualité. La moins chère – une robe de tous les jours à l’imprimé original – était offerte à 6,95 $ US (9 $ CAN). La plus coûteuse était une élégante robe longue de bal en chiffon rose, à 23 $ CAN.

Nous avons fait évaluer les robes par cinq experts du milieu de la mode. Au Collège LaSalle, nous avons rencontré Maureen Buck, professeure en commercialisation, et Milan Tanedjikov, designer et coordonnateur des projets de fin d’études en design. Chez le détaillant Tristan, nos achats ont été scrutés par trois responsables du contrôle de la qualité, Sylvie, France et Lyn*.

Résultat ? 

« C’est un risque ! On ne peut pas se fier aux images », résume Maureen Buck, après avoir scruté nos achats sous toutes leurs coutures.

Littéralement. Car le plus souvent, les robes ne sont pas conformes à la photo, juge-t-elle. Dans certains cas, par exemple, on a utilisé moins de tissu, de sorte que la robe tombe droit plutôt que de faire des vagues à l’ourlet.

Son collègue Milan Tanedjikov n’a pas été impressionné par la confection.

« C’est cheap », laisse-t-il tomber.

 La qualité des coutures, la finition, le choix des fermetures éclair, des boutons : tout laisse à désirer.

Mais, ajoute-t-il, « si tu achètes une robe à 10 $, tu ne peux pas t’attendre à ce qu’elle ait l’air de coûter 100 $ ».

En voyant les tissus, le designer s’est demandé s’ils résisteraient au lavage et au repassage. À son avis, les risques qu’ils brûlent, rapetissent et changent de forme sont grands.

« [Certains tissus] ne devraient même pas être utilisés pour faire des robes ! », dit Milan Tanedjikov, designer.

Nous avons fait le test. Et après un lavage au cycle délicat et un séchage à l’air libre, les tailles n’avaient pas changé.

Les trois employées de Tristan étaient encore plus estomaquées de voir trois de nos six robes fabriquées « avec du tissu mince à doublure ». À leur avis, ces robes en tissu synthétique colleront à la peau des fesses dès qu’il y aura un peu d’humidité dans l’air.

ABSENCE D’ÉTIQUETTE

Milan Tanedjikov s’est par ailleurs demandé comment nos robes avaient pu entrer au Canada sans étiquette. Normalement, le lieu de fabrication, la composition du tissu, les directives pour le lavage et un code RN figurent sur tous les vêtements. Vérification faite auprès du Bureau de la concurrence, tout vêtement qui entre au Canada doit être muni d’une étiquette indiquant la teneur en fibres. Les directives d’entretien ne sont toutefois pas exigées ; leur absence a d’ailleurs été jugée particulièrement problématique par nos cinq experts.

Autre problème important : les tailles !

Nos cinq robes « medium » étaient plutôt de grandeur « extra small ». Quant à la robe de bal, présentée comme une « large », seule une femme très petite du buste a pu monter la fermeture éclair au dos.

« Il y a aussi des problèmes de confort. Les tissus ne sont pas « stretch » », ajoute Maureen Buck.

Les deux professeurs ont toutefois aimé les imprimés qu’ils ont vus. De loin, ils aimaient bien le style de la majorité de nos robes. C’est de près que ça se gâtait. Somme toute, ils ont estimé qu’une robe sur six valait le coût, la plus courte du lot, avec un imprimé graphique.

Chez Tristan aussi, ce fut la robe préférée de nos jurés. Son tissu, de bonne épaisseur, s’étire. Et le style est conforme à la photo en ligne. Par contre, la robe poche près des bras. Et en tirant sur l’ourlet, le fil a cédé, ont déploré les trois expertes du détaillant, « parce que ça n’a pas été cousu avec la bonne machine ».

Enfin, il est important de noter que certains coûts imprévus peuvent s’ajouter. En effet, l’ourlet de notre robe de bal n’était pas fait. Vérification faite auprès de deux couturières, il faudrait compter entre 30 et 60 $ pour faire faire le travail.

En outre, cinq de nos six robes requéraient une bonne séance de repassage. Il n’est pas impossible que le recours à un appareil à vapeur ou à un professionnel soit nécessaire vu la minceur et la composition inconnue des tissus.

* Tristan a préféré que nous taisions le nom de famille de ses employées.

CONSEILS DE NOS CINQ EXPERTS

• Acheter en ligne chez des détaillants que nous connaissons. Il y a moins de surprises en ce qui concerne les tailles et la qualité des vêtements. Les retours seront plus faciles.

• En achetant chez des détaillants qui ont pignon sur rue ou qui sont renommés, les vêtements auront une étiquette précisant la composition du tissu et les instructions pour le lavage.

• Favoriser les tissus extensibles. Quand la coupe n’est pas très bonne, ça compense.

• Prendre en considération, dans le prix, le temps (et les possibles coûts) de repassage, les coûts de retour (si on est déçu), les impacts environnementaux (pour le transport en Asie aller-retour, au moment de la mise aux rebuts d’un vêtement qui a exigé beaucoup de ressources de fabrication).

http://www.lapresse.ca/

Parole d’enfant► Journée de magasinage


On s’entend que maman était quand même habillée pendant qu’elle essayait sa robe, mais les enfants choisissent des mots quelques fois douteux
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Journée de magasinage

Maman a trouver de belles robes pour son travail. Mlle accompagne sa mère dans la cabine d’essayage.

Je demande à Jézabelle
-Alors, maman est belle ?
– Ben non, elle est toute nue maintenant

Ana-Jézabelle, 4 ans/ 5 Février 2016

Pour trouver chaussure à votre pied, optez pour le scanner 3D


Une technologie qui sera bien utile, surtout pour ceux qui ont de la misère à trouver chaussure à son pied. Et que dire si en plus, ce scanner pourra nous aider à mieux choisir nos lunettes
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Pour trouver chaussure à votre pied, optez pour le scanner 3D

 

TAILLE CHAUSSURE

Le Huffpost  |  Par Grégory Rozières

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les tailles de chaussures ne sont jamais les même selon les marques? Cet article ne répondra pas à cette question (désolé, mais sachez qu’il existe des tableaux comparatifs), mais évoquera une solution possible à ce problème.

Celle-ci nous vient de Stockholm, où la startup Volumental a imaginé un scanner 3D permettant d’analyser nos pieds afin de leur trouver la chaussure parfaite. Pour ce faire, la société développe depuis 2012 un logiciel utilisant les technologies de caméras à profondeur de champ Kinect de Microsoft et RealSense d’Intel.

Une fois votre pied scanné, le marchand de chaussures a alors une modélisation des arpions en question, accessible sur une tablette. Il suffit ensuite de comparer la forme de ceux-ci pour voir quelle chaussure serait la plus confortable.

taille chaussure

Volumental a signé lundi 18 janvier un partenariat avec Nordstrom, un grand marchand de chaussures américain. Dans le même temps, la société a signé des partenariats avec des sociétés suédoises et allemandes pour réaliser des chaussures sur-mesure, précise Forbes.

Et Volumental a plus d’une paire de chaussures à ses pieds: la société veut scanner la tête d’acheteurs de lunettes pour leur fournir des moutures adaptées. Un partenariat avec un fabricant de lunettes allemand a déjà été signé, selon le magazine américain.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Et si les miroirs des cabines d’essayage modifiaient votre silhouette?


Cela se passe en Angleterre, mais il ne serait pas surprenant que ce soit la même chose en Amérique, d’autant plus frustrant, si on ne peut plus se fier au miroir. Morale de l’histoire, mieux vaut magasiner à deux …
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Et si les miroirs des cabines d’essayage modifiaient votre silhouette?

 

 

Vous apercevez un morceau dans la vitrine d’une boutique, vous vous précipitez pour l’essayer dans une cabine – il vous fait à merveille! -, l’achetez et, une fois à la maison, vous réalisez en le réessayant qu’il ne vous convient soudainement plus… Vous semblez plus élancée, plus large ou encore vos bourrelets paraissent trois fois plus. Alors vous doutez: est-ce bien le morceau que j’ai essayé?

Rassurez-vous, vous n’avez rien à vous reprocher selon la journaliste australienne Amanda Platell qui s’est penchée sur ce mystère qui guette de plus en plus les femmes.

Pour élucider le mystère, Platell a donc enfilé la même robe en jersey dans dix grandes boutiques (donc 10 cabines d’essayages différentes) en Angleterre. Ça va de H&M à Zara, en passant par Gap et John Lewis. Accompagné d’un photographe, ils ont immortalisé chacune des séances d’essaye pour ensuite les comparer.

«En regardant les photos, on pourrait croire qu’il s’agit d’une femme différente. Sur certaines, j’ai l’air élancée, sur d’autres, on dirait un hobbit qui attend un enfant», explique la femme dans l’article qu’elle signe sur le Daily Mail.

Résultat: force est de constater que, d’un magasin à l’autre, les miroirs des cabines d’essayage modifient votre silhouette.

Comment expliquer cela?

La journaliste a posé la question à la docteure Melissa Kao, directrice de la société Magic Mirror, qui explique que les magasins utilisent des petits trucs pour améliorer votre apparence.

«Certains miroirs sont inclinés en haut par exemple, cela allonge votre silhouette. Nous avons l’impression que le miroir est plat, mais même une inclinaison de quelques millimètres est suffisante pour que nos jambes paraissent plus longues», dit-elle.

S’ajoute à cela l’éclairage dans les cabines d’essayage qui peut jouer sur notre teint et nous donner un air plus jeune.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Ikea, briseur de couples?


À mon avis, si un couple se brise à cause des meubles d’Ikea, il se briserait un moment ou un autre sans Ikea. C’est probablement l’excuse qui se présente
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Ikea, briseur de couples?

 

Par Laurent Deschamp

Corvée pour certains, plaisir pour d’autres, aller acheter des meubles chez Ikea fait partie des nombreuses options de sortie du week-end pour des milliers de couples. Hélas, ceux-ci n’en sortent pas toujours indemnes…

C’est en tout cas ce qu’affirme une étude, très sérieuse, publiée mardi dans le Wall Street Journal, qui affirme en substance qu’aller acheter des meubles chez Ikea est régulièrement source de conflit pour les couples… Et peut même les pousser au « clash » ultime.

Dans le détail, l’étude, réalisée par la thérapeute américaine Ramani Durvasula, explique que, confronté au choix offert dans le magasin, un couple risque de s’enfoncer dans une lutte sans fin pour savoir qui va l’emporter. Attitude qui finit par faire remonter rapidement à la surface certaines rancoeurs jusqu’alors cachées, explique encore l’experte.

La thérapie du montage de meuble

Et ce n’est pas fini. Car, il y a bien un deuxième effet Ikea… à la maison.

Lorsque le couple déjà échaudé par sa visite dans la grande surface, se voit confronté au problème de l’assemblage de ses achats. Ce qui peut facilement dégénérer et même mener à l’explosion.

L’épreuve du « montage de meubles » est tellement délicate que Ramani Durvasula s’en sert comme d’un exercice pour les couples qui la consultent. A charge pour eux de ne pas s’écharper sur une notice incompréhensible…

L’enseigne suédoise semblerait d’ailleurs assez consciente du problème puisque certains de ses produits sont surnommés, non sans un certain humour noir, des « tueurs de maris », explique le journal américain. D’ailleurs, pour limiter la « casse » Ikea propose désormais l’assemblage de ses meubles à domicile. Moyennant une substantielle commission. Et la marque jaune et bleue ne s’arrête pas là: interrogée par le Huffington Post américain, une responsable d’Ikea affirme qu’une nouvelle gamme de meubles « faciles à monter » est à disposition de sa clientèle…

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le téléphone intelligent, nouvel assistant ou espion des consommateurs?


En plus d’être envahi par la publicité, nous devenons nous-même des informateurs, sans le savoir, bien sûr, pour augmenter la visibilité des magasins et de leurs publicités
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Le téléphone intelligent, nouvel assistant ou espion des consommateurs?

 

Quoique pratiques, certaines nouvelles technologies peuvent être de... (PHOTO FREDERIC J. BROWN, ARCHIVES AFP)

Quoique pratiques, certaines nouvelles technologies peuvent être de véritables traceurs d’habitudes d’achat.

PHOTO FREDERIC J. BROWN, ARCHIVES AFP

Delphine PAYSANT
Agence France-Presse
CANNES

Il vous suit partout, il rassemble vos informations personnelles, vous le consultez en permanence. Y compris pendant vos emplettes. Le téléphone intelligent, via des applications innovantes, tend à devenir un véritable assistant de magasinage, mais peut aussi se transformer en espion de vos habitudes d’achat.

Longtemps, les téléphones intelligents ont été craints par les distributeurs, qui redoutaient de voir le consommateur s’en servir en magasin, par exemple pour comparer les prix via internet… et aller acheter ailleurs.

Après avoir cherché à bloquer son influence, notamment en brouillant le WiFi en boutique, ils le voient désormais davantage comme une opportunité.

«Le smartphone est un outil puissant. C’est un peu comme une extension de nous-mêmes, et en cela, c’est aussi un bon moyen pour les marques de dialoguer avec leurs clients», explique Mathieu Genelle de l’agence française Publicis Shopper.

C’est pourquoi les grandes enseignes et centres commerciaux offrent désormais le WiFi à leurs clients. Cela leur facilite la vie, par exemple via des applications de localisation de magasins ou même de produits.

Grâce aux téléphones intelligents, certaines enseignes en France, comme Auchan, proposent ainsi de payer directement ses achats sans passer en caisse. D’autres, comme Leclerc, permettent de comparer les prix ou de rassembler dans le téléphone intelligent tous les avantages des cartes de fidélité.

Enfin, le téléphone portable permet aux clients de communiquer directement avec le magasin, soit en appelant un vendeur pour des renseignements (Apple Store), soit en laissant son avis sur le service ou un produit.

Mais au-delà de l’aide qu’elles apportent aux consommateurs, ces nouvelles applications peuvent fournir des mines d’informations pour les distributeurs.

Pour les aider à améliorer leur service ou leur magasin, mais aussi pour collecter des informations sur leurs clients.

«La collecte des données clients («big data») est un des gros enjeux du commerce de demain. Elle peut permettre de faire progresser les ventes de 49%», estime Mall Connect.

Cette société néerlandaise, qui présentait son application lors du Mapic, salon de l’immobilier commercial qui se tenait cette semaine à Cannes, propose une solution permettant aux enseignes d’interagir en permanence avec les consommateurs.

Traceur d’habitudes d’achat 

Pratiques, certaines de ces nouvelles technologies peuvent être de véritables traceurs d’habitudes d’achat.

Ainsi, elles proposent systématiquement de se géolocaliser, ou de se créer des comptes clients directement à partir de Facebook. Une façon de faire gagner du temps aux consommateurs, mais aussi de connaître beaucoup de leurs informations personnelles.

«Le WiFi et toutes les technologies mobiles qui y sont associées sont un bon moyen pour les enseignes de voir où sont leurs clients, quels sont leurs loisirs, etc», explique Bill McCarthy, CEO de Shoppertrack, application britannique qui permet de suivre les consommateurs dans leur parcours d’achat.

Plus espionnant encore : les beacons, de petites balises installées dans les magasins qui permettent via le Bluetooth des mobiles de communiquer directement avec les consommateurs et de suivre leurs déplacements.

Les utilisations de ces balises sont multiples, comme l’accueil personnalisé en magasin ou l’aide à la localisation d’un produit.

Pour le distributeur, elles servent aussi à collecter des informations précieuses, mesurer l’impact d’une stratégie marketing ou repérer les zones dans lesquelles les clients passent le plus de temps.

«Ces technologies transforment les visiteurs anonymes de vos magasins en clients que vous connaissez parfaitement et avec lesquels vous pouvez communiquer directement», vantent les concepteurs de ShopperTrack et de Mall Connect.

Mais elles peuvent aussi servir pour du marketing direct, à savoir envoyer des promotions sur votre téléphone intelligent chaque fois que vous passez à côté d’un magasin.

Des armes à double tranchant pour les consommateurs qui peuvent être informés d’un bon plan autant que bombardés de publicités inutiles et intrusives.

Pour éviter ces écueils, certains magasins planchent déjà sur des applications qui limitent les promotions aux enseignes ou aux produits choisis par les consommateurs afin que ces technologies ne se transforment pas en pourvoyeuses de pourriels.

http://techno.lapresse.ca/

Un sac intelligent pour éviter les dépenses inutiles


Que les hommes soient plus rationnels dans leurs dépenses, désolée, mais j’en doute, seulement, c’est différent comme par exemple, au printemps, la fièvre d’une nouvelle voiture, ou avoir les nouveaux gadgets technologie. Et je trouve dommage, qu’on ne travaille pas sur le problème de fond que sur des solutions qui seraient faciles à contourner
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Un sac intelligent pour éviter les dépenses inutiles

 

Le iBag. © Credit Card Finder

 

Par FRÉDÉRIC THERIN (À SYDNEY)

Les intoxiquées du shopping peuvent se sevrer grâce à un sac qui se verrouille automatiquement dès qu’elles sont sur le point de céder à la tentation…

 

Vous ne résistez pas face à la tentation d’acheter une robe à la mode ? Vous craquez devant des escarpins hors de prix qui viendront compléter votre collection déjà imposante ? Vous préférez lécher les vitrines que vos babines lors de vos pauses pour le déjeuner ? L’iBag est fait pour vous…

La société de crédit australienne Creditcardfinder.com.au vient de développer un sac à main destiné aux shopaholics. Pour éviter les « quartiers chauds » où les magasins titillent les pécheresses aux poches percées, des diodes activées par un GPS s’allument dans votre besace. Si cette alerte lumineuse ne vous convainc pas de dévier votre route, un SMS est envoyé automatiquement à une personne « responsable » (c’est le terme employé par les inventeurs de ce Big Brother en bandoulière) pour la prévenir de votre intention de commettre « l’irréparable ». Votre sac peut même se verrouiller à la demande lors de périodes « dangereuses » comme aux pauses de midi et à l’heure de sortie des bureaux. Une puce RFID repère enfin chaque moment où vous avez sorti votre portefeuille de sa poche intérieure. On n’arrête pas le « progrès »…

Les femmes craquent plus que les hommes…

Pour l’instant, la compagnie australienne ne propose pas d’iBag pour les hommes. Pour tenter de justifier ce sexisme primaire, ses dirigeants mettent en avant une de leurs études qui montre que les femmes ont davantage tendance à craquer devant une boutique que ces messieurs. Près de la moitié (45 %) des personnes qui ne parviennent pas à rembourser le solde de leurs cartes de crédit font également au moins trois achats d’impulsion chaque mois. Pour éviter le surendettement, les Aussies ont donc pensé aux diodes et au verrouillage automatique des Kelly et autres Birkin. À quand le piège à loups qui se refermera sur la main gantée de cuir devant une boutique de luxe ?

http://www.lepoint.fr/

Facebook : sa vie en cinémascope


Facebook refuse de rester tranquille et s’en tenir a un façon simple de communiquer tout en laissant l’utilisateur faire a sa tête. Bref d’autres changements risque d’ébranler notre routine et nos mises a jours .. du moins pour ceux dont leur billet sont public ..
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Facebook : sa vie en cinémascope

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Facebook a lancé une série d’applications pour sa nouvelle ligne de temps (la fameuse «Timeline » ). Ces applications ont pour objectif de faciliter le partage de nos activités avec nos amis, que ce soit la chanson qu’on écoute sur Spotify, le film que l’on regarde sur Netflix ou la recette que l’on a trouvée sur Foodily.

Facebook assure qu’il y en aura pour tous les goûts. Déjà, plus de 60 applications sont offertes, réparties entre les catégories musique, information, voyage, cadeaux, alimentation, magasinage, mise en forme et divertissement.

Attention cependant avant de vous mettre à installer ces applications à tous crins. Comme le souligne le site CNet, ces applications, aussi appelées « Open Graph apps », ont un fort penchant pour le partage automatique de vos statuts. En effet, une fois que l’on accorde, au départ, le droit à l’application de partager des contenus sur notre profil (c’est évidemment obligatoire pour l’installer), cette application n’a plus besoin de notre consentement effectuer des mises à jour.

De plus, ces nouvelles seront publiées à la fois sur votre fil de nouvelle, sur votre profil et sur les messages défilant. Les usagers n’auront pas le contrôle sur l’ordre de publication. Bien que le classement de base des événements soit l’ordre chronologique, l’algorithme qui classe les publications le fait selon les personnes qui viennent voir notre profil, mais aussi selon le fait que Facebook ait été payé pour montrer ces publications en premier.

La bonne nouvelle, c’est que l’on peut choisir les amis à qui ont veut montrer ces nouvelles informations (faites des listes!). Il est aussi possible de révoquer les autorisations données à une application à tout moment.

Sources: Blogue de Facebook, CNet

par Charles Prémont

http://www.branchez-vous.com